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Lieu d'édition : Pessac

Les Tables Eugubines – sept tablettes de bronze des IIIe et IIe s. a.C. découvertes à Gubbio (Ombrie, Italie) – témoignent de l’existence, dans la cité, de rites impliquant des offrandes de gâteaux sacrés.
Le but de cette courte note est d’illustrer différentes manières de mettre en scène le pouvoir en Étrurie, à partir d’exemples tirés de contextes urbains et de zones rurales, en analysant leurs différentes formes d’expression.
Dans le champ des représentations culturelles, la religion et les pratiques rituelles apparaissent comme un domaine important, voire fondamental, pour caractériser l’identité des populations, pour déterminer les personnes qui appartiennent collectivement à un même ensemble, parfois pour mieux se distinguer d’autres ensembles.
For the last ten years or so, starting from the beginning of the TCM project – Transformations and Crisis in the Mediterranean
À la Renaissance, la science dermatologique est inexistante et la peau n’est perçue qu’à l’œil nu. C’est seulement au XVIIe siècle que le Bolonais Marcello Malpighi effectuera des coupes histologiques et le Néerlandais Govert Bidloo des observations au microscope.
Cet ouvrage est le résultat d’un programme d’échange entre les universités de Bordeaux-Montaigne et de São Paulo autour de la culture matérielle occidentale des sociétés antique et médiévale (programme COFECUB).
Le vêtement était jusqu’ici un objet principalement étudié par l’archéologie et par l’histoire culturelle, comme symbole d’une identité sociale, ethnique ou de genre.
L’étudiant en goguette à Venise passe au moins une demi-journée à la Gallerie dell’Academia. Là, il peut s’arrêter, quelques instants, devant un tableau de Giovanni Francesco Caroto peint entre 1520 et 1525. Cette peinture est intitulée Madone à l’enfant cousant.
En apparence, décrire le corps comme le vêtement de l’âme traduit une conception dualiste de la nature humaine, où le corps est accessoire, accidentel, instrumental et inférieur à ce qui serait la dimension fondamentale de la personne, son âme.
La métaphore est souvent conçue comme un rapport entre deux réalités au moyen d’un mot. Il s’agirait de la “[f]igure d’expression par laquelle on désigne une entité conceptuelle au moyen d’un terme qui, en langue, en signifie une autre”
“Tout vêtement retranche du monde”, écrit Henri Michaux dans Un Barbare en Asie. Pourquoi se vêtir, sinon pour se protéger du monde ? En couvrant le corps, le vêtement réduit la violence du monde sensible sur la chair.
L’origine de la thématisation néoplatonicienne de la “tunique de l’âme” est tout d’abord platonicienne et pythagoricienne. Dans le Phédon, Cébès fait l’hypothèse d’une âme qui ne cesse de tisser son propre corps (87a-e).
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