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Radiographie d’un diocèse landais du XIIIe au XVIIIe siècle

À propos de :
Marquette, J. B. (2004) : “La géographie ecclésiastique du diocèse de Dax d’après le Livre rouge et son évolution du XIIIe au XVIIIe siècle”, in :  Cabanot, J. et Marquette, J. B., dir., L’Église et la société dans le diocèse de Dax aux XIe-XIIe siècles, Journée d’études sur le Livre rouge de la cathédrale de Dax, Dax, 2003, Amis des églises anciennes des Landes, Comité d’Études sur l’histoire et l’art de la Gascogne, 89-154. 

La découverte d’un cartulaire inédit est une chance qui n’arrive pas souvent dans la vie d’un chercheur. Lorsque le cartulaire de la cathédrale de Dax, le Liber rubeus ou Livre rouge que l’on pensait perdu depuis le XIXe siècle a refait surface dans les années 90, ce fut pour tous les chercheurs travaillant sur les Landes médiévales une aubaine inestimable, l’occasion rare de bénéficier d’une masse considérable de données nouvelles sur les XIe et XIIe siècles, jusqu’alors peu documentés, et de faire faire un pas de géant aux connaissances sur cette période. Sollicité par Jean Cabanot et Georges Pon qui avaient entrepris l’édition scientifique du Liber rubeus, Jean Bernard Marquette en a assuré la cartographie et pris la co-direction scientifique d’une journée d’étude mémorable, organisée à Dax un jour peu commun pour une manifestation scientifique : le 1er mai 2003. Les six communications présentées ce jour-là, devant un public si nombreux qu’il a fallu équiper une deuxième salle d’un écran pour y projeter chaque conférence en direct, ont présenté quelques-uns des très nombreux sujets soulevés par les 178 documents du Livre rouge : sur la vie canoniale, un statut de paix et de trêve de Dieu inédit, la société des laïcs, ou sur l’onomastique basque. Jean Bernard Marquette saisit l’occasion pour revenir sur les éléments de la structuration du diocèse de Dax qu’il avait eu l’occasion d’aborder dans plusieurs publications précédentes, comme le tissu paroissial et sa formation par l’analyse des vocables paroissiaux (1981, 2001), la restauration des diocèses de Dax et d’Aire, leur organisation territoriale aux XIe et XIIe siècles, ou sur les conflits des limites diocésaines (1983). Certes, des copies des pièces les plus importantes de ce cartulaire, réalisées depuis le XVIIIe siècle, donc avant sa “disparition”, avaient permis à J. B. Marquette d’aborder ces sujets dès 1983 et de réactualiser des publications anciennes sur cette partie de l’histoire du diocèse de Dax remontant à la Gallia Christiana et aux travaux de A. Degert. Cependant, la liste inédite des 300 églises du diocèse de Dax contenue dans le Liber rubeus lui offre l’occasion d’aller nettement plus loin, et surtout d’appuyer son propos par des références aux sources, un parti qui n’avait malheureusement pas pu être adopté dans l’édition de Landes et Chalosse. Comme on le verra plus bas, l’article dépasse aussi le seul cadre du Liber rubeus, puisqu’en utilisant des sources plus tardives, Jean Bernard Marquette suit l’évolution du diocèse jusqu’à l’Époque moderne. Cette histoire du diocèse de Dax depuis sa re-création au milieu du XIe siècle jusqu’au XVIIIe siècle est d’autant plus précieuse que, aujourd’hui encore, la collection de L’histoire des diocèses de France (éd. Duchesne) ou celle des Fasti Ecclesiæ Gallicanæ n’ont pas de volume pour le diocèse de Dax ou celui d’Aire. 

Quoi que l’article ne fasse pas allusion à l’historiographie de la question, si l’on excepte les nombreuses références aux travaux de Degert, le sujet est dans l’air du temps au début des années 2000. En effet, en 2004 et 2005, Florian Mazel organise à Rennes deux journées d’études sur la genèse médiévale des diocèses, dont est issu un ouvrage collectif qui a fait date sur cette question, et auquel G. Pon et J. Cabanot ont indirectement contribué en fournissant à F. Mazel l’édition encore inédite du Livre rouge. F. Mazel et ses collègues s’attachent alors à dépasser la vision surannée d’une certaine géographie historique, celle de A. Longnon jusqu’à X. Planhol, voyant les diocèses médiévaux comme les héritiers directs des civitates antiques ayant traversé les siècles du haut Moyen Âge sans altérations. Au contraire, ces nouvelles études montrent que, loin d’être figé, le diocèse est un territoire en construction de la fin de l’Antiquité jusqu’au XIIIe siècle, traversant des phases de déterritorialisation et de brouillage de ses limites, avant que des facteurs de territorialisation jouent à nouveau, surtout pendant la réforme grégorienne qui renforce l’autorité épiscopale. Dans le large panel des cas de figure présentés dans ce volume, l’ancien évêché des Gascons et les diocèses qui en sont issus au milieu du XIe siècle, dont celui de Dax en 1052, se révèlent être des plus suggestifs sur les évolutions en cours. 

Ce que J. B. Marquette présente en 2003 et 2004 comme une “première approche”, est en fait un survol dense, fouillé de la géographie du diocèse de Dax et des grandes lignes de son évolution sur sept siècles, appuyé en outre sur une très belle carte hors-texte et d’une grande clarté (réalisée par J. B. Marquette, Jean Cabanot et Nathalie Pexoto). L’article de 57 pages est divisé en deux parties. La première est consacrée au diocèse de Dax au XIIe siècle, pendant que la seconde se projette du XIIIe au XVIIIe siècle. L’approche est donc prospective. On part d’un état initial qui est la situation du XIIe siècle pour aller vers l’aval, ce qui contraste avec les travaux menés par l’auteur jusqu’alors sur les réseaux paroissiaux, qui s’efforçaient, à partir de la situation des XIIe-XIIIe siècle, de remonter vers les origines alto-médiévales et antiques.

Le caractère exceptionnel de la liste des églises du diocèse de Dax (nomina ecclesiarum hujus episcopatus, n°  174, ajoutée à la fin de l’article) justifie le parti de faire commencer l’étude par ce fascinant état des lieux, tant cette liste, élaborée dans le dernier tiers du XIIe siècle, peut être considérée comme exhaustive. En effet, grâce à l’aide de Jean Cabanot, les 300 églises qui la composent ont quasiment toutes été identifiées et localisées. Ce document offre plusieurs exceptionnelles opportunités : connaître la densité des églises du diocèse, ce qui permet de constater que les Landes et la Haute Lande en particulier sont alors habitées ; observer une structuration interne faite de groupements d’églises, organisés en 21 itinéraires devant servir à la perception des redevances dues à la cathédrale, au-dessus desquels se superposent 4 archidiaconés, dont on peut suivre, exceptionnellement là aussi, la progressive territorialisation. Même si cela n’apparaît pas dans les notes ou dans le texte de l’article, les réflexions de l’auteur sur la nature de ces ecclesiae rejoignent celles des chercheurs travaillant alors sur ces questions, soucieux de ne pas livrer de conclusions hâtives sur le statut de ces ecclesiae (églises déjà paroissiales ou lieux de culte dépourvus de fonctions paroissiales comme des chapelles ou des succursales ?). Les recoupements minutieux qu’il a été possible de faire avec d’autres textes du Liber rubeus ont permis de repérer des ecclesiae, absentes de la liste des 300 (Saint-André de Gelès, Saint-Pierre de Gieres, Saint-André d’Orist, Narrosse, en Mixe et Ostabaret) et n’étant pas par ailleurs devenues paroissiales. 

Au regard de la détermination des limites du diocèse qu’autorise aussi cette liste, il est clair que dans l’esprit des chanoines qui l’ont élaborée, il s’agissait de figer un territoire face à des nouveaux risques d’amputations, ce dont témoignent les enclaves et autres anomalies frontalières révélées par la liste des 300 ecclesiae ainsi que par d’autres textes du même cartulaire. Songeons en particulier au savoureux récit du conflit à rebondissements entre le clergé d’Oloron et celui de Dax sur le contrôle de groupe d’églises disputées au sud (n° 152). Ces flottements, que l’on met sur le compte des circonstances de la reconstruction des cadres diocésains après la fin de l’évêché des Gascons, sont bien perceptibles en Haute Lande, avec le cas de l’enclave de la Leyre ou celui des églises de Callen et Luxey, dont le rattachement à Bazas ou à Dax reste flou à la fin du XIIe s. Ceci étant, les caractères du diocèse de Dax que l’article révèle dans cette phase de structuration ne sont pas originaux. Les cas de figures rassemblés dans les écrits de F. Mazel révèlent d’autres conflits de limites ou d’autres découpages de l’espace diocésain fondés sur des itinéraires.

Une large partie de l’article est occupée par l’analyse des dédicaces et des hagiotoponymes des 300 églises du diocèse, un sujet il est vrai récurrent dans les travaux de J. B. Marquette. L’analyse qu’il en livre est prudemment limitée à des statistiques sur le corpus de 70 dédicaces différentes, les plus populaires étant les dédicaces à saint Martin, saint Pierre, sainte Marie, saint Jean Baptiste (plus de 37 fois chacun), puis saint Vincent, saint Étienne, saint André, saint Laurent, saint Saturnin, saint Michel, etc. S’il ne ressort pas des comparaisons faites avec des travaux similaires en Marsan et en Bordelais de véritables spécificités dacquoises, l’étude permet de mesurer le caractère limité de certains cultes locaux au XIIe siècle et avant, tels ceux de saint Sever ou de saint Léon. 

Pour la seconde partie de l’article, qui s’étend jusqu’à la fin de l’Époque moderne, Jean Bernard Marquette sort de l’utilisation exclusive des documents du Liber rubeus, pour mobiliser des constitutions synodales du XIVe s. ainsi que le rôle de décime de 1527. Cette partie n’est pas pour autant moins dense que la première. L’auteur dévoile tout d’abord comment ont été créés les 17 archiprêtrés du diocèse, tardivement, dans les premières décennies du XIVe siècle, au moment où s’effacent les 4 archidiaconés (1305-1327). L’article n’interroge pas les responsabilités de l’Église du début du XIVe siècle dans ces importants changements, alors qu’ils surviennent dans une époque où sont aussi créés de nouveaux diocèses à l’initiative de la papauté d’Avignon. En revanche, il montre bien le caractère prégnant de la trame des anciens itinéraires dans la création des nouveaux archiprêtrés, surtout au nord de l’Adour, alors qu’au sud du fleuve cette matrice est concurrencée par d’autres dynamiques se renforçant après le XIIIe siècle, comme les juridictions seigneuriales ou urbaines. 

Le devenir du réseau paroissial du diocèse après le XIIe siècle est ensuite analysé, grâce à une comparaison entre la liste n° 174 du Liber rubeus et la carte de Cassini où sont scrupuleusement pointées les églises, succursales, églises en ruine et chapelles. Dans cet intervalle de près de six siècles, l’enquête minutieuse de l’article fait ressortir l’importance relative des églises ayant disparu (58 soit 19,33 % s), dont il apparaît pour celles des Landes que les disparitions sont antérieures à 1527. Dans l’autre sens, l’auteur s’intéresse aux créations de paroisses postérieures à la liste des 300. D’abord aux six qui sont documentées dans les derniers actes du Liber rubeus (Saint Jacques de Forc, Labenne-Capbreton, Clermont, Montgiscard, le Bourg Neuf de Sault, l’Hôpital d’Ordios), ce qui donne lieu à des petites monographies d’un grand intérêt sur chacune de ces fondations, comme Montgiscard, fondée par Gaston IV de Béarn, dédiée à la sainte Croix et au saint Sépulcre. Quatorze paroisses nouvelles ont ensuite été créées entre 1200 et 1790, dans des bourgs castraux (Labouheyre, Laharie), des bastides (Hastingues, Bellocq, Labastide-Villefranche), ou plus simplement en relation avec la mise en valeur de nouveaux terroirs (Estibeaux, Mano, Commensacq, Saint-Barthélemy). Phénomène remarquable sur la longue durée : les changements de titres paraissent relativement nombreux. Sur les 242 églises figurant sur la carte de Cassini, 43 (soit 17 %) ont un titre différent de celui qu’elles avaient au XIIe s. siècle et sont dotées de nouveaux titres (dont Madeleine, Barthelemy, Nicolas ou Maurice), ce que l’on peut expliquer par des déplacements ou des reconstructions d’églises. Des changements qui suscitent chez l’auteur un conseil à la prudence pour des recherches cherchant à faire la genèse des réseaux paroissiaux lorsqu’elles sont fondées sur des listes de paroisses plus récentes et mal documentées. 

Cet article est le dernier de la carrière scientifique de J. B. Marquette abordant une aussi large palette des thèmes de géographie historique qui lui étaient chers (limites diocésaines, paroisses et réseaux paroissiaux, circonscriptions infra-diocésaines, dédicaces, devenir des “petits pays”…). Comme il l’a souvent fait, Jean Bernard Marquette y a joué des temporalités, combinant le temps court pour décortiquer méticuleusement tous les aspects d’un instantané (ici dans le dernier tiers du XIIe s), avec le temps long, pour suivre les évolutions les plus marquantes courant sur plusieurs siècles. Depuis lors, l’avancée des connaissances est allée inégalement, sur les bourgs castraux des XIIe et XIIIIe des Landes méridionales (Anne Berdoy), sur les conflits des limites entre diocèses de Dax et d’Oloron (Benoît Cursente), ou sur les fondations des ordres militaires (Bernadette Suau). Mais aucune de ces contributions ne reprend l’ambition d’englober sous un même regard des dynamiques internes d’un espace aussi vaste dans le temps long. Un cas d’école assurément.

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Pessac
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EAN html : 9782356136541
ISBN html : 978-2-35613-654-1
ISBN pdf : 978-2-35613-655-8
Volume : 4
ISSN : 2827-1912
Posté le 15/11/2025
3 p.
Code CLIL : 3385
licence CC by SA
Licence ouverte Etalab

Comment citer

Boutoulle, Frédéric, “Radiographie d’un diocèse landais du XIIIe au XVIIIe siècle”, in : Boutoulle, F., Tanneur, A., Vincent Guionneau, S., coord., Jean Bernard Marquette : historien de la Haute Lande, vol. 3. Regards sur une œuvre, Pessac, Ausonius éditions, collection B@sic 4, 2025, 21-24. [URL]https://una-editions.fr/marquette-radiographie-d-un-diocese-landais-du-13e-au-18e-siecle
Illustration de couverture • L’église Saint Pierre de Flaujac : façade ouest (Carte postale Bromotypie Gautreau, Langon).
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