À la fin des années 1990, Olivier Buchsenschutz, associé à deux autres figures de la recherche sur les meules – François Boyer, puis Claudine Pommepuy – démontrait son intérêt pour “Les enjeux d’une recherche sur les meules rotatives dans le monde celtique” (1998) ; quelques années plus tard, il s’interrogeait : “Les conditions d’une interprétation fonctionnelle des moulins ‘celtiques’ rotatifs à mains sont-elles réunies ?” (2002). Dans ces deux contributions, la nécessité d’une approche de l’évolution des meules à une large échelle géographique, c’est-à-dire sur l’ensemble de la Gaule, était soulignée. Au-delà des études régionales, c’est en effet à cette échelle que peuvent naître les synthèses sur l’évolution et la place de ces outils dans les sociétés de l’âge du Fer.
Dans la même logique, dix ans plus tard (en 2005), Olivier Buchsenschutz fédérait plusieurs chercheurs français afin de préparer une communication collective pour le colloque international sur les meulières de Grenoble1. Cette communication visait à montrer l’intérêt d’un travail collectif sur le thème “Production et diffusion des meules du Néolithique à <br>l’Antiquité”2. La synergie créée pour ce colloque s’est poursuivie au-delà, et le petit groupe d’une dizaine de chercheurs s’est peu à peu étoffé pour atteindre, en 2011, une trentaine de participants au sein du Programme Collectif de Recherche “Évolution typologique et technique des meules du Néolithique à l’an mille sur le territoire français ”. L’émulation créée par Olivier permet aujourd’hui de travailler sur une large partie du territoire français, tout en liant des contacts riches avec les chercheurs des pays limitrophes (Allemagne, Belgique, Espagne, Royaume-Uni, Suisse…).
Un des sujets majeurs et récurrents dans la bibliographie sur les meules à l’âge du Fer demeure, bien entendu, le passage des meules va-et-vient aux meules rotatives. Si cette question est depuis longtemps discutée, le cadre chronologique fin de la diffusion de ce processus, de même que les conditions économiques et sociales de sa mise en œuvre, n’ont jusque-là pas été clairement établies pour la Gaule. Les meules va-et-vient destinées à la mouture des céréales se développent avec le Néolithique. Malgré des variations régionales et chronologiques évidentes, ce type de meule actionnée en va-et-vient est utilisé de façon quasi exclusive jusqu’au IIIe s. a.C. dans le nord de la Gaule. La meule rotative à main apparaîtrait vers le milieu du Ve s. a.C. au nord-est de la péninsule Ibérique3. Elle se diffuserait progressivement du sud vers le nord de la Gaule, entre le IVe et le début du IIe s. a.C.4 Les dates d’apparition de la meule rotative seraient plus ou moins fluctuantes selon les régions, et seraient notamment fonction des modalités de diffusion de cette nouvelle technologie. Ces quelques études suggéraient le remplacement très rapide des meules va-et-vient par les premières meules rotatives qui, en décuplant les quantités de farine produites, libéraient de cette contrainte quotidienne une partie des acteurs économiques des sociétés de l’âge du Fer5. Le fait d’avoir réuni un ensemble de chercheurs travaillant dans diverses régions permet, aujourd’hui, de proposer une première cartographie de ce phénomène à l’échelle de la France.
Méthodologie
Problèmes chronologiques
Le cadre chronologique retenu pour cette étude s’étend de l’apparition des toutes premières meules rotatives, dans le nord-est de la péninsule Ibérique, à la romanisation de l’ensemble de la Gaule, soit entre 500 a.C. et le changement d’ère.
Une étude sur le dernier demi-millénaire avant notre ère implique de travailler sur deux secteurs dont l’histoire et, par conséquent aussi, le cadre chronologique, sont différents. Il existe deux systèmes chronologiques distincts : l’un pour la Gaule méridionale6, l’autre pour le reste du territoire français7, 8. Nous avons opté pour un découpage en années calendaires reprenant les dates admises pour les deux systèmes chronologiques.
Le nombre de sites et de meules de chacune des périodes étudiées est très variable (fig. 1). De manière générale, et malgré quelques disparités régionales, l’analyse du rythme de création et d’abandon des habitats ruraux, menée notamment dans le cadre de l’exploitation des données d’une enquête nationale9, a mis en évidence la difficulté de cerner les occupations des IVe et IIIe s. a.C. dans une bonne partie de la moitié nord de la France10. Cette “absence” apparente de sites est toutefois pondérée selon que l’on se tourne vers le fond des vallées ou vers les versants et les plateaux11 : le déficit des occupations de La Tène C1 en contexte alluvial serait à mettre en parallèle avec une augmentation croissante des occupations en contexte de plateaux12. Toutefois, les biais engendrés par l’intensité des opérations archéologiques dans les plaines, et, de là, une connaissance plus partielle des habitats de plateaux, faussent certainement notre perception de l’occupation du territoire à l’âge du Fer. Cette baisse du nombre de sites pour les IVe et IIIe s. a.C. explique la faiblesse numérique des meules retrouvées et étudiées pour cette phase chronologique, et contraste avec la multiplication des occupations et des données disponibles pour la fin de la période gauloise.
Inventaire et cartographie
De nombreux collègues se sont chargés de collecter les données dans leurs régions respectives13. Pour toutes ces régions, les données sont nombreuses sur l’ensemble de la période concernée, même si cet inventaire n’est pas totalement exhaustif.
La base de données ainsi constituée mentionne les sites archéologiques étudiés (département, commune et lieu-dit), leur datation (phase chronologique et datation en années calendaires), puis le nombre de meules va-et-vient, rotatives et indéterminées découvertes sur chaque site. À partir des informations recueillies, une carte illustre ces résultats pour chacune des périodes. Les sites étudiés sont symbolisés schématiquement par des cercles dont la couleur du remplissage varie en fonction du type (ou des types) de meule(s) présent(s). Nous avons systématiquement écarté les sites dont l’attribution chronologique est trop large ou trop imprécise.
Le passage des meules-va-et-vient aux meules rotatives
L’origine catalane (Ve-IVe s. a.C.)
L’adoption du système rotatif pour la mouture des céréales est une innovation protohistorique d’importance primordiale pour le développement des différents types de moulins, qui aboutira à l’utilisation de la force hydraulique en Méditerranée vers la fin du Ier millénaire avant notre ère. L’état actuel de la recherche situerait l’origine de cette innovation en Méditerranée nord-occidentale : Nord-Est de la péninsule Ibérique et Sud de la France, pendant la période ibérique ancienne (550-400 a.C.)14. Il faut cependant citer deux trouvailles ponctuelles de petits fragments de pierre volcanique dans des contextes puniques de la fin du IVe s. a.C. Interprétés comme des parties de meules rotatives15, ces fragments sont difficiles à caractériser à cause de leur petite taille. Il paraît prudent d’attendre que de futures recherches permettent de clarifier l’existence de meules rotatives puniques antérieures aux meules ibériques.
Actuellement, les meules rotatives manuelles datées du Ve s. a.C. se retrouvent en Méditerranée nord-occidentale, dans des sites de la culture ibérique comme Turó de Ca n’Olivé, Alorda Park (Barcelone), Els Vilars (Lleida) ou PechMaho (Aude), pour les mieux étudiés16. Même si, dans certains cas (Turó de Ca n’Olivé ou Els Vilars), ces premières meules rotatives ont été fabriquées dans des roches issues de carrières assez lointaines (50 km des lieux de découverte), les meules rotatives ibériques doivent être considérées comme des productions régionales ou locales17. Ces meules rotatives deviennent le type dominant dans le Nord-Est de la péninsule Ibérique à partir du IVe s. a.C.
La diffusion des meules rotatives en Gaule méridionale (Ve-début IIIe s. a.C.)
Les meules rotatives manuelles les plus anciennes connues en France proviennent du site de Pech Maho (Sigean, Aude). Il s’agit de deux catillus datés de 450 à 400 a.C.18, qui ont été repérés récemment lors de la reprise des données des anciennes fouilles19. Un lot plus important pourrait être daté entre 550 et 450 a.C., mais ces datations ne sont pas sûres20. Ce site, implanté dans la zone d’influence ibérique, peut être considéré comme l’un des plus anciens ayant livré des meules rotatives en Méditerranée. Une étude approfondie des meules d’autres sites ibériques au nord des Pyrénées, comme l’important ensemble de Ruscino (Perpignan, Pyrénées-Orientales), pourrait aussi nous apporter de nouvelles données21.
De la même façon que dans le Nord-Est de la péninsule Ibérique, c’est au cours du IVe s. a.C. que l’on observe l’expansion de la meule rotative en Languedoc et jusqu’à la vallée du Rhône22. Elles apparaissent plus tardivement en Provence, où les premiers exemplaires connus sont datés du IIe s. a.C., comme à l’Ile-de-Martigues ou Martigues dans les Bouches-du-Rhône23.
Néanmoins, dans le Sud-Est français, cette expansion se produit en parallèle de celle des meules à trémie, presque inexistantes dans le monde ibérique. Ces meules sont très répandues essentiellement dans les agglomérations de Provence et du Languedoc oriental, où les premiers exemplaires sont datés du troisième quart du IVe et du IIIe s. a.C.24 Leur expansion est un peu plus tardive que celle de la meule rotative, et se situerait principalement pendant le IIIe s. a.C. Elles sont presque inexistantes en Languedoc occidental, hormis peut-être quelques exemplaires à Montlaurès (Narbonne, Aude)25.
Les meules va-et-vient du Nord de la Gaule (Ve-début IIIe s. a.C.)
Pendant les Ve et IVe s. a.C., les meules va-et-vient sont totalement exclusives dans le reste de la Gaule (fig. 2 et 3). Ces meules ou molettes montrent, dans certains cas, un degré de mise en forme particulièrement poussé, bien que non spécifique à cette période26. Il indiquerait l’existence d’artisans, voire d’ateliers spécialisés, dès la fin du Premier âge du Fer et le début du second.
Malgré une grande diversité de forme des outils, une différence a été soulignée, en Picardie, entre les meules en calcaire de formes plutôt arrondies et faiblement aménagées du Bronze final IIB / Hallstatt C et les meules anguleuses en grès du Hallstatt D / La Tène A, dont le façonnage se révélait particulièrement poussé27. Des observations comparables ont été faites en Bourgogne, notamment pour le site du Mont Lassois à Vix, avec les meules en granite du Bronze final IIIB, et celles en grès ou en rhyolite du Hallstatt D28. L’exemple des outils de mouture en rhyolite des Fossottes de La Salle (Vosges) est aussi évocateur : les molettes à barre présentent une mise en forme poussée, une grande standardisation des pièces et une diffusion à large échelle29. La même observation peut être formulée sur les meules du site de Martigues à partir du Ve s. a.C.30.
La rupture du milieu du IIIe s. a.C.31
Les données actuellement disponibles en Gaule septentrionale semblent indiquer que les premiers moulins rotatifs manuels se retrouvent sur des sites occupés dans la seconde partie du IIIe s. a.C. (fig. 4). Le plus ancien contexte où sont mentionnées des meules rotatives se trouve à Fontenay-en-Parisis “Les Vignes”32. Ce petit corpus a livré plusieurs fragments de meules va-et-vient et rotatives dans des calages de poteau. L’occupation est attribuée à La Tène B2, à partir de la datation d’un silo voisin ce qui ne permet pas d’élargir cette datation à l’ensemble du site.
Les rares sites de La Tène C1 (280/250 à 220/200 a.C.) pour lesquels nous avons du matériel de mouture ont tous livré des meules rotatives, à l’exception du site de La Grande Borne à Clermond-Ferrand33. Celles-ci sont parfois minoritaires, comme au Pâtural (Clermont-Ferrand) phase 1b34 ; en nombre équivalent aux meules va-et-vient ou seule représentée pour cette phase, à Ifs35. La diffusion géographique des meules rotatives semble se faire assez rapidement, au moins jusqu’en Normandie ; toutefois, numériquement, les meules rotatives ne représentent que la moitié des pièces identifiées.
Pour les sites de la période suivante (220/200 à 150 a.C.) correspondant à La Tène C2, les meules rotatives sont quasi exclusives : Prasville, Roanne36, le Pâtural phase 2a37 et Castres38.
La généralisation des meules rotatives (IIe-Ier s. a.C.)
À partir du IIe s. a.C., les sites de Gaule Narbonnaise ne possèdent presque plus que des meules rotatives manuelles, tandis que les meules va-et-vient et les meules à trémie disparaissent ou sont presque inexistantes (fig. 5). Leur utilisation décroît pendant tout le IIe s. a.C., même si on trouve encore quelques exemplaires de meules va-et-vient à la période augustéenne. Il faut tenir compte de la présence résiduelle de ce type de meule, presque toujours présente en faible quantité sur les sites sites de la fin de l’âge du Fer (et qui n’est parfois pas mentionnée dans les publications). Cette persistance des meules va-et-vient doit être interprétée avec prudence : usage pour le broyage de céréales, réutilisation pour d’autres matières, réemploi…
En Gaule chevelue, les meules rotatives sont quasiment exclusives dans les corpus archéologiques de la fin de la période gauloise (La Tène D et le début de la période augustéenne, soit entre 150 a.C. et le changement d’ère) (fig. 6 et 7). Les meules va-et-vient ne représentent que quelques pourcents de l’outillage de mouture (de 4,5 à 5,2 % pour chacune des tranches chronologiques). Il conviendrait toutefois d’affiner la datation et de préciser la nature des contextes de découverte, afin de distinguer un remploi anecdotique de ces meules anciennes dans des constructions, d’une perduration réelle de leur usage. Ces quelques meules va-et-vient sont d’ailleurs absentes de nombreux sites où l’implantation gauloise est postérieure à l’apparition des meules rotatives : c’est le cas notamment de l’oppidum de Bibracte, dont l’occupation est attestée à partir de La Tène D1 (com. pers. V. Guichard).
Conclusions et perspectives
Les meules rotatives sont présentes dès le Ve s. a.C. dans la région de Narbonne, proche de la Catalogne, pour l’instant considérée comme le berceau des meules rotatives. La diffusion des meules rotatives semble être relativement lente en Gaule méridionale, entre le Ve s. et la première moitié du IIIe s. a.C. Dans cette zone géographique, les meules à trémie sont présentes aux IVe et IIIe s. a.C. Les meules va-et-vient sont exclusives dans tout le reste de la Gaule, et ce n’est qu’à partir de la seconde moitié du IIIe s. a.C. que les meules rotatives s’y implantent, pour devenir très largement majoritaires dès le début IIe s. a.C.
Ce premier travail doit donc se poursuivre par un recensement plus systématique des meules pour cette période charnière, notamment pour combler les lacunes géographiques qui subsistent encore. La question des matériaux mis en œuvre n’a pas pu être abordée dans le cadre de cette étude, mais il est évident que ce travail indispensable apportera de précieuses informations et mettra en perspective cette première approche de la diffusion des meules rotatives. De la même façon, l’étude des chaînes opératoires de fabrication permettra de mieux comprendre cette évolution et d’estimer le statut et le rôle d’éventuels artisans meuliers.
La généralisation rapide des meules rotatives à l’ensemble de la Gaule septentrionale, entre 250 et 200 a.C., implique la présence d’un vecteur de diffusion. Celui-ci ne peut en effet se faire sans la présence d’artisans spécialisés dans la production meulière, qui vont permettre la fabrication de ce nouvel outil dont la réalisation est complexe.
Actuellement, il est impossible d’affirmer si les meules rotatives se sont diffusées de proche en proche, ou si leur apparition se fonde sur des importations copiées par les communautés indigènes. Il semblerait que le phénomène soit plus complexe : la variabilité typologique et morphologique des pièces, d’un secteur géographique à l’autre, et ce dès les phases les plus anciennes, est récurrente. Ces multiples solutions locales et précoces ne semblent pas correspondre à des hésitations dans la mise au point d’un outil bâti sur un même principe. Ce sont des machines analysées, assimilées et proposant des solutions fonctionnelles abouties et parfois immuables jusqu’à la Conquête, voire au-delà. C’est le cas, notamment, des meta à œil traversant recensées par C. Pommepuy en Picardie39 alors que d’autres régions garderont la meta à œil non perforant ; les exemples de ce type de variations restent nombreux. Il semble donc difficile d’envisager des artisans itinérants reproduisant des pièces selon des habitudes ou des gabarits qui leur sont propres.
Le moulin rotatif, la complexité de son façonnage et de l’aménagement de ses différentes parties, requièrent non seulement un degré de compétence spécifique (maîtrise du façonnage des parties les plus fragiles : œil, emmanchement), mais aussi l’adjonction d’autres artisanats : travail du bois pour l’emmanchement, l’axe et l’anille et parfois forgeage pour le cerclage des flancs de certains catillus. Par ailleurs, l’absence systématique de déchets de production sur les habitats confirme que leur fabrication se faisait en dehors de ceux-ci, peut-être dans des ateliers installés sur les sites d’extraction. Cela pose, en filigrane, la question du développement d’un artisanat spécialisé40.
Au-delà de l’instrument en lui-même, c’est son concept qui semble avoir prévalu. L’essor des meules rotatives coïncide avec le perfectionnement du matériel agricole41, la prédominance des céréales dans les assemblages carpologiques et le développement des cultures monospécifiques42. Cette volonté d’optimisation des rendements est indéniable et si C. Pommepuy s’interrogeait sur la simultanéité du développement de la céramique tournée et de l’apparition du mouvement rotatif43, c’est probablement au-delà de la coïncidence du mouvement circulaire qu’il convient de rattacher ces deux phénomènes44. La meule rotative diminue considérablement le temps imparti à la mouture, et permet d’obtenir 1,5 kg de farine par heure45 en multipliant au moins par 10 les rendements obtenus à la meule va-et-vient46.
Le développement d’artisanats spécialisés et le souci de productivité sont des phénomènes maintenant mieux perçus pour La Tène finale et c’est une impulsion d’ensemble qui se dessine pour la Gaule septentrionale. La meule rotative participe donc pleinement de ces modifications profondes de la société de la fin de l’âge du Fer et reflète les préoccupations et les mutations économiques et sociales que connaissent ces communautés.
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Notes
- Belmont & Mangartz, dir. 2006.
- Boyer et al. 2006.
- Alonso 1997.
- Boyer & Buchsenschutz 1998 ; Ménez 1996, 143 ; Pommepuy 1999 ; Py 1992 ; Reille 2000.
- Alonso 2002.
- De façon schématique : transition Fer I / Fer II ancien, Fer II récent et final, période augustéenne.
- Hallstatt D, La Tène A, B, C et D et période augustéenne.
- Py 1993, 21.
- Blancquaert et al. 2009.
- Nouvel et al. 2009.
- Nouvel et al. 2009.
- Nouvel et al. 2009, 142.
- Bretagne : V. Brisotto et C. Hamon (Hamon 2009 ; Hamon et al. 2012) ; Basse-Normandie : H. Lepaumier et N. Zaour ; Pays-de-la-Loire et Centre : B. Robin ; Île-de-France et Picardie : C. Hamon et S. Lepareux ; Champagne et Alsace : F. Jodry ; Lorraine : J. Lagadec, S. Defressigne complété par S. Galland ; Bourgogne et Franche-Comté : L. Jaccottey 2011a ; Languedoc-Roussillon et Provence – Côte d’Azur (N. Alonso, avec l’aide de M. Py et D. Garcia, ainsi que S. Longepierre). Les régions Auvergne et Rhône-Alpes n’ont été traitées que par une étude bibliographique (Deberge et al. 2007 ; Lavendhomme & Guichard 1997 ; Vaginay & Guichard 1988). En Midi-Pyrénées, le travail d’E. Thomas (2006) ne concerne que les meules rotatives de l’âge du Fer, et aucune donnée n’existe sur les meules va-et-vient. En outre, nous ne disposons pas d’informations pour les régions Nord-Pas-de-Calais, Poitou-Charentes, Limousin et Aquitaine.
- Alonso 1997 ; 1999 ; Sanmartí & Santacana 2005, 109.
- Morel 2001, 242-243, fig. 1 ; Le Meaux & Sánchez 2007, 320, fig. 261.1.
- Alonso 1997 ; 1999 ; Équipe Alorda Park 2002 ; Gailledrat & Solier 2004, 416-417 ; Portillo 2006.
- Alonso et al. 2011.
- Portillo 2006, 445-456.
- Gailledrat & Solier 2004, 416-417.
- Portillo 2006, 445-456.
- Longepierre 2011.
- Par exemple à Lattara au tout début du IVe s. a.C. : Raux 1999.
- Chausserie-Laprée 1998.
- Py 1992, 2006-07 ; Garcia & Bernard 1995, 135.
- Benoît 1984.
- Hamon & Milleville 2006.
- Pommepuy 1999.
- Jaccottey et al. 2011.
- Lagadec 2008.
- Chausserie-Laprée 1998.
- De cette discussion, nous avons écarté une série de sites dont l’attribution chronologique, trop large, débute à La Tène B et empiète parfois largement sur La Tène C : La Zac des Tourelles à Lamballe (Hamon 2010), Le Prieuré à Auneau (Dupagne et al. 2010), les Grands Sillons à Corps Nuds (Aubry 2010, 114) ou d’Orchamps dans le Jura (Jaccottey & Robine 2005).
- Pommepuy 1996, 16.
- Guichard & Orengo 2000.
- Deberge et al. 2007, 257.
- Le Goff 2002, 330.
- Lavendhomme & Guichard 1997, 162.
- Deberge et al. 2007, 257.
- Thomas 2006, 76.
- Pommepuy 2003, 380.
- Par exemple : Pommepuy 2003, 376 ; Amouretti 1986, 146.
- Buchsenschutz 2005, 61.
- Matterne 2001, 143, 204, 206
- Pommepuy 1999, 125.
- Les peuples grecs utilisent le tour tout en utilisant des meules à trémie.
- Boyer & Buchsenschutz 1998, 204.
- Alonso 2002 ; Hamon 2006 ; Gast 1968.