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Auteur : Sylvie Faravel

AUSONIUS – UMR 5607
CNRS / Université Bordeaux Montaigne
Maison de l’Archéologie,
8, esplanade des Antilles,
F – 33607 Pessac Cedex
sylvie.faravel@u-bordeaux-montaigne.fr
+34 05 57 12 15 70
052554619

Sylvie Faravel est maître de conférences en histoire et archéologie médiévales.

Après avoir été maître de de conférences en histoire et archéologie médiévale de 1992 à 2003 à l’Université de Toulouse II le Mirail (actuelle Université Toulouse Jean-Jaurès), elle a rejoint l’Université Bordeaux Montaigne où elle est rattachée à l’UMR 5607 Ausonius (Axes “Espace” et “Gestes”).

Responsable de fouilles programmées sur différents sites castraux aquitains, elle dirige depuis 2007 des fouilles du site du Castéra de Langoiran (Gironde). Investie dans les recherches sur l’Aquitaine médiévale des XIe – XVe siècles, ses thèmes de prédilection sont l’espace et l’habitat rural avec, en particulier, le rôle des élites rurales dans la structuration des territoires.

La nécessité de dynamiser la recherche régionale à travers le lancement et l’encadrement des travaux de jeunes chercheurs l’ont également conduit à élargir ses pôles d’intérêt autour des activités d’exploitation des ressources naturelles et des productions dans les vallées de la Garonne et de la Dordogne au Moyen Âge et au-delà.

Accès au livre Relations hommes - canidés de la Préhistoire aux périodes modernes
Le site du Castéra occupé entre le XIe et le XIIIe siècles, a été découvert en 1985. Il est interprété depuis comme le site déserté du castrum primitif de Langoiran.
Accès au livre Relations hommes - canidés de la Préhistoire aux périodes modernes
Le site du Castéra occupé entre le XIe et le XIIIe siècles, a été découvert en 1985. Il est interprété depuis comme le site déserté du castrum primitif de Langoiran. Durant les différentes campagnes de fouilles un ensemble de 12 pièces travaillées, en os ou bois de cerf et directement lié au jeu, ont été mis au jour. L’une de ces pièces, un pion de trictrac, est exceptionnellement bien conservée et présente un décor inédit. La rareté de cette découverte a motivé son analyse et sa contextualisation dans le corpus d’objets comparables de la même période.
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