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Catégorie : Histoire

Ce catalogue a été réalisé en deux parties : Ire partie : Cette partie concerne les sarcophages dont on connaît les lieux de découverte : I. La nécropole Saint-Martin, la place et ses environs immédiats : n° 1-20.
Rappelons, tout d’abord, les circonstances dans lesquelles les Albret avaient dû quitter Meilhan dont ils étaient probablement seigneurs depuis la fin du XIIe siècle. Au cours de l’hiver 1250 Amanieu VI (1240-1270) était entré en rébellion contre Simon de Monfort, lieutenant du roi d’Angleterre, Henri III, mais, le 25 mai 1251, à Couthures, il conclut un accord avec lui, en fait une capitulation.
C’est à Lusignan, en Poitou, alors qu’il visite sa province, que Bertrand de Got, archevêque de Bordeaux, apprend, le 20 juin 1305, son élection au souverain pontificat, le 5 juin, à Pérouse. Il regagne alors lentement Bordeaux où, le 24 juillet, dans la cathédrale Saint-André, il choisit le nom de Clément V.
Lors de la vente et du dénombrement de la seigneurie de Cazeneuve par Henri IV en 1599, sont mentionnées La Trau et La Travette, deux maisons fortes situées sur les bords du Ciron, qualifiées de “masures ruinées et inhabitées depuis les guerres des Anglais
Les lecteurs des Cahiers seront probablement surpris par cette approche. Il s’agit d’un essai de recensement des sites archéologiques ou supposés tels, datant de l’époque médiévale ou moderne, situés sur le territoire de la commune de Captieux.
Les lecteurs des Cahiers seront probablement surpris par cette approche. Il s’agit d’un essai de recensement des sites archéologiques ou supposés tels, datant de l’époque médiévale ou moderne, situés sur le territoire de la commune de Captieux.
Un peu au sud du bourg de Labrit, masqués et protégés par des arbres et des fourrés, des talus de terre et des fossés plus ou moins comblés de débris végétaux subissaient les inexorables mais heureusement lentes dégradations dues aux intempéries.
Après l’approche de l’archéologue, voici la double expérience d’un acteur – modeste – du patrimoine, chercheur, conservateur de musée. Ces expériences concernent le site de Labrit dans le département des Landes aux confins du Marsan et de la Grande-Lande et le musée de Villandraut, au sud du département de la Gironde.
Le rapport que nous présentons n’est qu’une réponse, bien incomplète d’ailleurs, à l’un des principaux thèmes de ce colloque : l’état de la recherche dans le domaine des sites fortifiés et défensifs médiévaux.
Au cours de l’hiver 1969-1970, le desservant de l’église de Préchac décida de procéder à une rénovation de l’abside afin qu’elle pût répondre aux exigences de la liturgie nouvelle.
Au cours d’une excursion faite il y a plusieurs années en compagnie de M. J. Labat, celui-ci nous a révélé l’existence d’une bien curieuse épitaphe. Elle se trouve dans la très vieille église de Saint-Martin-de-Bachac, actuellement dans la commune de Ruffiac, en Lot-et-Garonne. La paroisse de Bachac dépendait au XVIIIe siècle de l’archiprêtré de Sadirac dans le diocèse de Bazas.
Dominant un des plus beaux paysages de la région, ancien chef-lieu d’un archiprêtré qui, au XVIIIe siècle, s’étendait sur la rive droite de la Garonne jusqu’aux portes de La Réole, l’église de Sadirac est aujourd’hui bien déchue.
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