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Auteur : Marianne Closson

Université d’Artois
0000-0001-8817-7836

Marianne Closson est maîtresse de conférences en littérature française du XVIe siècle depuis 2001.

Bibliographie

Ouvrage

  • L’Imaginaire démoniaque en France (1550-1650), genèse de la littérature fantastique, Genève, Droz, « Travaux d’humanisme et Renaissance », 2000.

Direction d’ouvrages collectifs :

  • Les Géants entre mythe et littérature, dir. Marianne Closson et Myriam White, colloque organisé à l’Université d’Artois par le CRELID en novembre 2005, paru aux P.U. d’Artois, 2007.
  • Fictions du diable, Démonologie et littérature de saint Augustin à Léo Taxil, dir. Marianne Closson, Françoise Lavocat et Pierre, Kapitaniak, Genève, Droz, 2007.
  • L’Hermaphrodite de la Renaissance aux Lumières, dir. Marianne Closson, Actes du colloque international organisé à l’université d’Artois du 26 au 28 mai 2011, Paris, Classiques Garnier, « Masculin/féminin dans l’Europe moderne, 2014.
  • Les Amours entre frère et sœur. L’inceste adelphique du Moyen Âge au début du xixe siècle, dir. Marianne Closson et François Raviez, Actes du colloque organisé à l’université d’Artois les 26 et 27 mai 2016, Paris, Classiques Garnier, « Masculin/féminin dans l’Europe moderne », 2020.

 

Choix d’articles

  • « Le Diable au XIXe siècle de Léo Taxil ou les “mille et une nuits” de la démonologie », Fictions du diable, Démonologie et littérature, Genève, Droz, 2007.
  • « Récits autobiographiques des possédées ; entre manipulations et émergence d’une parole féminine », La discorde des deux langages : représentations des discours masculins et féminins, du Moyen-Âge à l’Âge classique », Textuel, n° 49, Université Paris VII-Diderot, 2006.
  • « Le merveilleux démoniaque, oxymore ou catégorie poétique ? analyse du surnaturel diabolique au temps de la chasse aux sorcières », Le Merveilleux entre mythe et religion, sous la dir. d’Anne Besson et Evelyne Jacquelin, « Études littéraires », Artois Presses Université, 2010.
  • « Le sexe du diable : l’obscénité dans les textes démonologiques », Obscénités renaissantes Guillume Peureux, Robert Hugh et Lise Wajeman, Genève, Droz, 2011.
  • « L’écritoire surnaturel ou le corps du démoniaque », Corps et interprétation (XVIe-XVIIIe siècles) éd. Rodopi, Amsterdam, New-York, 2012.
  • « Qui rapportera ces paroles ? Le théâtre peut-il dire Auschwitz ? », Écritures théâtrales du traumatisme. Esthétiques de la résistance, sous la dir. de Ch. Page, Presses universitaires de Rennes, 2012.
  • « Avaler le texte, être possédé, étude du motif du pacte ingurgité et régurgité dans les possessions démoniaques des XVIe et XVIIe siècles », Écritures du corps, nouvelles perspective, Pierre Zoberman, Anne Tomiche et Willam J. Spurlin, Paris, Garnier, 2013.
  • « Une utopie dans l’utopie : la langue hermaphrodite », L’hermaphrodite de la Renaissance aux Lumières, 26-28 mai 2011, Paris, Garnier, 2013.
  • « Les “diables” dans le Quart Livre », Langue et sens du Quart livre, Paris, classiques Garnier, 2012.
  • « Le cauchemar : quand le démon habite nos rêves », Expériences oniriques dans la littérature et les arts du Moyen Âge au XVIIIe siècle, Mireille Demaules, Paris, Honoré Champion, 2016.
  • « Une forme déviante de l’enthousiasme : la possession démoniaque », Atlante n°9, Enthousiasmes, passions et Émotions dans l’Europe moderne sous la dir. de Camilla Cederna, Caroline Jacot-Grapa et Marie-Claire Thomine, 2018, p. 23-39.
  • « L’inceste dans les canards : naissance d’un topos littéraire », Canards, occasionnels, éphémères, dir. Silvia Liebel et Jean-Claude Arnould, © Publications numériques du CÉRÉdI, « Actes de colloques et journées d’étude », n° 23, 2019 URL : http://publis-shs.univ-rouen.fr/ceredi/index.php?id=730.
  • « De l’esprit invisible au diable incarné : l’illusion démoniaque au temps de la chasse aux sorcières », Voiler/dévoiler le corps de l’Europe au subcontinent indien, dir. Anna Caiozzo, Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise Pascal, 2020.
  • « Portrait de l’auteur en sibylle », La Langue et les langages dans l’œuvre de François Rabelais, Genève, Droz, 2020.
  • «L’Icosameron de Casanova : l’inceste à la puissance 40 », Les Amours entre frère et sœur. L’inceste adelphique du Moyen Âge au début du XIXe siècle, Paris, Garnier, 2020.
  • « Les diables calomniateurs », La Fabrication du diable. Ou pourquoi a-t-on besoin du diable ? (XV-XVIII siècle), dir. Marie-Joëlle Louison-Lassablière, Saint-Étienne, Presses Universitaires de Saint-Étienne, 2020.
  • « “Cet article me fera du cabinet” : l’intime dans “Sur des vers de Virgile” (Essai III, 5) », Écritures et représentations de l’intime, L’Entre-deux n°8 (revue électronique), déc. 2020.
  • « Pouvoirs du diable chez Boaistuau ; entre histoire prodigieuse et discours apologétique », Pierre Boiaistuau ou le génie des formes, Nathalie Grande et Bruno Méniel, Paris, Garnier 2021.
  • « Des positions radicalement antagonistes : La Mesnardière et l’abbé d’Aubignac face aux possédées de Loudun », Littératures classiques n°103, La Mesnardière, un lettré de cour au XVIIe siècle, 2020/3.
  • « L’eau émasculante : lectures du mythe de Salmacis et Hermaphrodite à la Renaissance », Mollesses renaissantes. Défaillances et assouplissements du masculin, dir. Daniel Maira, Genève, Droz, 2021.

« Histoire imaginaire de la sorcière », conférence à Poitiers, au centre Mendès-France, 21 janvier 2021.

En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.
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