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Catégorie : Renaissance
par Alec Paterson
The period between the late 13th century and the beginning of the 17th, roughly from the end of Scotland’s Second War of Independence to the accession of King James VI of Scotland to the English throne, was a period of perpetual hostility and rivalry between the two kingdoms.
par Pierre Levron
Tristan est-il un gueux ? Le sens fondamental de cette question n’est pas une provocation, mais une interrogation soulevée par l’évocation de l’adaptation du corpus renardien par William Caxton.
Lois semblablement ignorées, contournées, bafouées. Semblable recours à la ruse, plus ou moins violente, pour parvenir à ses fins, échapper aux autorités et aux instruments punitifs.
En la Divina Comedia, Dante había condenado a Epicuro al infierno siguiendo la tradición que ya desde la Antigüedad, pero sobre todo a partir de los pensadores cristianos del s. III dC, hizo de los epicúreos una secta de herejes ateos, entregados a un hedonismo desenfrenado.
par Nicolas Correard
« Apuleius, Lucianus, Lazarillus ». D’où venait cette perception spontanée, chez les contemporains, d’une continuité entre les auteurs satiriques anciens et ce texte nouveau, inouï, qu’était le Lazarillo de Tormes ?
« Apuleius, Lucianus, Lazarillus », dit d’une même voix Antonio Lull. Dès la première diffusion de l’anonyme Vie de Lazarillo de Tormès, il fut assez vite évident que derrière la formule innovante d’un mendiant devenu cireur public se cachait de prestigieux mais polémiques modèles antiques.
Au sein de la littérature occidentale, on a rapidement perçu dans la picaresque une « tradition historiquement et géographiquement délimitée » propre à l’Espagne du Siècle d’or, un genre à part quasiment sans précédent.
Le projet IThAC a pour objectif l’étude de la réception du théâtre antique en Europe au XVIe siècle à travers l’analyse du corpus des paratextes savants imprimés qui lui sont consacrés, et la mise à disposition de la communauté scientifique de la traduction de ce corpus traduit en français, grâce à la construction d’une interface numérique évolutive.
Au terme de ce parcours, il semble désormais clair que le philologue, à la Renaissance, est une figure en construction. Les termes employés dans les contributions en témoignent : on y parle de doctes, de literati, d’humanistes, d’éditeurs.
par Mathieu Ferrand
Térence, on le sait, n’a jamais cessé d’être lu pendant tout le Moyen Âge et figure, au côté d’Horace, Virgile et Cicéron, au nombre des auteurs scolaires incontournables. Plaute n’a pas joui du même sort.
Le philologue soucieux de construire sa propre autorité et l’autorité du texte qu’il édite n’est jamais seul. Son travail s’inscrit en effet dans un réseau de relations souvent très denses, dont témoignent surtout les épîtres et poèmes liminaires.
par Kévin Bovier
Le bref portrait que dresse Conrad Gessner de son compatriote Johannes Müller dans la Bibliotheca Universalis (1545) met bien en valeur ses qualités et les temps forts de sa carrière : il savait le latin, le grec et l’hébreu…