UN@ est une plateforme d'édition de livres numériques pour les presses universitaires de Nouvelle-Aquitaine

Auteur : Arnaud Hurel

Muséum national d’histoire naturelle
UMR 7194
Institut de paléontologie humaine
1 rue René Panhard
75013 Paris
arnaud.hurel@mnhn.fr
0000-0002-8349-0986
ArnaudHurel

Arnaud Hurel est historien habilité à diriger des recherches, spécialité épistémologie et histoire des sciences. Il est spécialiste de l’histoire et de l’épistémologie de l’anthropologie et de l’archéologie préhistoriques aux XIXe-XXe siècles.
Ses recherches portent, entre autres sur l’histoire des institutions scientifiques et muséales (collections, muséographie, etc.), les sociabilité et réseaux savants, la préhistoire devant l’Église et devant le matérialisme scientifique, les représentations scientifiques et sociales autour des hommes antéhistoriques, les questions patrimoniales en lien avec la préhistoire (gisements, collections, législation, réglementation).
Membre de l’UMR 7194 Histoire naturelle de l’homme préhistorique, il est membre associé de l’UMR 8560 Centre Koyré histoire des sciences et des techniques.
Il préside la section des Sciences, Histoire et Patrimoine des sciences et des techniques et de l’archéologie industrielle du Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS).
 

Bibliographie 

 

Contenus additionnels

Henri Breuil, pionnier de la préhistoire

Grotte d’Altamira : bisons réfutés

Des mammouths près de chez vous

 

Mots clés
histoire, sciences de l’Homme, préhistoire, musées, patrimoine

Dédié à une éminente personnalité, Gabriel de Mortillet, cet ouvrage se donne pour ambition d’étudier les acteurs (hommes, institutions, collections, sites), les idées et les interactions de la préhistoire du second XIXe siècle afin de mieux en évaluer la production scientifique et par-là apprécier à sa juste valeur son héritage intellectuel et patrimonial.
Répertoire indicatif de fonds d’archives contenant des papiers relatifs à Gabriel de Mortillet
Un esprit scientifique qui, par son caractère revendiqué comme positif, se veut en rupture avec les pratiques antérieures se développe au cours du XIXe siècle. Il entend ouvrir la voie à une connaissance nouvelle de l’Homme, à une redécouverte de son être. Seul ou considéré en ses sociétés, l’Homme serait devenu pleinement objet de science.
Au cours du XIXe siècle l’archéologie des temps préhistoriques commence à se définir en répondant, sur le terrain et dans les cénacles savants, à la question première de la haute antiquité de l’Homme.
Retour en haut
Aller au contenu principal