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Auteur : Nadia Cantin
IRAMAT- CRP2A
Institut de Recherche sur les ArchéoMATériaux (IRAMAT)
UMR 5060 CNRS – Université de Bordeaux Montaigne
Centre de Recherche en Physique Appliquée à l’archéologie (CRP2A)
Maison de l’archéologie, Esplanade des Antilles
33607 Pessac Cedex (FRANCE)
nadia.cantin@u-bordeaux-montaigne.fr
+33 (0)5 57 12 62 11
0000-0002-5568-0942
Institut de Recherche sur les ArchéoMATériaux (IRAMAT)
UMR 5060 CNRS – Université de Bordeaux Montaigne
Centre de Recherche en Physique Appliquée à l’archéologie (CRP2A)
Maison de l’archéologie, Esplanade des Antilles
33607 Pessac Cedex (FRANCE)
nadia.cantin@u-bordeaux-montaigne.fr
+33 (0)5 57 12 62 11
0000-0002-5568-0942
Ingénieure de recherche en Archéométrie au CNRS depuis 2003.
Elle a rejoint l’IRAMAT-CRP2A en 2008. Ses principales activités de recherche concernent les céramiques anciennes en révélant leurs compositions minéralogiques et chimiques. Sa formation en géologie lui a permis d’appliquer les méthodes de pétrographie notamment à l’étude des céramiques anciennes. L’objectif de ses travaux de recherche est de répondre à diverses problématiques essentiellement autour des modalités d’exploitation des ressources naturelles, de la transformation des matières premières, de la chaîne opératoire, de l’émergence d’innovations techniques et de la circulation des céramiques en interaction avec les contextes socio-économiques. Elle collabore à plusieurs programmes de recherches autour de la circulation des amphores, la céramique médiévale mais aussi les faïences. Cette diachronie l’a amené à se rapprocher de collègues actualistes et développer un axe de recherche autour de la construction de référentiels céramiques actuels, par l’analyse de l’ensemble de la chaîne opératoire, du recueil des matières brutes jusqu’aux produits finis avec des spécialistes de céramiques africaines (Mali, Sénégal, Ethiopie).
La synthèse de plusieurs décennies de recherches sur les sites de production et de consommation des amphores Dressel 6B, exposée dans les articles précédents de cet ouvrage, nous permet aujourd’hui d’apprécier le travail accompli et les avancées obtenues grâce à la combinaison de l’épigraphie et de l’archéologie.