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Auteur : Barthélémy Enfrein

LEM – UMR 8584
Campus Condorcet
14 cours des Humanités
93322 Aubervilliers
barthelemy.enfrein@ephe.psl.eu
0009-0005-6365-855X


Ancien élève de l’École normale supérieure (A/L 2014) et agrégé de lettres classiques, Barthélémy Enfrein prépare actuellement une thèse de doctorat en cotutelle entre l’EPHE et la Ca’ Foscari de Venise sous la direction de M.-O. Boulnois et Emiliano Fiori intitulée : « Les Homélies sur Luc de Cyrille d’Alexandrie : texte grec, traductions dans l’Orient chrétien, chaînes exégétiques et réceptions ». Il est actuellement boursier de l’Académie des inscriptions et Belles Lettres à l’École biblique et archéologique française de Jérusalem. De 2021 à 2023, il est membre du laboratoire junior Himation, qui organise journées d’études et séminaires sur le thème des métaphores vestimentaires dans l’Antiquité : https://himation.hypotheses.org/.

Ses recherches portent sur l’édition et la traduction des textes des premiers auteurs chrétiens et leur réception, tant dans leurs traductions, notamment syriaques qu’à l’époque byzantine.

Bibliographie

  • « With or without Candles? Manipulating Cyril of Alexandria’s Third Homily In Lucam: Three Versions for One Text », Journal of Early Christian Studies, 30.4, 2022, p. 533-553.

  • G. Lacaze et J. Pinguet, avec la collaboration d’A. Bresson, A. Broseta, B. Dufour, B. Enfrein, F. Lagnau, L. Routier-Guillemot et C. Vulliard, Hellènika. 80 versions grecques commentées. CPGE, Université, Concours, Paris, Ellipses, janvier 2024.

  • « Trois relectures syriaques de la première des Homélies sur Luc de Cyrille d’Alexandrie » Le Muséon (à paraître).

Mots clés
Cyrille d’Alexandrie, patristique grecque, syriaque, catenae, exégèse, littérature byzantine

Le vêtement était jusqu’ici un objet principalement étudié par l’archéologie et par l’histoire culturelle, comme symbole d’une identité sociale, ethnique ou de genre.
L’étudiant en goguette à Venise passe au moins une demi-journée à la Gallerie dell’Academia. Là, il peut s’arrêter, quelques instants, devant un tableau de Giovanni Francesco Caroto peint entre 1520 et 1525. Cette peinture est intitulée Madone à l’enfant cousant.
Cet ouvrage est le fruit de deux ans de recherches, menées par le laboratoire junior Himation, qui a souhaité explorer la question des métaphores vestimentaires dans les textes antiques et jusqu’à la Renaissance.
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