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Type de document : Chapitre de livre
par Gauthier Bolle
L’extension du campus de l’université de Strasbourg durant les Trente Glorieuses se démarque des processus d’exurbanisation caractérisant alors d’autres grandes agglomérations
Le 4 avril 1460, à la demande du duc de Bretagne, François II (1458-1488), était créée l’Université de Nantes par le pape Pie II (1458-1464).
Ce titre rappelle le grand transfert universitaire opéré depuis le centre-ville jusqu’à la périphérie occupée par les communes de Talence, Gradignan et Pessac où se situe l’avenue des Antilles.
Aborder l’actualité du devenir des campus et des bâtiments universitaires au regard de leur histoire et de leur patrimoine a paru pertinent à l’heure où la plupart d’entre eux subissent des réorganisations profondes et s’interrogent sur l’inscription durable de leur patrimoine immobilier dans les villes et les métropoles qui les accueillent.
par Christine Bost
Avoir réuni pour ces journées les villes et leur université était une excellente idée, d’autant que Bordeaux Métropole compte aujourd’hui une population d’environ 72 000 étudiants, soit près de 9 % de la population métropolitaine.
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
par Philippe Marty
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
par Éva Le Saux
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.
par Sophie Courtade
Penser la vie littéraire, théâtrale et médiatique de la Belle Époque par le prisme des pôles majeur/mineur, centre/marge, s’avère particulièrement fécond pour comprendre les postures auctoriales, les stratégies de carrière, la publicisation de soi et les productions littéraires et artistiques.