À l’époque romantique, Isis devient l’image primordiale des divinités féminines et la métaphore du mystère.
Gérard de Nerval, le premier romantique français à avoir intégré Isis à son œuvre, joua un rôle essentiel dans la recréation de cette figure composite qui personnifie alors l’Égypte, une entreprise rendue possible par la déchristianisation amorcée à partir de la Révolution française.