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Catégorie : Arts
par Agnès Curel
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
par Marthe Segrestin
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
par Olivier Bara
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
par Julien Schuh
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
par Jean-Claude Yon
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
Cet ouvrage interroge la notion de contemporanéité à travers le travail de la recherche. Comment le·la chercheur·se adapte-t-il·elle ses pratiques face à des objets ou enjeux de « son » temps ? Ce sont avant tout des expériences de recherche qui sont dévoilées par les contributeur·ice·s.
Par cet ouvrage, nous avons fait de l’expérience (des chercheur·se·s, des lecteur·ice·s, de « la recherche » et de la « société civile ») la question centrale du contemporain. Les corps y occupent une place prépondérante et soulignent l’importance de la rencontre de l’Autre. S’ils ne revendiquent pas une quelconque intentionnalité artistique, celle du·de la plasticien·ne ou de l’écrivain·e.
par Maxime Fabre
La série intitulée « Far-Ouest : en quête du Signe Noir » est à la fois une quête intime, à la croisée du documentaire et du récit biographique, mais aussi une quête artistique soutenue par un regard obsédé par un noir et blanc profond, des contrastes forts et une recherche constante de la texture des matériaux.
Affirmer que « nous naviguons sur un terrain qui tangue et qui change à la mesure même de nos efforts pour le traverser » n’est pas une métaphore. L’échéance de juin 2020 devait réunir une équipe de six chercheurs et professionnels pour concrétiser la mission « Argentine » du programme « Fabcom, la fabrique du commun.
Affirmer que « nous naviguons sur un terrain qui tangue et qui change à la mesure même de nos efforts pour le traverser » (Burawoy cité dans Paillé, 2010, p. 10-11) n’est pas une métaphore.
Pour Fabbri, les monuments sont des « signes zéro », des symboles dont l’équivalence a été à peu près oubliée. Ces symboles vides, affranchis de l’événement qui a motivé leur érection, peuvent être « remplis » à travers des opérations de monumentalisation et, plus fréquemment, de démonumentalisation, comme l’a montré l’actualité récente