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Féministe (1909) glyphe structure

Féministe (1909) glyphe structure

La dernière nouvelle du recueil est la seule qui se déclare ouvertement « féministe » : tout un programme ! Elle raconte comment Clotilde, une épouse humiliée par son mari, Nicolás, se venge des mauvais traitements qu’il lui a fait subir pendant des années. La critique a cru voir dans ce texte le portrait ironique d’une féministe. C’est difficile à croire quand on sait qu’à la fin de sa vie, Emilia Pardo Bazán se déclarait « féministe radicale »1. Dans l’écriture, il y a moins d’incises, moins d’adjectifs ou d’adverbes, moins de phrases longues, plusieurs néologismes ; bref, le texte est plus dynamique. L’écrivaine est au sommet de son art2.

       

Feminista

Fue en el balneario de Aguasacras donde hice conocimiento con aquel matrimonio: el marido, de chinchoso y displicente carácter, arrastrando el incurable padecimiento que dos años después le llevó al sepulcro; la mujer, bonitilla, con cara de resignación alegre, cuidándole solícita, siempre atenta a esos caprichos de los enfermos, que son la venganza que toman de los sanos.

Féministe

C’est aux thermes d’Aguasacras que je fis la connaissance du couple : le mari, très antipathique, traînant l’incurable maladie qui le mènerait au tombeau deux ans plus tard ; sa femme, plutôt jolie, résignée mais joyeuse, toujours aux petits soins et attentive à ses moindres caprices, vengeance des malades sur les personnes en bonne santé.

Conservaba, no obstante, el valetudinario la energía suficiente para discutir, con irritación sorda y pesimismo acerbo, sobre todo lo humano y lo divino, desarrollando teorías de cerrada intransigencia. Su modo de pensar era entre inquisitorial y jacobino, mezcla más frecuente de lo que se pudiera suponer, aquí donde los extremos no sólo se han tocado, sino que han solido fusionarse en extraña amalgama. Han sido generalmente prendas raras entre nosotros la flexibilidad y delicadeza de espíritu, engendradoras de la amable tolerancia, y nuestro recio y chirriante disputar en cafés, círculos, reuniones, plazuelas y tabernas lo demostraría, si otros signos del orden histórico no bastasen.

Bien qu’affaibli, l’homme gardait assez d’énergie pour débattre, avec une exaspération sourde et un pessimisme acerbe, sur tout ce qui a trait à l’humain et au divin, élaborant des théories d’une intransigeance absolue. Sa façon de penser était mi-inquisitoriale, mi-jacobine. Ce mélange, plus fréquent qu’on ne l’imagine, fait se rejoindre les extrêmes au point de les fondre en un étrange amalgame. La souplesse et la délicatesse d’esprit, à l’origine de la tolérance, sont des qualités peu répandues chez nous autres, Espagnols. Le son aigre de nos violentes discussions dans les cafés, cercles, réunions et autres lieux publics en apporterait la preuve si d’autres signes d’ordre historique n’étaient pas largement suffisants.

El enfermo a que me refiero no dejaba cosa a vida. Rara era la persona a quien no juzgaba durísimamente. Los tiempos eran fatídicos y la relajación de las costumbres horripilantes [sic]. En los hogares reinaba la anarquía, porque, perdido el principio de autoridad, la mujer ya no sabe ser esposa, ni el hombre ejerce sus prerrogativas de marido y padre. Las ideas modernas disolvían, y la aristocracia, por su parte, contribuía al escándalo. Hasta que se zurciesen muchos calcetines no cabía salvación. La blandenguería de los varones explicaba el descoco y garrulería de las hembras, las cuales tenían puesto en olvido que ellas nacieron para cumplir deberes, amamantar a sus hijos y espumar el puchero. Habiendo yo notado que al hallarme presente arreciaba en sus predicaciones el buen señor, adopté el sistema de darle la razón para que no se exaltase demasiado.

Le patient dont je parle ne laissait rien passer. Rares étaient les personnes qu’il ne jugeait pas très sévèrement. L’époque était accablante et le relâchement des mœurs terrifiant. L’anarchie régnait dans les foyers car, sans autorité, la femme ne savait plus se comporter en épouse et l’homme ne pouvait plus exercer ses prérogatives de mari et de père. Les idées modernes faisaient des ravages et l’aristocratie, quant à elle, avait une attitude scandaleuse. Il n’y aurait point de salut avant longtemps ! Les hommes devenaient des chiffes molles et les femmes, par conséquent, crânaient et bavassaient, oubliant qu’elles étaient nées pour accomplir leurs devoirs : allaiter les enfants et rester aux fourneaux. Comme j’avais remarqué qu’en ma présence le bonhomme prédiquait de plus belle, j’optai pour lui donner raison afin d’éviter qu’il s’emporte trop.

No sé qué me llamaba más la atención, si la intemperancia de la eterna acometividad verbal del marido, o la sonrisilla silenciosa y enigmática de la consorte. Ya he dicho que era ésta de rostro agraciado, pequeño de estatura, delgada, de negrísimos ojos, y su cuerpo revelaba esa contextura acerada y menuda que promete longevidad y hace las viejecitas secas y sanas como pasas azucarosas glyphe néologisme . Generalmente, su presencia, una ojeada suya, cortaban en firme las diatribas y catilinarias del marido. No era necesario que murmurase:

Je ne sais pas ce qui attirait le plus mon attention entre l’outrance de la perpétuelle agressivité verbale du mari et le petit sourire silencieux et énigmatique de son épouse. Comme je l’ai dit, elle était assez jolie, petite, mince, ses yeux étaient d’un noir profond et son corps très ferme ; plus tard, elle ressemblerait à une petite vieille aussi saine qu’un raisin sec bien sucré. En général, sa présence ou son regard mettaient fin aux diatribes et autres invectives du mari. Elle n’avait point à murmurer :

–No te sofoques, Nicolás; ya sabes que lo ha dicho el médico…

– Ne t’énerve pas, Nicolás, tu te souviens de ce que le docteur a dit…

Generalmente, antes de llegar a este extremo, el enfermo se levantaba y, renqueando, apoyado en el brazo de su mitad, se retiraba o daba un paseíto bajo los plátanos de soberbia vegetación.

La plupart du temps, avant d’en arriver là, le malade se levait, et, tout en boitant, appuyé sur le bras de sa moitié, il se retirait ou allait se promener à l’ombre des immenses platanes.

Había olvidado completamente al matrimonio –como se olvidan estas figuras de cinematógrafo, simpáticas o repulsivas, que desfilan durante una quincena balnearia–, cuando leí en una cuarta plana de periódico la papeleta: «El excelentísimo señor don Nicolás Abréu y Lallana, jefe superior de Administración… Su desconsolada viuda, la excelentísima señora doña Clotilde Pedregales…». La casualidad me hizo encontrar en la calle, dos días después, al médico director de Aguasacras, hombre muy observador y discreto, que venía a Madrid a asuntos de su profesión, y recordamos, entre otros desaparecidos, al mal engestado señor de las opiniones rajantes glyphe néologisme .

J’avais totalement oublié ce couple rencontré lors de mon séjour à la station thermale, comme on oublie les silhouettes qui défilent au cinéma, attirantes ou repoussantes, quand je lus dans les pages intérieures du journal l’avis suivant : « Son Excellence don Nicolás Abréu y Lallana, Chef supérieur de l’Administration… Sa veuve inconsolable, Son Excellence doña Clotilde Pedregales… ». Le hasard fit que, deux jours plus tard, je rencontrai dans la rue le médecin chef d’Aguasacras, un homme très observateur et discret, venu à Madrid pour des raisons liées à sa profession, et nous nous remémorâmes, parmi d’autres défunts, cet homme mal embouché aux opinions tranchantes.

–¡Ah, el señor Abréu! ¡El de los pantalones! –contestó, riendo, el doctor.

– Ah oui ! Monsieur Abréu ! L’homme au pantalon ! répondit le docteur en riant.

–¿El de los pantalones? –interrogué con curiosidad.

– L’homme au pantalon ? demandai-je avec curiosité.

–Pero ¿no lo sabe usted? Me extraña, porque en los balnearios no hay nada secreto, y esto no sólo se supo, sino que se comentó sabrosamente… ¡Vaya! Verdad que usted se marchó unos días antes que los Abréu, y la gente dio en reírse al final, cuando todos se enteraron… ¿Dirá usted que cómo se pueden averiguar cosas que suceden a puerta cerrada? Es para asombrarse: se creería que hay duendes…

– Comment ? Vous n’êtes pas au courant ? Je suis surpris car les secrets sont mal gardés dans les stations thermales ; tout le monde l’a su et en a fait ses choux gras… Qui l’eût cru ! Il est vrai que vous nous avez quittés quelques jours avant les Abréu et nous avons tous bien ri quand nous l’avons appris… Vous rétorquerez sans doute qu’on ne peut jamais savoir ce qui se passe à huis clos, n’est-ce pas ? C’est difficile à croire mais on dirait que certains murs ont des oreilles…

En este caso especial, lo que ocurrió en el balneario mismo debieron de fisgarlo las camareras, que no son malas espías, o los vecinos al través del tabique, o… En fin, brujerías de la realidad. Los antecedentes parece que se conocieron porque allá de recién casado, Abréu, que debía de ser el más solemne majadero, anduvo jactándose de ello como de una agudeza y un rasgo de carácter, que convendría que imitasen todos los varones para cimentar sólidamente los fueros del cabeza de familia.

Dans ce cas précis, les femmes de chambre, en bonnes espionnes, ont dû découvrir l’affaire, ou bien les occupants de la chambre voisine ou… Bref, un coup du sort. Il semblerait que les antécédents soient connus de tous car, à peine marié, Abréu, cette espèce d’idiot, s’en est vanté, comme d’un trait d’esprit et de caractère que tous les hommes devraient imiter pour asseoir leur autorité de chef de famille.

Y fíjese usted: los dos episodios se completan. Es el caso que Abréu, como todos los que a los cuarenta años se vuelven severos moralistas, tuvo una juventud divertida y agitada. Alifafes y dolamas le llamaron al orden, y entonces acordó casarse, como el que acuerda mudarse a un piso más sano. Encontró a aquella muchacha, Clotildita, que era mona, bien educada y sin posición ninguna, y los padres se la dieron gustosos, porque Abréu, provisto de buenas aldabas, siempre tuvo colocaciones excelentes. Se casaron, y la mañana siguiente a la boda, al despertar la novia, en el asombro del cambio de su destino, oyó que el novio, entre imperioso y sonriente, mandaba:

Et vous remarquerez que les deux épisodes se complètent. Il se trouve qu’Abréu, comme tous ceux qui, à la quarantaine, deviennent des moralisateurs impénitents, a mené une vie de patachon. Quelques bobos l’ont rappelé à l’ordre, ce qui l’a décidé à se marier, comme on décide d’emménager dans un appartement plus salubre. Il a trouvé cette jeune fille, la petite Clotilde, qui était jolie et bien éduquée mais sans position, et ses parents lui ont donné sa main avec plaisir car Abréu avait le bras long et a toujours occupé de très bons postes. Ils se sont mariés et le lendemain de la cérémonie, quand la jeune épouse s’est réveillée, encore étonnée du tour qu’avait pris son destin, son mari, à la fois autoritaire et souriant, lui a dit :

–Clotilde mía…, levántate.

– Ma douce Clotilde, lève-toi.

Hízolo así la muchacha, sin darse cuenta del porqué; y al punto el esposo, con mayor imperio, ordenó:

La jeune fille s’est exécutée sans se poser de questions et, aussitôt, son époux, plus autoritaire, a ordonné :

–¡Ahora…, ponte mis pantalones!

– Et maintenant… Enfile mon pantalon !

Atónita, sin creer lo que oía, la niña optó por sonreír a su vez, imaginando que se trataba de una broma de luna de miel…, broma algo chocante, algo inconveniente…; pero ¿quién sabe? ¿Sería moda entre novios?…

Stupéfaite, sans en croire ses oreilles, elle a préféré sourire à son tour, pensant qu’il s’agissait d’une plaisanterie de lune de miel… Un peu choquante et déplacée, mais qui sait ? Peut-être était-ce en vogue entre jeunes mariés ?

–¿Has oído? –repitió él–. ¡Ponte mis pantalones! ¡Ahora mismo, hija mía!

– Tu as entendu ? Enfile mon pantalon ! Et tout de suite, ma petite ! a-t-il répété.

Confusa, avergonzada, y ya con más ganas de llorar que de reír, Clotilde obedeció lo mejor que pudo. ¡Obedecer es ley!

Confuse, honteuse et désormais plus d’humeur à pleurer qu’à rire, Clotilde a obéi du mieux qu’elle a pu. Obéir, c’est un devoir !

–Siéntate ahora ahí –dispuso nuevamente el marido, solemne y grave de pronto, señalando a una butaca. Y así que la empantalonada glyphe néologisme niña se dejó caer en ella, el esposo pronunció–: He querido que te pongas los pantalones en este momento señalado para que sepas, querida Clotilde, que en toda tu vida volverás a ponértelos. Que los he de llevar yo, Dios mediante, a cada hora y cada día, todo el tiempo que dure nuestra unión, y ojalá sea muchos años, en santa paz, amén. Ya lo sabes. Puedes quitártelos

– Maintenant, assieds-toi ici, a poursuivi son mari, soudain grave et solennel, en désignant un fauteuil. Et tandis que la petite pantalonnée s’y laissait tomber, il a déclaré : – J’ai voulu que tu enfiles mon pantalon, en cet instant précis, pour que tu saches, ma chère Clotilde, que jamais plus tu ne le porteras. C’est à moi de le porter, si Dieu le veut, à chaque heure de chaque jour, aussi longtemps que durera notre union et j’espère qu’elle durera des années, dans la paix, amen. Maintenant que c’est dit, tu peux l’enlever.

¿Qué pensó Clotilde de la advertencia? A nadie lo dijo; guardó ese silencio absoluto, impenetrable, en que se envuelven tantas derrotas del ideal, del humilde ideal femenino, honrado, juvenil, que pide amor y no servidumbre… Vivió sumisa y callada, y si no se le pudo aplicar la divisa de la matrona romana, «Guardó el hogar e hiló lana asiduamente», fue porque hoy las fábricas de género de punto han dado al traste con la rueca y el huevo de zurcir glyphe expressions/culturèmes .

Qu’a pensé Clotilde de l’avertissement ? Elle ne l’a dit à personne. Elle s’est murée dans ce silence total, impénétrable, qui enveloppe tant de défaites de l’humble idéal de jeunes filles honnêtes, qui veulent l’amour et non la servitude… Elle a vécu soumise et silencieuse, et si l’on n’a pas pu lui appliquer la devise de la matrone romaine, « Elle veilla sur le foyer et fila la laine assidûment », c’est parce qu’aujourd’hui les usines textiles ont fait tomber en quenouille le rouet et l’œuf à repriser.

Pero Abréu, a pesar de la higiene conyugal, tenía el plomo en el ala. Los restos y reliquias de su mal vivir pasados remanecieron en achaques crónicos, y la primera vez que se consultó conmigo en Aguasacras, vi que no tenía remedio; que sólo cabía paliar lo que no curaría sino en la fuente de Juvencia… ¡Ignoramos dónde mana!

Mais Abréu, malgré une vie conjugale plus saine, avait du plomb dans l’aile. Les séquelles de son passé sont réapparues sous forme de maux chroniques, et après sa première consultation à Aguasacras, j’ai su qu’il n’y avait rien à faire, sauf soulager ce que seule la fontaine de Jouvence est capable de guérir… Mais on ignore où elle jaillit !

Su mujer le cuidaba con verdadera abnegación. Le cuidaba: eso lo sabemos todos. Se desvivía por él, y en vez de divertirse –al cabo era joven aún–, no pensaba sino en la poción y el medicamento. Pero todas las mañanas, al dejar las ociosas plumas el esposo, una vocecita dulce y aflautada le daba una orden terminante, aunque sonase a gorjeo:

Sa femme le soignait avec une véritable abnégation. Elle s’en occupait, tout le monde le sait. Elle se démenait pour lui, et au lieu de s’amuser – après tout, elle était encore jeune – elle ne pensait qu’aux potions et aux remèdes. Pourtant, chaque matin, alors que son mari abandonnait son lit douillet, une petite voix douce et aiguë, pareille à un gazouillis, lui donnait un ordre péremptoire :

–¡Ponte mis enaguas, querido Nicolás! ¡Ponte aprisa mis enaguas!

– Enfile mon jupon, mon cher Nicolás ! Et enfile-le vite !

Infaliblemente, la cara del enfermo se descomponía; sordos reniegos asomaban a sus labios…, y la orden se repetía siempre en voz de pájaro, y el hombre bajaba la cabeza, atándose torpemente al talle las cintas de las faldas guarnecidas de encajes. Y entonces añadía la tierna esposa, con acento no menos musical y fino:

Et chaque fois, la mine du malade se décomposait. De timides protestations sortaient de sa bouche… Et l’ordre était répété, toujours de cette voix de rossignol et l’homme baissait la tête, attachant maladroitement les rubans du jupon orné de dentelles à sa taille. Alors, sa tendre épouse ajoutait d’un ton tout aussi musical et délicat :

–Para que sepas que las llevas ya toda tu vida, mientras yo sea tu enfermerita, ¿entiendes?

– C’est pour que tu saches que tu le porteras à vie, tant que je serai ta petite infirmière, compris ?

Y aún permanecía Abréu un buen rato en vestimenta interior femenina, jurando entre dientes, no se sabe si de rabia o porque el reúma apretaba de más, mientras Clotilde, dando vueltas por la habitación, preparaba lo necesario para las curas prolijas y dolorosas, las fricciones útiles y los enfranelamientos glyphe néologisme precavidos.

Et Abréu restait encore un bon moment en sous-vêtements féminins tout en jurant dans sa barbe – on ignore si c’était de rage ou à cause des rhumatismes – pendant que Clotilde s’affairait à préparer le nécessaire pour lui appliquer quantité de soins douloureux, moult bandages préventifs et autres frictions.

Notes

  1. Voir Pardo Bazán, 2021, « Entrevista con el caballero audaz », p. 260.
  2. À propos de cette nouvelle, voir Florenchie, 2024.
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Pau
Chapitre de livre
EAN html : 9782353111992
ISBN html : 978-2-35311-199-2
ISBN pdf : 978-2-35311-200-5
Volume : 2
ISSN : 3040-312X
10 p.
Code CLIL : 4033
licence CC by SA
Licence ouverte Etalab

Comment citer

Pardo Bazán, Emilia, « Féministe », in : Pardo Bazán, Emilia, coord. Florenchie, Amélie et Orsini-Saillet, Catherine, trad. Destan, Laura, Florenchie, Amélie, Martinet, Léa, Orsini-Saillet, Catherine et Pobéda, Stéphanie, Féministe. Recueil de nouvelles d’Emilia Pardo Bazán, Pau, PUPPA, Collection Alm@e Linguae 3, 2025, 119-128 [en ligne] https://una-editions.fr/feministe-feminista [consulté le 10/09/2025].
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