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Catégorie : Ethnographie

Les archéologues ignorent, le plus souvent, le degré de représentativité des vestiges dont ils disposent aujourd’hui, par rapport à la réalité du passé. Cette difficulté affecte tout particulièrement les vestiges de pratiques funéraires.
L’archéologie des peuples reste embarrassante. Il faut dire que certains de nos devanciers ont miné le terrain en se mettant au service d’idéologies agressives. C’est pourquoi la question de l’origine des peuples se trouve souvent éludée.
La plupart des richesses métalliques de l’âge du Bronze, aujourd’hui connues, ont été abandonnées et condamnées délibérément, sous la forme de dépôts, funéraires ou non. L’âge du Bronze apparaît d’ailleurs comme l’âge des dépôts non funéraires par excellence, même si de tels dépôts sont attestés avant et après cette période.
Cet article s’attachait à comparer, de façon systématique plusieurs hypothèses et argumentaires afin de caractériser les fonctions de ces établissements
Je tentais ici la première analyse du phénomène des résidences princières nord-alpines des VIe et Ve s. a.C. Elle annonçait une série de travaux individuels et collectifs qui n’ont jamais cessé depuis lors.
Cet ambitieux et précoce essai d’interprétation reprenait quelques hypothèses stimulantes, mais contestables ; en particulier l’idée que les nombreux dépôts non funéraires aquatiques auraient été un moyen d’éviter une inflation, une dévaluation de biens de prestige lorsqu’ils devenaient trop abondants.
Ébauchée il y a une quarantaine d’années lors de la publication de ma thèse de doctorat et d’un livre écrit tandis que je candidatais à un poste de chercheur au CNRS, cette enquête n’a cessé de me captiver.
Ébauchée il y a une quarantaine d’années lors de la publication de ma thèse de doctorat et d’un livre écrit tandis que je candidatais à un poste de chercheur au CNRS, cette enquête n’a cessé de me captiver.
Lancée il y a une quarantaine d’années, l’enquête archéologique menée par Patrice Brun se caractérise par une hausse plus élevée que prévue de l’échelle spatiale et temporelle du champ documentaire envisagé au départ.
C’est avant tout en tant que dramaturge et auteur de théâtre, mais aussi en ma qualité d’auteur associé à la direction du Théâtre Dijon Bourgogne , Centre Dramatique National que j’ai souhaité apporter, autant que faire se peut, une tentative d’éclairage de ce que re-présente le « terrain » dans ma pratique artistique.
Cet essai autour du terrain, comme source et ressource créative, se nourrit de mes expériences lors d’un travail sur le théâtre noir au Brésil commencé en 1995 ainsi que de très nombreux terrains réalisés depuis lors au Brésil, au Burkina Faso et au Sénégal.
Ce chapitre propose une réflexion autour de l’implication du chercheur-artiste sur son terrain, à travers des exemples concrets issus de mon expérience de vingt-cinq ans de recherches ethnomusicologiques au Laos et au cœur de l’Asie du Sud-Est continentale.
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