UN@ est une plateforme d'édition de livres numériques pour les presses universitaires de Nouvelle-Aquitaine
Auteur : Ayed Ben Amara
IRAMAT- CRP2A
Institut de Recherche sur les ArchéoMATériaux (IRAMAT)
UMR 5060 CNRS – Université de Bordeaux Montaigne
Centre de Recherche en Physique Appliquée à l’archéologie (CRP2A)
Maison de l’archéologie, Esplanade des Antilles
33607 Pessac Cedex (FRANCE)
ayed.ben-amara@u-bordeaux-montaigne.fr
+33 (0)5 57 12 45 47
069230803
Institut de Recherche sur les ArchéoMATériaux (IRAMAT)
UMR 5060 CNRS – Université de Bordeaux Montaigne
Centre de Recherche en Physique Appliquée à l’archéologie (CRP2A)
Maison de l’archéologie, Esplanade des Antilles
33607 Pessac Cedex (FRANCE)
ayed.ben-amara@u-bordeaux-montaigne.fr
+33 (0)5 57 12 45 47
069230803
Maître de conférences à l’Université Bordeaux Montaigne depuis 2005 avec la spécialité : physique appliquée à l’histoire de l’art et à l’archéologie, rattaché à l’Institut de Recherche sur les ArchéoMATériaux – CRP2A (Centre de Recherche en Physique Appliquée à l’Archéologie, Université Bordeaux Montaigne / CNRS).
Depuis mon entrée en 1999 au CRP2A afin d’y préparer un doctorat, j’ai pu me consacrer principalement à deux thèmes :
- Caractérisation des archéomatériaux, plus particulièrement des analyses physiques de céramiques en fonction des problématiques liées aux techniques de fabrication, aux mécanismes d’altération et aux recherches de provenance,
- Développement des méthodes analytiques pour l’étude du patrimoine culturel au laboratoire et/ou in situ(céramique, verre, matière colorante, grès, …),
Au total les travaux auxquels j’ai pris part (en leader ou en partenaire) ont donné lieu globalement à 30 publications, 12 rapports substantiels et 95 communications.
Une partie des travaux publiés : DOI: 10.3406/arsci.2001.1013 ;
DOI : 10.3406/arsci.2003.1046 ;
DOI: 10.1051/jp4:2005123036 ;
DOI : 10.4000/archeosciences.441 ;
DOI: 10.4000/archeosciences.458 ;
DOI : 10.4000/archeosciences.224 ;
DOI : 10.1186/s40494-015-0050-5 ;
DOI : 10.1016/j.jasrep.2020.102314
L’étude du mobilier céramique se fait en collaboration de plus en plus étroite entre archéologues, historiens et archéomètres : on est passé à un véritable dialogue entre les disciplines dans une optique large, relevant aussi bien du paléoenvironnement que des techniques et de l’économie.
La synthèse de plusieurs décennies de recherches sur les sites de production et de consommation des amphores Dressel 6B, exposée dans les articles précédents de cet ouvrage, nous permet aujourd’hui d’apprécier le travail accompli et les avancées obtenues grâce à la combinaison de l’épigraphie et de l’archéologie.
Les études du mobilier céramique se font en collaboration de plus en plus étroite entre archéologues, historiens et archéomètres : on est passé de la simple prestation de service d’un laboratoire d’archéométrie, demandée par un céramologue, lequel cherchait la confirmation d’une hypothèse à propos d’une production, à un véritable dialogue entre les disciplines dans une optique plus large, relevant aussi bien du paléoenvironnement que des techniques et de l’économie.