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Collection : PRIMALUNA_30

Il m’a été donné de présenter quelques remarques sur des textes gnostiques anciens afin d’éclaircir une parole énigmatique attribuée à Jésus, conservée dans un évangile apocryphe copte, l’Évangile selon Philippe, logion 24
Dans l’histoire de la métaphore du corps comme manteau de l’âme, l’œuvre de Philon d’Alexandrie constitue une étape importante. Elle représente, en effet, un jalon dans l’évolution de la tradition platonicienne
Que cela soit d’un point de vue littéraire ou iconographique, la représentation des chaussures dans l’Antiquité exprime métaphoriquement des thèmes liés à la mobilité, à la transition, à la transformation
This chapter explores the clothing metaphor in Roman epic through the use of the Latin verb induo, -ere. The verb induere, meaning ‘to put on an article of dress or ornament’ – like its Greek equivalent ἐνδύω – often appears in metaphorical contexts
Au cours du voyage aller qui emmène les Argonautes en quête de la Toison d’or d’Iolchos vers la Colchide, pendant l’épisode qui se déroule dans l’île de Lemnos et qui, à bien des égards, contient en germe la suite de l’épopée
L’analogie entre texte et tissu est ancienne, comme en témoigne l’étymologie du mot “texte”, du latin textus, qui signifie “tissage”.
Dans la comédie ancienne, les vêtements constituent un élément indispensable de la mise en scène et du jeu des acteurs : costumes et accessoires (masques, rembourrages, phallus postiches) devaient permettre aux spectateurs d’identifier immédiatement les personnages sur scène et de reconnaître leur nature comique.
This paper explores the notion of enveloping death through the use of metaphorical as well as literal “wrappings” in Euripides’ Heraklēs.
Pour qui cherche à retracer l’origine de la métaphore du corps comme tunique de l’âme et à comprendre sa fortune chez les auteurs antiques (en particulier les néoplatoniciens), c’est d’abord vers le corpus platonicien qu’il faut se tourner.
Dans la dernière et la plus longue partie du Timée, consacrée à la description de la nature et de la fabrication des êtres vivants mortels (40d-92c) par les dieux auxiliaires du démiurge, Platon représente le corps humain à l’aide de multiples métaphores vestimentaires.
À la fin du Gorgias, Platon a proposé l’un des mythes eschatologiques qu’il s’est plu à imaginer, en faisant un usage très libre de divers matériaux traditionnels.
Cet ouvrage est le fruit de deux ans de recherches, menées par le laboratoire junior Himation, qui a souhaité explorer la question des métaphores vestimentaires dans les textes antiques et jusqu’à la Renaissance.
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