UN@ est une plateforme d'édition de livres numériques pour les presses universitaires de Nouvelle-Aquitaine

Catégorie : Histoire

Ce chapitre reconstruit les années 39-41 tragiques pour la famille Truel comme pour toute la société française prise dans le piège de la drôle de guerre, l’Exode puis l’occupation allemande.
La fidélité au Pérou de l’enfance se manifeste par le choix du diminutif si singulier de Lucha, qu’un Français connaisseur de l’espagnol mais non du Pérou, croira traduire correctement par « lutte », mais « Lucha » est très courant au Pérou avec un autre sens.
La famille Truel — au centre de cet ouvrage — est représentative de l’émigration française au Pérou au cours du XIXe siècle. C’est ce que l’on verra dans le présent chapitre à travers l’évocation des deux branches, paternelle, les Truel, et maternelle, les Larrabure.
L’enfant du métro est un texte fascinant, édité à Paris en décembre 1943, pendant l’occupation allemande.
Mais nous savons que la trame de la grande Histoire est largement constituée d’histoires individuelles, d’héroïsme et de lâcheté qui se sont souvent perdues dans l’anonymat ou l’oubli.
L’enfant du métro est un texte fascinant, archétype de la littérature clandestine, inventive et fragile, écrite en France pendant la Seconde Guerre mondiale. Madeleine et Lucha Truel ont écrit un roman d’apparence enfantine.
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
Retrouvé de manière fortuite en 2002, le “Livre rouge” de l’évêché d’Aire-sur-l’Adour disparu depuis la Révolution est aujourd’hui conservé aux Archives départementales des Landes.
Si les premiers récits picaresques « naissent » dans l’Espagne du « Siècle d’or » en tant que genre narratif, cette tradition a émergé selon des modalités et des origines multiples qu’il convient de préciser.
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
Retour en haut