Bien sûr, il nous faut remercier tous les acteurs de l’ouvrage, artistes et auteurs non seulement pour leur engagement dans l’aventure, mais aussi pour nous avoir fait confiance malgré les atermoiements d’une publication qui n’en finissait pas. Cinq ans se sont écoulés depuis l’exposition, pénultième acte de notre projet “total”, quatre années depuis l’écriture des textes.
Remercier à nouveau la Casa de Velázquez pour avoir accueilli l’exposition Sendas. Remercier aujourd’hui nos éditrices qui ont su être à l’écoute d’ambitions dont la concrétisation n’avait rien d’évident. Le Centre de Recherches Historiques de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, par son aide financière, a contribué à l’achèvement de cette publication.
Nous remercions également les institutions, les chercheurs et les chercheuses qui ont autorisé l’usage de photographies à l’heure de l’exposition et que l’on retrouve ici : le Centre d’Étude Supérieure de Civilisation Médiévale, Musée Lugdunum de Lyon en la personne de Hugues Savay-Guerraz, le Musée d’Aquitaine, Emmanuel Ferber (Inrap), Étienne Louis (Site de Hamage).
Ce livre est l’occasion d’exprimer plus formellement ma gratitude à tous ceux et celles à l’œuvre au moment si crucial du montage de Sendas, quand l’urgence est là, et que chaque minute compte. Dire qu’à côté du support technique attendu, il y eu toutes les aides imprévues et tellement bienvenues, les écoutes actives et les petites mains salvatrices, avec une pensée particulière pour Marie De Jongh.
Enfin, il est deux compagnons de route pour lesquels ma reconnaissance est immense, parce que leur engagement a dépassé de loin ce qui ne devait relever que du contractuel à l’heure de Sendas Epigraficas. L’une et l’autre n’ont pas compté leur temps. À Louma Morelière et Matthieu Iandolino donc, ce projet d’exposition doit énormément, entre autres la force de l’aboutissement. Et plus que tout, il leur doit la tonalité de son souvenir, lumineux, et ses échos les plus joyeux.
Ce livre, comme la marque de notre gratitude à tous ceux et celles qui nous ont accompagné en 2019 et ceux et celles qui ont su nous recevoir avec bienveillance et indulgence malgré les maladresses, les défauts d’un projet porté par une confiance naïve, propre à la première fois d’un fait-main bricolé.