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Type de document : Article de revue

Ce que l’on savait des antiquités langonnaises se réduisait, à ce jour, à de rares mentions au contenu des plus vagues. F. Jouannet déclare ainsi : “Les seules traces que Langon ait conservées de l’époque gallo-romaine sont plusieurs fondations antiques, beaucoup de tuiles parementées, un assez grand nombre de médailles découvertes en fouillant l’emplacement du château”.
En 1893, E. Rotgès, alors inspecteur de l’enseignement primaire, avait publié un ouvrage intitulé Histoire de l’instruction primaire dans l’arrondissement de Bazas du seizième siècle à nos jours.Aucun travail n’est venu depuis compléter ou modifier le contenu de ce livre qui demeure ainsi essentiel pour la connaissance de cette question.
Léo Drouyn signale dans le Dictionnaire archéologique de la Gaule des “fragments de haches polies et de couteaux en silex”. Nous n’avons pas trouvé jusqu’ici d’autre mention de ces découvertes sur lesquelles nous ne possédons aucun détail.
L’historien local se trouve souvent à court de documents écrits lorsqu’il se tourne vers les périodes les plus reculées de l’histoire de son petit pays, Antiquité ou Moyen Âge. Il doit alors faire appel aux documents figurés et à leur science que l’on nomme archéologie.
La guerre, ainsi que le développement de la course et de la piraterie en Méditerranée, ont placé la question des captifs au cœur des négociations diplomatiques.
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