Cette étude s’inscrit dans le cadre d’un vaste projet de recherche de l’université de Bologne visant à établir la prosopographie des Égyptiens et des Alexandrins dans l’Empire romain. En Afrique, de la Proconsulaire aux Maurétanies, les attestations, rares au début de l’Empire, sont davantage concentrées aux IIe et IIIe siècles pour devenir moins nombreuses aux IVe et Ve siècles.
A. C. recense 108 noms (91 hommes, 16 femmes, un non précisé) dans un appendice prosopographique (p. 1196-1209). En réalité, seuls dix-huit sont indubitablement Égyptiens ou Alexandrins. Les autres ne le sont que peut-être, en fonction notamment de critères onomastiques.