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Auteur : Ana Paula Mendes
Universidade Federal de Santa Catarina
Engenheiro, R. Eng. Agronômico Andrei Cristian Ferreira,
Florianópolis – SC,
BR-88036-02
anapsosa@hotmail.com
0000-0002-3287-797X
Engenheiro, R. Eng. Agronômico Andrei Cristian Ferreira,
Florianópolis – SC,
BR-88036-02
anapsosa@hotmail.com
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Doctorat et maîtrise en santé collective du programme de santé collective de l'UFSC, développant des recherches dans le domaine de la santé collective avec un accent sur l'épidémiologie des maladies chez les peuples indigènes et l'anthropologie de la santé. Spécialiste en santé familiale à l'UFCSPA et en santé indigène à l'UNIFESP.
Ana Paula Mendes est actuellement chargée de cours à l'université fédérale d'Amapá dans le domaine de la concentration de la santé collective et développe la recherche et la vulgarisation dans ce domaine en mettant l'accent sur la santé des peuples indigènes et les maladies à transmission vectorielle et sexuellement transmissibles.
Les maladies vectorielles sont un enjeu de santé publique avéré sur la zone frontalière amazonienne de l’Oyapock entre la France d’outre-mer en Guyane française et le nord du Brésil en Amapá. La présence de populations vulnérables et la mobilité des agents pathogènes contribuent au risque de paludisme dans ce territoire.