Vingt ans après le colloque de Châtillon-sur-Seine sur les éphémères principautés celtiques, au cours duquel de vives critiques du modèle canonique des résidences princières des VIe et Ve siècles s’étaient exprimées, il était important de réexaminer la question à la lumière des spectaculaires découvertes effectuées depuis lors. Pour l’opinion qui était à l’époque devenue majoritaire, le modèle proposé par W. Kimmig accordait à ces sociétés un niveau de complexité politique trop élevé et leur prêtait des relations trop fréquentes et régulières avec des Cités-États grecques et étrusques.
Copiez-collez cette URL dans votre site WordPress pour l’inclure
Copiez-collez ce code sur votre site pour l’y intégrer