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Catégorie : Linguistique
Il est bien connu que, dans les cités grecques classiques, toute décision politique importante exige un vote, un vote de l’Assemblée du peuple, un vote du Conseil, ou, plus souvent, deux votes successifs du Conseil d’abord, de l’Ecclèsia ensuite.
Depuis la publication de La Royauté en Grèce avant Alexandre en 1984, un seul nouveau texte concernant un wa-na-ka a été publié : il s’agit du nodule de Pylos découvert par un gardien dans un parterre de fleurs près de l’entrée du site en 1988 (PY Wr 1480).
On a souvent discuté, depuis l’Antiquité, des pouvoirs des basileis homériques et de leurs relations avec les dieux. Usant de notions empruntées à d’autres périodes historiques, certains auteurs modernes ont qualifié les rois homériques de souverains absolus ou de suzerains féodaux.
On a souvent observé que la politique extérieure de Sparte au Ve siècle avant la guerre du Péloponnèse se caractérise par la prudence et par le refus des expéditions lointaines.
Démosthène n’a pas laissé de “mémoires”. Les seuls plaidoyers privés qu’il ait écrits pour lui-même sont ses discours de jeunesse Contre Aphobos (I, II, III) et Contre Onêtôr (I et II), par lesquels il essaie d’obtenir réparation des dilapidations commises par ses tuteurs.
Aristote, on le sait, présente à plusieurs reprises un schéma de classification des constitutions en six régimes, trois régimes corrects – la royauté, l’aristocratie et la politie – et trois régimes “déviés” – la tyrannie, l’oligarchie et la démocratie.
Le terme grec nothos est généralement traduit par “bâtard”. Cette traduction, qui rend bien compte de l’infériorité des nothoi du fait de leur naissance, crée cependant une impression de simplicité et de familiarité illusoire.
Eubule a été l’un des hommes politiques athéniens les plus importants du IVe siècle. Théopompe le mentionne parmi les démagogues les plus influents d’Athènes ; Démosthène, dans le Contre Midias, s’indigne à l’idée que la puissance d’Eubule puisse protéger Midias de la condamnation qu’il mérite :
D’après la conception la plus répandue dans l’historiographie contemporaine, les rois mycéniens seraient de riches et puissants souverains qui exerceraient une autorité absolue sur leurs sujets grâce à une bureaucratie omnisciente.
Les données dont nous disposons sur l’étranger dans le monde mycénien ne permettent pas de proposer une analyse juridique et sociologique approfondie du type de celles qu’on peut présenter pour l’époque classique ou hellénistique.
Même lorsqu’il est employé de façon rigoureuse, le terme de palais a deux significations différentes (quoique étroitement complémentaires) : il désigne l’édifice palatial et il désigne aussi l’entité palatiale.
Te-re-ta est l’un des termes institutionnels mycéniens qui ont suscité le plus de discussions. Deux points font cependant l’objet d’un consensus presque général :