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Auteur : Christine Lorre

Musée d’Archéologie nationale
Château
Place Charles de Gaulle
78105 Saint-Germain-en-Laye
christine.lorre@culture.gouv.fr
0000-0003-1866-9733

Égyptologue de formation, Christine Lorre a exercé dans plusieurs services patrimoniaux du ministère de la Culture avant d’être nommée conservateur au musée d’Archéologie nationale (Saint-Germain-en-Laye), chargée de la collection d’archéologie comparée provenant des cinq continents, depuis les origines de l’homme jusqu’à l’époque contemporaine. Elle a plus particulièrement travaillé sur les collections de Malaisie, d’Espagne, d’Italie, d’Égypte et du Caucase. Membre de l’équipe Du village à l’État au Proche- et Moyen-Orient (UMR 7041 ArScAn, MSH Mondes, Nanterre) depuis 2012, elle s’intéresse également à l’histoire de l’archéologie et aux grandes personnalités scientifiques qui ont contribué à fonder, développer et enrichir le musée d’Archéologie nationale : Jacques de Morgan, Ernest Chantre, Joseph de Baye, Henri Hubert et Claude Schaeffer.
 

Mots clés
archéologie comparée, archéologie égyptienne, Prédynastique égyptien, Protohistoire caucasienne, histoire des collections, histoire des musées, muséologie

Dédié à une éminente personnalité, Gabriel de Mortillet, cet ouvrage se donne pour ambition d’étudier les acteurs (hommes, institutions, collections, sites), les idées et les interactions de la préhistoire du second XIXe siècle afin de mieux en évaluer la production scientifique et par-là apprécier à sa juste valeur son héritage intellectuel et patrimonial.
Répertoire indicatif de fonds d’archives contenant des papiers relatifs à Gabriel de Mortillet
Le musée gallo-romain, tel que ses premiers concepteurs l’ont conçu, répondait à une double aspiration : expérimenter une présentation chronologique de séries archéologiques typologiquement classées, non seulement à des fins de recherche, mais aussi comme instrument pédagogique à l’intention d’un public instruit.
Au cours du XIXe siècle l’archéologie des temps préhistoriques commence à se définir en répondant, sur le terrain et dans les cénacles savants, à la question première de la haute antiquité de l’Homme.
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