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Auteur : Marion Lagrange

Université Bordeaux Montaigne
Esplanade des Antilles
F-33607 Pessac
marion.lagrange@u-bordeaux-montaigne.fr
0009-0001-9535-376X

Marion Lagrange est maîtresse de conférences en histoire de l’art contemporain à l’Université Bordeaux Montaigne (Centre de recherches en histoire de l’art F.-G. Pariset – UR 538). L’ouvrage publié aux éditions CTHS-INHA, Les peintres italiens en quête d’identité. Paris 1855-1909 (2010), est issu de sa thèse de doctorat qui a également donné lieu à plusieurs articles et contributions dans des catalogues d’expositions. Elle a dirigé un programme de recherches Région Aquitaine sur le patrimoine artistique universitaire entre 2010 et 2013, qui a donné lieu à la publication d’Université & histoire de l’art. Objets de mémoire (1870-1970) (Rennes, PUR, 2017). Aujourd’hui, une partie de sa recherche porte sur l’art dans espace colonial français, et particulièrement sur les groupes d’artistes, les sociétés artistiques et leurs expositions, les espaces de formation et les circulations, notamment féminines. Elle a dernièrement contribué à l’édition du catalogue d’exposition Artistes voyageuses L’appel des lointains, 1880-1944 (Évian et Pont-Aven, 2022).

 

Bibliographie

  • (Avec  Florent Miane), “Le Musée archéologique de la faculté des lettres de Bordeaux (1886)”, In Situ [Online], 17 | 2011, Online since 29 November 2011, connection on 18 April 2025. URL: http://journals.openedition.org/insitu/920
  • Université & histoire de l’art. Objets de mémoire (1870-1970), coll. « Art & Société », Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2017
  • « L’Exposition universelle de 1900 et les apories d’une “école italienne” », ILCEA [En ligne], numéro spécial « Peinture, identité nationale et style international en Europe autour de 1900 », n° 45, 2021, URL: https://journals.openedition.org/ilcea/12518

 

Mots clés
Transferts culturels mondialisés, Circulations et identités artistiques, Institutions artistiques et marché de l’art (France et colonies), Artistes femmes, Enseignement de l’art et de l’histoire de l’art, Collections universitaires

Les collections apparaissent comme le parent pauvre d’une université française dont les bâtiments assurent, depuis au moins un demi-siècle, la continuité visuelle d’un cadre d’apprentissage.
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