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Lieu d'édition : Pessac
Cet ouvrage, riche de trente-six de contributions de la part de plus de soixante-dix auteurs, permet aujourd’hui de saluer le parcours exemplaire et précurseur de Béatrice Cauuet, guidé par la détermination, l’exigence scientifique, la générosité et le goût de la découverte.
Les différents articles couvrent une grande partie de l’Europe et une chronologie large allant du Néolithique jusqu’à la période moderne. Ils mettent en exergue l’importance des mines et des métaux pour les sociétés anciennes. Ce recueil aborde de nombreux champs thématiques : mines, outillage et techniques, métaux, impacts socio-économiques, monnaies, objets et parures…
Historiens, historiens de l’art, architectes, urbanistes, conservateurs et animateurs du patrimoine proposent d’analyser à travers 17 contributions concernant plus de 15 villes essentiellement françaises, les « relations organiques » qui lient l’histoire des villes aux franchissements de leur fleuve ou leur rivière.
Cinq ateliers de métallurgie primaire sont connus dans ce district : deux sur le site des Atiels (dans le hameau et en rive droite du Pézègues), un à Sourre, un à Berni et le dernier à Moutou (fig. 156).
Trois périodes d’activité anciennes ont été reconnues sur le district (fig. 153). La première phase, mise en lumière par le radiocarbone, se situe dans l’intervalle des IVe et IIIe siècles av. n. è.
Une partie des réseaux n’était déjà plus accessible lors des recherches menées par C. Dubois et J.-E.Guilbaut. Les choses n’ont pas changé pour ceux-ci, mais il faut leur ajouter le site de Lagarde, dont l’accès déjà limité aux travaux souterrains a été condamné par un glissement de terrain.
Les vestiges miniers des Atiels sont situés au sud-ouest du hameau du même nom, en rive droite du Pézègues (fig. 119). Ils font partie d’un ensemble plus large comprenant un atelier de traitement du minerai de cuivre, au pied de la mine, et un atelier de réduction du fer, dans le hameau.
La mine de Rougé est celle qui se trouve à la plus haute altitude parmi toutes celles que l’on connaît dans ce district, entre 680 et 690 m d’altitude (fig. 51). Elle n’a fait l’objet que d’une reconnaissance au début du XXe siècle, alors que des travaux de plus grande envergure sont menés dans la mine proche de Fagnou (pour zinc et cuivre), dans laquelle il n’y a pas de vieux travaux (fig. 47).
Plusieurs inventaires des richesses minéralogiques des Pyrénées réalisés aux XVIIe et XVIIIe siècles nous sont parvenus et donnent quelques indications sur les mines en activité ou abandonnées à ces époques.
Situé au centre du département actuel de l’Ariège, le massif de l’Arize se situe dans le Séronais, entre la haute montagne et la plaine dans un axe sud-nord et entre les vallées du Salat (Couserans) et de l’Ariège (Pays de Foix) suivant un axe ouest-est (fig. 39).
par Rui Ramos Loza
Les grands aménagements du centre-ville de Rennes ont commencé au XVIIIe siècle, avec comme enjeu de développement urbain la connexion entre la ville haute et la ville basse. Le XIXe siècle aura été marqué par l’édification de murs de quai en maçonnerie, construits pour canaliser la Vilaine et assainir la ville.
par Mathieu Cardin
Les grands aménagements du centre-ville de Rennes ont commencé au XVIIIe siècle, avec comme enjeu de développement urbain la connexion entre la ville haute et la ville basse. Le XIXe siècle aura été marqué par l’édification de murs de quai en maçonnerie, construits pour canaliser la Vilaine et assainir la ville.
par Emmanuel Mary
C’est en s’interrogeant sur son devenir de « ville moderne des années 1950 », de ville maritime et industrialo-portuaire, que la construction patrimoniale de Saint-Nazaire a émergé.