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Catégorie : Archéologie
Lorsque nous avons commencé dans le second numéro des Cahiers notre article consacré aux richesses archéologiques du Bazadais de la Préhistoire au Haut Moyen Âge, nous songions à le faire suivre d’un inventaire semblable pour la période s’étendant du Haut Moyen Âge à nos jours.
C’est pour la première fois en 1954 qu’a été révélée, par M. Cadis, l’existence de ce tumulus. Au cours d’une excursion faite en sa compagnie en 1959, nous avons pu localiser son emplacement avec précision (fig. 1).
Me Lafargue a consacré différents articles aux découvertes faites aux alentours de l’église Saint-Gervais. Il en parle d’abord au tome IV de ses Notes intitulé : “Établissements publics”, dans le chapitre III où il traite de l’église Saint-Gervai
E. Féret est le seul à les mentionner avec sa concision accoutumée : “Débris gallo-romains consistant en médailles trouvées sur plusieurs points du haut-Langon entr’autre chez M. Goua, en briques à rebords et autres restes de construction”.
Léo Drouyn signale dans le Dictionnaire archéologique de la Gaule des “fragments de haches polies et de couteaux en silex”. Nous n’avons pas trouvé jusqu’ici d’autre mention de ces découvertes sur lesquelles nous ne possédons aucun détail.
Jusqu’à la fin du XIXe siècle, on a pu voir, à proximité de l’agglomération de Captieux, au nord-ouest du quartier de la Ville, une motte datant vraisemblablement du Moyen Âge. Il n’en reste plus rien. Aussi, n’est-il pas inutile d’en rappeler la description qu’en fit, en 1867, E. Guillon.
L’historien local se trouve souvent à court de documents écrits lorsqu’il se tourne vers les périodes les plus reculées de l’histoire de son petit pays, Antiquité ou Moyen Âge. Il doit alors faire appel aux documents figurés et à leur science que l’on nomme archéologie.
Tous les auteurs qui ont parlé des châteaux de Roquetaillade ont souligné l’originalité du site : un plateau taillé en forme d’éperon, la pointe tournée vers l’ouest et dominant au sud par un abrupt la vallée des Ruisseaux de Pesquey et de Lagarde.
This volume explores religious inscriptions as a lens for analysing the sociocultural mechanisms behind multilingual and multicultural dynamics in the western and Mediterranean provinces of the Roman Empire.
Ce volume propose une première réflexion exploratoire sur les principes et les enjeux du projet TeMAES (Territoire multiples : agentivité et environnements socio-économiques). Pour étudier les territoires antiques on se fonde ici sur une démarche qui met l’accent sur deux aspects, l’un géographique et l’autre social.
par Corinne Bonnet
As a “Corrupting Sea”, the ancient Mediterranean is a fascinating space where localism and multiculturalism coexisted. This constant conjunction between unity and plurality is expressed at different levels in religious practices…
The northwestern region of the Iberian Peninsula, stretching from the northern banks of the Tagus River to the Cantabrian Sea, remained largely illiterate until it was fully pacified at the end of the 1st c. BC.