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Type de document : Chapitre de livre

Mondialement connu pour la série de ses Voyages extraordinaires, Jules Verne (1828-1905) l’est beaucoup moins pour sa Géographie illustrée de la France et de ses colonies (1867-1868 ; ci-après Géographie).
Longtemps, l’origine du mot de francophonie fut attribuée à Léopold Sédar Senghor avec son article paru dans la revue Esprit en novembre 1962 – un dossier consacré à la langue et l’enseignement du français.
Onésime Reclus était un amoureux de la langue – et pas seulement du français –, ce qui le portait non seulement vers les œuvres littéraires dont il pouvait réciter par cœur de longs passages, mais aussi un goût irrépressible pour la création de néologismes.
C’est sous la plume d’Onésime Reclus qu’en 1886 sont d’abord diffusés les termes de francophone et de francophonie.
En 2019, la Région Nouvelle-Aquitaine décide de financer la création d’un Réseau Régional de Recherche intitulé FrancophoNéA .
Pour Fabbri, les monuments sont des « signes zéro », des symboles dont l’équivalence a été à peu près oubliée. Ces symboles vides, affranchis de l’événement qui a motivé leur érection, peuvent être « remplis » à travers des opérations de monumentalisation et, plus fréquemment, de démonumentalisation, comme l’a montré l’actualité récente
I territori dell’Italia antica che si affacciavano sul Mare Adriatico, ovvero da N a S le regiones augustee X (Venetia et Histria), VIII (Aemilia), VI (Umbria et ager Gallicus), V (Picenum), IV (Samnium) e II (Apulia et Calabria), hanno rappresentato in età romana una zona produttiva piuttosto vivace.
Il presente lavoro costituisce un’edizione rivista della tesi del dottorato di ricerca in co-tutela internazionale Amphores adriatiques à Rome. Les données du Nuovo Mercato Testaccio svolta presso Aix-Marseille Université e Università Cattolica del Sacro Cuore di Milano.
Dans le cadre du colloque international « Créer le présent, imaginer le futur… » qui s’est tenu à l’Université de Pau du 28 février au 3 mars 2022, nous avons eu l’honneur de recevoir l’écrivain (journaliste, cronista et essayiste) argentin Martín Caparrós pour une rencontre exceptionnelle.
Bien que la pensée apocalyptique ait toujours été associée à l’affirmation d’une fin ultime et absolue de tout ce qui existe, paradoxalement, son annonce a toujours été l’un des discours les plus répétés au cours de l’histoire de l’Occident.
Depuis plusieurs décennies, dans le sillage du développement des technologies de communication, nous assistons à l’explosion des catégories spatio-temporelles grâce auxquelles nous structurions la réalité, nos expériences et les événements de notre vie.
Interventionnistes, belliqueux, visionnaires, utopiques, les écrits réédités en 2021 constituent un ensemble à la fois disparate au niveau de la forme (où des manifestes proprement dits côtoient d’autres formes telles que la lettre ou l’adresse) et cohérent sur le plan de la problématique abordée (l’avenir des Antilles et de la société mondiale).
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