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Catégorie : Histoire

Le journal et la correspondance de Jules Dubernet s’inscrivent dans la longue série des archives léguées par les combattants de la Grande Guerre
Il y a de cela 35 ans, nous avons recueilli une poignée de documents ayant appartenu à Jules Dubernet, sabotier à Lucmau, petite commune de la Lande bazadaise.
Ingres jouait du violon… Louis Darquey photographiait avec un appareil à plaques de verre et, plus tard, prenait des vues stéréoscopiques.
L’ouvrage du Docteur Bernard Vigneau que nous tirons aujourd’hui d’un oubli séculaire et immérité s’inscrit dans un courant d’intérêt pour la recherche lexicographique qui s’est manifesté au siècle dernier dans tous nos pays de langue d’oc.
L’histoire politique des pays situés entre les Pyrénées, l’Océan et la Garonne – en gros la Gascogne – repose sur des sources peu nombreuses, d’interprétation parfois difficile – notices de cartulaires – ou sur des “histoires” et généalogies rédigées dans un but intéressé et qu’il convient donc d’accueillir avec la plus grande prudence.
On sait que cette publication est un des monuments de la science historique française de la seconde moitié du XIXe siècle et du premier tiers du XXe. On est redevable de son existence à Jules Delpit, qui prit également la part la plus large à la création de deux autres sociétés savantes girondines, sans compter la Société historique et archéologique du Périgord.
Langon Le début de cet article a été publié dans le numéro 172, 1er trimestre 2011. L’Hôpital
La commune de Marimbault confronte : au nord-ouest, à celle de Lignan ; au nord, à celle de Bazas (ruisseaux du Bois Baquey et du Basque) ; au sud, à celles de Cudos et de Bernos ; à l’ouest, à celle de Pompéjac. Elle a la forme d’un rectangle (nord-sud : 2,3 km ; est-ouest : 2,8 km).
Qu’il s’agisse d’un château aux restes imposants comme celui de Blanquefort, ou d’un ouvrage de terre dont les superstructures ont complètement disparu, l’approche de Léo Drouyn est toujours la même.
Pierre Lacour fils (né en 1778) occupa une place de premier plan dans le monde artistique bordelais de 1814 – date de son retour à Bordeaux – à 1859.
Comme en témoignent les trois tomes parus des Variétés girondines et l’album consacré à La Réole et à la vallée du Drot, la partie septentrionale de l’ancien diocèse de Bazas occupe une place privilégiée dans l’œuvre de Léo Drouyn.
Ce document est conservé aux Archives départementales des Landes sous la cote A 26. Il ne s’agit en réalité que d’une partie d’un terrier dont nous ignorons combien de reconnaissances il contenait à l’origine.
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