UN@ est une plateforme d'édition de livres numériques pour les presses universitaires de Nouvelle-Aquitaine
Catégorie : Archéologie
par Michel Reddé
Les recherches de terrain que j’ai menées, en coopération avec l’équipe allemande de la Römisch-Germanische Kommission, alors sous la direction de Siegmar von Schnurbein, ont été intégralement publiées dans un double volume des Mémoires de l’académie des inscriptions et belles lettres.
par Michel Reddé
La publication récente d’une nouvelle inscription du vicus de Dalheim vient opportunément nous rappeler la réalité des raids barbares à l’intérieur de la Gaule, dans le courant du IIIe siècle. Le texte se lit ainsi : I(n) h(onorem) d(omus) d(iuinae) / deae Fortunae / ob salu/te(m) imperi(i) uicani Ri/ccienses porticum / balinei ui barbar[o]/rum absum[ptam de] / suo restituer[unt] / cura[m] agente Ma/riniano Marino / c(enturione) leg(ionis) VIII Aug(ustae).
par Michel Reddé
Le musée de Strasbourg possède un monument lapidaire bien connu, mais dont la rareté et l’intérêt semblent avoir été quelque peu sous-estimés par les commentateurs. Il s’agit de la stèle funéraire Espérandieu 5499 dite communément “du train des équipages”.
par Michel Reddé
L’ancien cloître bénédictin de Marienhausen, près de Rüdesheim (Kr. Darmstadt), dont la première mention remonte à 1189, a livré une inscription répertoriée au CIL XIII sous le numéro 7610. Nous sommes là à moins d’une trentaine de kilomètres du Kästrich, le grand camp de Mayence, sur la rive droite du Rhin.
par Michel Reddé
Depuis une petite table ronde organisée à Lyon en 1991, sur la présence des “Militaires romains en Gaule civile”, la question n’a plus guère été traitée de manière globale mais elle a très sensiblement évolué. Je me contenterai, dans le cadre de cette brève contribution, d’indiquer quelques axes majeurs de la recherche actuelle, au demeurant plus archéologique qu’épigraphique.
par Michel Reddé
À la différence d’autres unités célèbres, la VIIIe légion n’a fait l’objet d’aucune monographie récente*. La notice d’E. Ritterling dans la Realencyclopädie a toutefois été reprise par B. Pferdehirt qui a fait le point des connaissances sur ce corps de troupe en 1984.
par Michel Reddé
C’est au Congrès du Limes de Carnuntum, en 1986, que j’ai fait la connaissance de Raymond Brulet, si ma mémoire est fidèle. J’y avais présenté les premières réflexions que m’inspirait la reprise, alors toute récente, des recherches sur le camp militaire romain de Mirebeau
par Michel Reddé
Depuis le XIXe siècle ont circulé les hypothèses les plus diverses sur la chronologie du camp de Mirebeau que l’on a cherché à rattacher à des événements historiques précis ; à cet égard, on a naturellement beaucoup sollicité les données de l’épigraphie, les seules dont on disposât à l’époque
par Michel Reddé
C’est en 1978, à l’occasion de ces rencontres régulières qu’organisait R. Chevallier à l’École Normale Supérieure, que j’ai fait la connaissance de Francis et Danielle Tassaux. Ils commençaient alors leur fouille du camp d’Aulnay, découvert en 1976 par J. Dassié, tandis que j’entamais moi-même quelques trop courtes campagnes à Arlaines, près de Soissons.
par Michel Reddé
Évoquant les fameux castella Drusiana cités par Florus 2.30, J.-J. Hatt croyait pouvoir en localiser plusieurs dans la plaine d’Alsace, soit, du sud au nord, Bâle, Kembs, Kunheim-Biesheim, Strasbourg et Forstfeld. À propos de Strasbourg, il ne faisait que reprendre une conception ancienne, déjà exposée par R. Forrer, et qu’il a lui-même défendue toute sa vie
par Michel Reddé
J’aimerais en revanche me pencher sur les liens entre l’armée romaine et les aristocraties gauloises, deux des principaux moteurs de l’intégration de la Gaule dans l’Empire, et poser la question des rythmes de ce processus entre l’époque de César et celle de Claude.
par Michel Reddé
Vers le milieu des années 70, je présentai, en Sorbonne, le résultat de mes premiers sondages sur le site d’Arlaines, près de Soissons, que je prétendais être un camp militaire romain et non pas une villa, suivant d’ailleurs en cela des hypothèses anciennes qu’on avait entre-temps oubliées.