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Catégorie : Ethnographie

C’est avant tout en tant que dramaturge et auteur de théâtre, mais aussi en ma qualité d’auteur associé à la direction du Théâtre Dijon Bourgogne , Centre Dramatique National que j’ai souhaité apporter, autant que faire se peut, une tentative d’éclairage de ce que re-présente le « terrain » dans ma pratique artistique.
Cet essai autour du terrain, comme source et ressource créative, se nourrit de mes expériences lors d’un travail sur le théâtre noir au Brésil commencé en 1995 ainsi que de très nombreux terrains réalisés depuis lors au Brésil, au Burkina Faso et au Sénégal.
Ce chapitre propose une réflexion autour de l’implication du chercheur-artiste sur son terrain, à travers des exemples concrets issus de mon expérience de vingt-cinq ans de recherches ethnomusicologiques au Laos et au cœur de l’Asie du Sud-Est continentale.
Ce chapitre propose une réflexion autour de l’implication du chercheur-artiste sur son terrain, à travers des exemples concrets issus de mon expérience de vingt-cinq ans de recherches ethnomusicologiques au Laos et au cœur de l’Asie du Sud-Est continentale.
Par nature transdisciplinaire, l’ethnoscénologie promeut une pratique inclusive et contemporaine dans l’étude des arts vivants et performatifs. Elle réfléchit à un ensemble d’outils et de méthodes dans l’articulation de ses objets de recherche et s’intéresse à de nouvelles perspectives en matière d’enquête de terrain
Ce chapitre est centré sur les fêtes populaires et entend les considérer comme des situations heuristiques pour penser le terrain en arts vivants. Il s’agit donc de rassembler deux domaines d’étude souvent envisagés séparément.
Arise est une création artistique avec un groupe d’exilés et cinq artistes professionnels au plateau. Elle a été réalisée en plusieurs étapes. La première s’est déroulée de février 2018 à janvier 2020 et a donné lieu à des représentations dans les Hautes-Pyrénées, dont la Scène Nationale de Tarbes-Pyrénées coproducteur du spectacle.
Je suis arrivée au village de Shiyou en 2002, pour étudier son théâtre de masques, appelé nuo. Depuis, j’y suis retournée presque chaque année jusqu’en 2018, pour des séjours de plusieurs semaines, d’abord en hiver pour le Nouvel An, puis en été pour de plus longues durées.
Je suis arrivée au village de Shiyou en 2002, pour étudier son théâtre de masques, appelé nuo. Depuis, j’y suis retournée presque chaque année jusqu’en 2018, pour des séjours de plusieurs semaines, d’abord en hiver pour le Nouvel An, puis en été pour de plus longues durées.
Si l’eau constitue un enjeu sur le temps long pour les sociétés méditerranéennes en contexte de changement climatique, elle est aussi devenue une question socialement vive, portée dans la sphère des débats et des actions publiques.
Je me suis rendu en Mongolie en 2010 pour étudier, en les apprenant, les danses mongoles. Mais régulièrement, au beau milieu de la leçon, mon professeur particulier me laisse seul, sans explication, face à moi-même.
F(l)ammes d’Ahmed Madani, créé en 2016, Stadium de Mohamed El Khatib, en 2017, et Trans (més enllà) de Didier Ruiz, en 2018, sont trois spectacles qui mettent en scène des personnes n’ayant jamais ou très peu fait de théâtre jusqu’à ces expériences qui les ont conduit·es à participer à de longues tournées internationales.
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