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31• Titulum et Clavicula
À propos des fouilles récentes d’Alésia

Titulum et clavicula. À propos des fouilles récentes d’Alésia”, 
RAE, 46, 1995, p. 349-356.

Titulum et clavicula sont des mots techniques rares du vocabulaire militaire romain ; ils sont connus par le De Munitionibus castrorum du Ps. Hygin (§ 49-50 et 55), généralement daté du début du IIe siècle de notre ère1, et par quelques rares fouilles ou repérages archéologiques, effectués pour la plupart en Grande-Bretagne2. L’un et l’autre désignent des obstacles d’approche et de franchissement des portes dans les camps romains. Si l’on en croit le texte d’Hygin, le titulum est un fossé de même largeur que la porte, creusé à une soixantaine de pieds (environ 18 m) devant celle-ci ; lorsque la position est douteuse, on double ce fossé par un rempart3. La clavicula (“clef”) est en revanche, toujours selon Hygin, un obstacle en quart de cercle qui barre, vers l’intérieur du camp, le passage de la porte depuis le rempart : le texte latin, assez alambiqué4, ne précise pas si un fossé accompagne la levée de terre, comme on l’a souvent supposé, mais sans preuve archéologique, ni d’ailleurs si Hygin envisage aussi l’existence d’une clavicula“externe” que suppose M. Lenoir, contrairement à l’avis de tous ses prédécesseurs5 (fig. 1), mais conformément à quelques exemples archéologiques connus dans les îles Britanniques6. Cet auteur considère en outre que la clavicula n’apparaît guère avant le milieu du Ier siècle de notre ère et qu’elle est presque toujours incompatible avec la présence d’un titulum. Les récentes fouilles de la porte nord-est du camp C, devant Alésia7, nous invitent à reconsidérer ces conclusions et à préciser l’architecture du titulum et de la clavicula (fig. 2).

  Les différents types de clavicula, 
d’après Lenoir 1977 (note 2), fig. 3.
Fig. 1. Les différents types de clavicula, d’après Lenoir 1977 (note 2), fig. 3.
  Plan de la porte nord-est du camp C (relevé M. Reddé).
Fig. 2. Plan de la porte nord-est du camp C (relevé M. Reddé).

Inconnue de Napoléon III, cette porte a été découverte par R. Goguey lors de reconnaissances aériennes8. Sans entrer dans le détail d’une description dont on trouvera les premiers éléments dans les Berichte der Römisch-Germanischen Kommission9, il suffit à notre propos d’indiquer que le titulum repéré à cet endroit est composé de deux petits fossés taillés dans le roc à environ 8 m devant le fossé du camp, à 12,50 m devant le passage de la porte ; il s’agit en vérité de rigoles larges chacune de 0,50/0,60 m (2 pieds ?), longues d’environ 29, 50 m (100 pieds), espacées l’une de l’autre de 1,10/1,20 m (1 pied ?), et profondes d’environ 0,25/0,30 m (1 pied ?) : on ne saurait en aucun cas y voir des fossés ouverts, formant à eux seuls un obstacle défensif. Un sondage pratiqué dans l’un d’eux a révélé une série de lauzes dressées en festons qui ménagent entre eux et la paroi rocheuse une série de logements disposés en quinconce sur deux lignes. Pour bien comprendre cette architecture, il faut se tourner vers une série de quatre structures quasiment identiques qui précèdent, non loin de là, le fossé de circonvallation et dans lesquelles la fouille10 a clairement reconnu deux lignes de calages (fig. 3). On doit, à ce propos, se souvenir de la description que César (BG, 7.73) donne de l’un de ses systèmes de défenses avancées, les cippi : “On coupa donc des troncs d’arbres ayant des branches très fortes et l’extrémité de celles-ci fut dépouillée de son écorce et taillée en pointe ; puis on creusait des fossés continus profonds de cinq pieds. On y enfonçait ces pieux, on les reliait entre eux par le bas, pour empêcher qu’on les pût arracher, et on ne laissait dépasser que le branchage. Il y en avait cinq rangées, reliées ensemble et entrelacées : ceux qui s’engageaient dans cette zone s’empalaient à la pointe acérée des pieux. On les avait surnommés les cippes”. Une telle description rappelle celle de Polybe (18.18.5-18), qui compare palis grecs et palis romains : 

  Calages des cippi devant le fossé de circonvallation (cliché P. Barral).
Fig. 3. Calages des cippi devant le fossé de circonvallation (cliché P. Barral).

“Entre eux existe une grande différence : car les Grecs considèrent que le meilleur palis est celui qui possède autour du fût des ramifications les plus nombreuses et les plus grandes, tandis que, chez les Romains, les palis n’ont que deux ou trois fourchons, quatre tout au plus ; et ils les ont tous disposés sur un même plan, et non dans toutes les directions. Il en résulte que leur transport est tout à fait aisé – un homme porte trois ou quatre d’entre eux liés ensemble – et qu’au moment de leur utilisation ils offrent une sécurité exceptionnelle. Quand les palis grecs sont placés devant le camp, ils sont en premier lieu faciles à arracher : car, puisqu’il n’y en a qu’une seule partie à être retenue et serrée par la terre, alors qu’il y a plusieurs grandes ramifications à s’en détacher, pour peu que deux ou trois hommes se saisissent des ramifications pour tirer le même palis, on l’arrache facilement… C’est tout le contraire chez les Romains : car, en les plantant, ils les entrelacent immédiatement à tel point qu’il est malaisé de distinguer les branches… En conséquence on ne peut ni s’emparer de l’un d’entre eux – faute de pouvoir y mettre la main – tant ils sont serrés et entremêlés (étant donné de surcroît que les branches sont soigneusement appointées), ni, après s’en être emparé, les arracher facilement…”11

À Alésia, le même système est encore utilisé, mais de manière moins dense puisqu’on n’observe que deux rigoles, devant les fossés du camp C (fig. 2)12.

La similitude architecturale impose la comparaison de fonction et on n’hésitera pas à restituer dans le titulum une double rangée de branchages entrelacés, derrière lesquels il n’était pas nécessaire d’édifier un rempart de pierre.

À ce premier système vient s’adjoindre, à l’intérieur de la porte, une clavicula construite manifestement selon une technique identique : il s’agit d’un petit fossé étroit (0,70/0,80 m), peu profond (0,20/0,30 m) qui, partant du poteau nord-ouest de la porte, c’est-à-dire de la face externe du rempart, forme un quart de cercle de manière à barrer l’ensemble du passage et à ne laisser qu’une voie en biais. Il est d’ailleurs très possible, compte tenu de la disposition respective de cet obstacle et de la tour orientale de la porte, que la clavicula ait été rajoutée dans un second temps à l’architecture primitive. L’important est que, là aussi, la fouille ait pu mettre en évidence, dans le fossé de la clavicula, une série de calages disposés sur deux lignes parallèles (fig. 4) : on y reconnaîtra donc, une nouvelle fois, un dispositif léger, constitué non pas d’un “rempart” prolongé en arc de cercle, éventuellement protégé par un fossé d’approche, mais d’une série de cippi entrelacés.

  La clavicula (relevé J. Bénard).
Fig. 4. La clavicula (relevé J. Bénard).

De ces observations ressortent plusieurs conclusions ; nous ne voulons évidemment pas dire que tous les titula et toutes les claviculae étaient identiques à ceux du camp C : à Alésia même, une fouille récente menée par la RGK dans la plaine des Laumes a révélé, pendant l’été 1995, la présence d’un titulum composé d’un fossé suivi d’une levée de terre, conformément à la description d’Hygin ; il apparaît toutefois que l’architecture de ces systèmes défensifs était plus diverse et variée qu’on ne le suppose d’ordinaire.

On peut en outre affirmer aujourd’hui avec certitude que la clavicula était connue dès l’époque de César, ce que contestait M. Lenoir, faute de preuves archéologiques suffisantes : il est vrai que les planches de l’Histoire de Jules César comprennent un certain nombre de claviculae, mais l’examen attentif des documents de fouilles ne permet pas d’affirmer que ces dispositifs avaient réellement été vus par l’Empereur et par ses contremaîtres13 ; on doit penser qu’ils avaient été rajoutés “de confiance”, parce que tout érudit connaissait alors le texte du Ps.Hygin. Il en va de même à Mauchamp (fig. 5), généralement identifié comme le terrain de la bataille de l’Aisne14 mais contesté comme tel par M. Lenoir en raison de la chronologie que notre collègue attribuait au système de la clavicula. Il est vrai que les photographies aériennes de M. Boureux n’y révèlent aucun dispositif de cette sorte15 et on peut penser, faute de fouilles récentes, que Napoléon III a rajouté des claviculae comme à Alésia, mais leur découverte éventuelle n’écarterait plus Mauchamp de la liste des camps césariens.

  Mauchamp (d’après l’Atlas de l’Histoire de Jules César).
Fig. 5. Mauchamp (d’après l’Atlas de l’Histoire de Jules César).

Surtout, on doit considérer désormais que l’association titulum et clavicula n’était pas inconnue des architectes militaires romains dès l’époque de César. Plusieurs exemples britanniques postérieurs fournissent d’intéressants points de comparaison.

À Glenwhelt Leazes (connu aussi sous le nom de Black Dikes), sur le Stanegate, les Antiquaires avaient signalé, dès le XIXe siècle, un camp dont les portes étaient défendues par des claviculae et des titula16 : de récentes photographies aériennes confirment la présence de ce dispositif particulier (fig. 6)17.

  Black Dikes (Glenwhelt Leazes), d’après Bennett 1980 (note 17).
Fig. 6. Black Dikes (Glenwhelt Leazes), d’après Bennett 1980 (note 17).

Il en va de même, non loin de là, à Chapel Rigg, le long du mur d’Hadrien, où les descriptions anciennes de Mac Lauchland sont aujourd’hui confirmées par la photographie aérienne18.

Le même Mac Lauchland avait identifié un dispositif identique à Featherwood, sur la route entre Corbridge et Newstead, le long de Watling Street19.

À Chew Green IV, la porte ouest est doté d’un semblable dispositif, qui a obligé à détruire la clavicula de l’enceinte antérieure de Chew Green I (fig. 7)20.

  Chew Green I, d’après Richmond 1937 (note 20).
Fig. 7. Chew Green I, d’après Richmond 1937 (note 20).

Dans le Pays de Galles, enfin, près de Castell Colen, le site de Llandrindod Common avait été décrit en 1814 par un antiquaire local, T. Price, qui avait reconnu plusieurs camps dont l’un (camp A) avec clavicula et titulum associés (fig. 8)21. Cette observation a par la suite été contestée par M. Lenoir, car les photographies aériennes de J.K. Saint-Joseph n’en avaient pas retrouvé la trace22 ; mais le site a été considérablement touché par des nivellements progressifs déjà signalés par Price, qui ignorait d’ailleurs à l’époque l’identification du titulum et ne pouvait avoir inventé cette structure pour de simples considérations de vraisemblance historique. Faute de preuve, on ne peut qu’être prudent, mais devant la présence d’autres exemples comparables, somme toute assez nombreux, il n’est peut-être pas nécessaire d’exercer un doute de principe sur les observations de Price23.

  Castell Colen, d’après Price 1814 (note 21).
Fig. 8. Castell Colen, d’après Price 1814 (note 21).

Enfin, dans des camps de marche de Trajan devant Sarmizegetusa, A.S. Stefan reconnaît, grâce à l’interprétation de photographies aériennes, l’existence de plusieurs ensembles de titula et claviculae encore inédits24.

Les fouilles récentes du camp C d’Alésia confirment donc l’existence de ce dispositif mal connu et généralement suspecté qu’est l’association du titulum et de la clavicula. Elles permettent en même temps de modifier la chronologie communément admise pour ces deux systèmes défensifs, d’en préciser les architectures, parfois assez différentes de ce que laisse penser le texte d’Hygin. Leur exemple devrait inciter à des recherches systématiques sur tous les camps de l’époque augustéenne et julio-claudienne, alors même que la documentation disponible avant la fouille ne permet pas de suspecter l’existence de tels dispositifs défensifs.

Une photographie aérienne de B. Lambot est, depuis lors, venue confirmer le plan de Napoléon III : elle montre en effet la présence d’une clavicula interne dans l’espace du passage de la porte (photo publiée par M. Reddé, “Berry-au-Bac/Mauchamp”, in : M. Reddé, R. Brulet, R. Fellmann, J.K. Haalebos, S. von Schnurbein (éd.), L’architecture de la Gaule romaine. I. Les fortifications militaires, DAF 100, Paris-Bordeaux 2006, fig. 230, [en ligne] https://books.openedition.org/editionsmsh/22093 [consulté le 22/08/22]).

A.S. Stefan, Les guerres daciques de Trajan : les opérations du front alpin, in : W. Groenman-van Waateringe, B.L. Beek, W.J.H. Willems, S.L. Wynia, Roman Frontier Studies 1995. Proceedings of the XVIth International Congress of Roman Frontier Studies, Oxbow Monograph 91, 1997, p. 517-525.

La découverte d’une clavicula externe sur le camp F de Lautagne vient encore remonter la chronologie de ce dispositif au moins à la première moitié du Ier siècle av. J.-C. On doit noter en particulier la forme en équerre de ce dispositif (cf. M. Kielb Zaaraoui, C. Ronco, M. Gagnol, M. Feugère, L. Buffat, “Les camps militaires tardo-républicains de Lautagne (Valence, Drôme)”, in : M. Reddé (dir.), Les armées romaines en Gaule à l’époque républicaine. Nouveaux témoignages archéologiques, Bibracte 28, 2018, p. 45-72. On rappellera aussi que les camps IV et VII de Renieblas ont des titula pour protéger les portes sur les plans de A. Schulten (voir un commentaire récent dans l’ouvrage de M. Dobson, The army of the Roman Republic. The Second Century BC, Polybius and the Camps at Numantia, Spain, Oxford, 2008, p. 194-199.

Notes

  1. Ed. M. Lenoir, Les Belles Lettres, 1979.
  2. Voir la liste dans l’article de M. Lenoir, “Lager mit claviculae”, MEFRA, 89, 1977, p. 697-722, qui reprend le titre de U. Kahrstedt, “Lager mit claviculae”, BJ, 138, 1933, p. 144-152.
  3. Regressis pedibus exterius sexaginta per latitudinem portarum similiter fossa fiet, quos propter brevitatem titulum cognominatum est… Loco suspectiori…similiter ante portas ad titulum, ut ad fossas, vallum (“À une distance de soixante pieds en avant des portes, on creusera de même un fossé de dimension égale à celle de la porte ; à cause de sa faible longueur on l’a appelé titulum… De même on élève un rempart, en avant des portes, le long du titulum comme le long des fossés”). Le terme de titulum doit être préféré à celui de titulus, voire de tutulus, qu’utilisent certains auteurs : la forme neutre semble assurée dans Ps-Hygin 49 (cf. le commentaire de M. Lenoir, § 81, p. 82) ; quant à la forme tutulus, elle semble inspirée par une fausse étymologie qui fait venir le mot de tueri. Cette explication repose sur un passage de Festus pour qui les soldats, appelés tituli dans l’argot militaire, sont des protecteurs (tutuli) du rempart (apud Paulum Diaconum s.v. Tituli). On a aussi proposé un rapprochement douteux avec la coiffe (tutulus) du flamine (I. Richmond, Hod Hill, II, 1968, p. 69 n. 4). J. P. Wild, “A Note on titulum”, in : C.M. Daniels, G.D.B. Jones, “The Roman Camp on Llandrindod Common”, Archaeologia Cambrensis, 118, 1969, p. 124-134 suggère en revanche que le mot viendrait d’un diminutif de “Titus”, “troufion” qu’on place en sentinelle (cf. le passage cité de Festus, supra) et désignerait donc ce dispositif de garde de la porte qu’est le titulum.
  4. 55: Similiter clavicula circinatur ex linea interiore valli, puncto mediae portae, adaperto circino ad cardinem portae ; <ex> eo medio praeter viam circinabis in eandem lineam quae centro serviet. Item puncto manenti adicies latitudinem [ad] valli et iterum circinabis in eandem lineam, ut intrantes semper detecti sint et advenientes in recto cursu excludantur ; nomenque ab effectu clavicula trahet. M. Lenoir traduit ainsi : “De même la clef est tracée en arrondi, à partir d’un point situé sur la ligne intérieure du rempart au milieu de la porte ; le compas doit être ouvert pour toucher l’extrémité de la porte. De ce point médian, on tracera une ligne continue, qui sera assujettie au centre, mais en laissant la place pour une voie. Ensuite, ce point restant fixe, on ajoutera la largeur du rempart et on tracera un nouveau cercle en ligne continue, de sorte que ceux qui entrent soient toujours sans protection et que ceux qui arrivent en courant tout droit soient retenus à l’extérieur ; la chef tirera son nom de ce résultat”. 
  5. Commentaire au Ps. Hygin §§ 90-93, p. 87-91 (cf. aussi Kahrstedt 1933 (note 2) p. 699-701. Contra A. von Domaszewski (éd.) De Munitionibus castrorum, Leipzig, 1887 ; F. Stolle, Das Lager und Heer der Römer, Strasbourg, 1912, p. 120-121. 
  6. Cawthorn, Troutbeck, Oakwood : voir sur ce point Lenoir 1977 (note 2), tableau 1.
  7. Sous la direction de J. Bénard.
  8. R. Goguey, “Alésia : les travaux de César sur la montagne de Bussy d’après les dernières révélations de la photographie aérienne”, CRAI, 1991, p. 43-51.
  9. P. Barral, J. Bénard, V. Brouquier-Reddé, R. Goguey, J. Köhler, M. Joly, C. Petit, M. Reddé, S. Sievers, S. von Schnurbein, “Fouilles et recherches nouvelles sur les travaux de César devant Alésia (1991-1994), sous la direction de M. Reddé et S. von Schnurbein”, BerRGK, 76, 1995, p. 73-158. 
  10. Chantier dirigé par P. Barral.
  11. Tite-Live 33.5 donne une description très voisine, manifestement inspirée de Polybe. 
  12. L’écart entre le texte césarien, qui parle de cinq rangées de cippi, et la réalité archéologique, qui n’en révèle que quatre devant la circonvallation de Bussy, et deux devant le camp C, ne doit pas surprendre : l’ensemble des fouilles menées depuis 1991 devant Alésia montre en effet une très grande variabilité du système de défenses avancées, dont le détail est nécessairement négligé par la description littéraire (à ce sujet, voir M. Reddé et S. von Schnurbein, “Fouilles et recherches nouvelles sur les travaux du siège d’Alésia”, CRAI, 1993, p. 281-314.
  13. Cf. J. Le Gall, Fouilles d’Alise-Sainte-Reine 1861-1865, Mem. AIBL, IX, 1989.
  14. C. Peyre, “Le champ de la bataille de l’Aisne (César, BG, II, 8-9)”, REL, 56, 1978 (1979), p. 175-215.
  15. Ibid. et M. Reddé, “Les ouvrages militaires romains sous le Haut-Empire. Vers un bilan des recherches récentes”, Jahrb.RGZM, 1987, p. 343-368 et pl. 65.
  16. J. Collingwood Bruce, Handbook of the Roman Wall, with the Cumbrian Coast and outpost forts, 13e éd. par C. Daniels, 1978, p. 206.
  17. J. Bennett, “‘Temporary’ camps along Hadrian’s wall”, Roman Frontier Studies 1979, 1980 p. 151-172 pl. 11,8 et 11,4.
  18. Ibid. pl. 11,1. Mac Lauchland, Memoir written during a Survey of the Roman Wall, 1858, p. 49.
  19. Mac Lauchland, Memoir written during a Survey of Watling Steet, 1852.
  20. I. Richmond et G.S. Keeney, “The Roman Works at Chew Green, Coquetdalehead”, Archeologia Aeliana, 14, 1937, p. 129-150.
  21. T. Price, Archaeologia, 17, 1814, p. 169-172 et pl. XII.
  22. “Air Reconnaissance in Britain, 1955-1957”, JRS, 48, 1958, p. 96-97.
  23. Voir un avis identique dans E. Birley, “Three Notes on Roman Wales”, Arch. Cambrensis, 91, 1936, p. 72.
  24. Communication orale d’A.S. Stefan devant le XVIe Congrès international d’études sur les frontières romaines, Kerkrade, août 1995. Les documents seront publiés par l’auteur dans les actes du Congrès, avec ses commentaires.
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EAN html : 9782356134899
ISBN html : 978-2-35613-489-9
ISBN pdf : 978-2-35613-490-5
ISSN : 2827-1912
Posté le 23/12/2022
9 p.
Code CLIL : 4117; 3385
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Licence ouverte Etalab

Comment citer

Reddé, Michel, “31. Titulum et Clavicula. À propos des fouilles récentes d’Alésia”, in : Reddé, Michel, Legiones, provincias, classes… Morceaux choisis, Pessac, Ausonius éditions, collection B@sic 3, 2022, 423-432, [en ligne] https://una-editions.fr/31-titulum-et-clavicula [consulté le 29/12/2022].
doi.org/10.46608/basic3.9782356134899.36
Illustration de couverture • Première• La porte nord du camp C d'Alésia, sur la montagne de Bussy en 1994 (fouille Ph. Barral / J. Bénard) (cliché R. Goguey) ;
Quatrième• Le site de Douch, dans l'oasis de Khargeh (Égypte) (cliché M. Reddé, 2012)
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