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Catégorie : Archéologie

couverture du livre Traversées. Limites, cheminements et créations en épigraphie
Pour notre civilisation de l’écrit, de la rhétorique et de la scholastique, imprégnée des théories de Saussure et de Barthes, un texte, notion inhérente à celle d’inscription, est avant tout une suite compréhensible de signes agencés pour livrer un sens.
Cette série d’estampes est née d’une rencontre entre Sylvain Konyali, artiste-graveur, et Paul Vergonjeanne, tailleur de pierre alors étudiant à l’École d’architecture de Madrid.
couverture du livre Traversées. Limites, cheminements et créations en épigraphie
Relire-Relier est né de la fascination de l’artiste pour les particularités graphiques des inscriptions : abréviation, élision, formes graphiques mêlant entrelacements, inclusions, jeux d’échelle.
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En mai 2018, sur invitation des commissaires, je me suis rendue à la Caza de Velázquez à Madrid pour une visite de l’exposition Sendas Epigráficas (“Chemins épigraphiques”).
couverture du livre Traversées. Limites, cheminements et créations en épigraphie
L’originalité du système sigillaire occidental, dont la diffusion à partir de la fin du XIIe siècle représente un phénomène central de la civilisation médiévale, consiste à combiner textes et images. L’étude des sceaux se confond avec l’invention de l’histoire moderne.
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Dans l’art de la mosaïque pariétale du début du Moyen Âge, la dimension matérielle de l’inscription est particulièrement liée à la signification du message inscrit et aux images représentées que le texte veut illustrer, synthétiser, expliquer, légitimer.
couverture du livre Traversées. Limites, cheminements et créations en épigraphie
Bien sûr, il nous faut remercier tous les acteurs de l’ouvrage, artistes et auteurs non seulement pour leur engagement dans l’aventure, mais aussi pour nous avoir fait confiance malgré les atermoiements d’une publication qui n’en finissait pas.
Le film est né d’une rencontre entre Andrés Padilla, artiste audiovisuel et plasticien, et Morgane Uberti, épigraphiste et chercheuse, qui ont fait le pari d’une contamination féconde de leurs univers. 
couverture du livre Traversées. Limites, cheminements et créations en épigraphie
Durant les trente minutes que dure le film Inscriptions sauvages, domestication graphique, le spectateur est invité à suivre la quête hâtive d’un vidéaste : une précipitation marquée par les mouvements de caméra, des plans tronqués, le bruit des pas, celui des gestes et des respirations.
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Rien n’était simple dans le projet d’exposition Sendas epigráficas. Le caractère inédit de l’aventure pour la plupart de ses acteurs, les aléas d’une conversation discontinue entre artistes et chercheurs, les tâtonnements propres à la dynamique créative ont entravé à maintes reprises un cheminement commun, l’ont mis en péril parfois, et en ont toujours souligné le caractère irrésolu et vacillant.
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Originalidad, entusiasmo, diálogo y trabajo son las palabras que mejor definen, al menos es mi convencimiento, la génesis de este volumen que ahora tiene el lector en sus manos.
En Europe tempérée, les premières villes apparaissent plus tardivement que dans le monde méditerranéen. Elles se développent dans des contextes différents sur les plans économiques et politiques et selon des dynamiques qui leur sont propres. On a longtemps pensé que les oppida, habitats fortifiés de hauteur, qui émergent à la fin du IIe s. a.C. représentaient les premières villes du domaine celtique (plus précisément laténien).
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