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Type de document : Chapitre de livre

Lorsque nous avons commencé dans le second numéro des Cahiers notre article consacré aux richesses archéologiques du Bazadais de la Préhistoire au Haut Moyen Âge, nous songions à le faire suivre d’un inventaire semblable pour la période s’étendant du Haut Moyen Âge à nos jours.
C’est pour la première fois en 1954 qu’a été révélée, par M. Cadis, l’existence de ce tumulus. Au cours d’une excursion faite en sa compagnie en 1959, nous avons pu localiser son emplacement avec précision (fig. 1).
Me Lafargue a consacré différents articles aux découvertes faites aux alentours de l’église Saint-Gervais. Il en parle d’abord au tome IV de ses Notes intitulé : “Établissements publics”, dans le chapitre III où il traite de l’église Saint-Gervai
E. Féret est le seul à les mentionner avec sa concision accoutumée : “Débris gallo-romains consistant en médailles trouvées sur plusieurs points du haut-Langon entr’autre chez M. Goua, en briques à rebords et autres restes de construction”.
Jusqu’à la fin du XIXe siècle, on a pu voir, à proximité de l’agglomération de Captieux, au nord-ouest du quartier de la Ville, une motte datant vraisemblablement du Moyen Âge. Il n’en reste plus rien. Aussi, n’est-il pas inutile d’en rappeler la description qu’en fit, en 1867, E. Guillon.
Monclaris, voilà certes un nom qui n’évoque que bien peu de choses pour beaucoup de Bazadais. C’est celui cependant d’une ancienne paroisse et aujourd’hui encore, d’une église, qui fut naguère la plus belle de la vallée du Lisos.
Tous les auteurs qui ont parlé des châteaux de Roquetaillade ont souligné l’originalité du site : un plateau taillé en forme d’éperon, la pointe tournée vers l’ouest et dominant au sud par un abrupt la vallée des Ruisseaux de Pesquey et de Lagarde.
Tout au long de sa carrière d’historien, l’intérêt de Jean Bernard Marquette (1934-2020) pour les Landes et pour leur histoire a été constant même si l’espace landais n’a pas été exclusif de ses préoccupations scientifiques.
Cette nouvelle raconte un premier féminicide, lié aux ravages de la jalousie masculine, comme dans plusieurs nouvelles de l’autrice. Certes, Claudia n’a pas été complètement honnête avec Onofre mais elle est poussée par la nécessité et par une mère sans le sou qui dépend totalement d’elle.
Le gascon bazadais est l’objet du développement qui suit et il est une appellation commode pour désigner une variété du gascon, composante dialectale, généralement présentée comme particulière, de l’occitan.
Le gascon bazadais est l’objet du développement qui suit et il est une appellation commode pour désigner une variété du gascon, composante dialectale, généralement présentée comme particulière, de l’occitan.
L’intérêt des historiens pour les textes coutumiers n’a, semble-t-il, jamais véritablement faibli. En 1978, lorsque Jean Bernard Marquette décide d’éditer les coutumes du pays de Brassenx, il en maîtrise d’évidence pleinement l’univers documentaire, univers qu’il avait patiemment mis au jour autour de son berceau des Albret.
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