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Introduction au recueil de Jean Bernard Marquette

Tout au long de sa carrière d’historien, l’intérêt de Jean Bernard Marquette (1934-2020) pour les Landes et pour leur histoire a été constant même si l’espace landais n’a pas été exclusif de ses préoccupations scientifiques. À partir du début des années 60 et pendant près de six décennies, il a œuvré à faire connaitre le passé médiéval d’une région avant lui peu étudié et où de tenaces lieux communs tenaient lieu de vulgate, à l’image du “désert landais” que décrivaient les voyageurs traversant la Haute Lande jusqu’au milieu du XIXe siècle. La réunion de 80 publications consacrées à l’histoire des Landes de Jean Bernard Marquette révèle à quel point ce passé médiéval est pourtant riche et digne d’attention.

Né à Grignols, dans ce sud Gironde où sont ses attaches familiales, Jean Bernard Marquette a acquis très tôt une connaissance intime ainsi qu’un vif intérêt pour cette partie du pays landais située en Bazadais, c’est-à-dire dans cette moitié du diocèse de Bazas au sud de la Garonne et s’étendant vers l’ouest et le sud vers des Petites Landes et la Grande Lande. À la manière d’autres grands auteurs sensibles à la puissance évocatrice de tels paysages, tel François Mauriac depuis les landes de Saint-Symphorien, ou Bernard Manciet, depuis celles de Sabres. Ce champ d’étude n’a pourtant pas été appréhendé comme tel aux débuts du parcours d’historien de Jean Bernard Marquette, alors que l’époque était celle des grandes thèses d’histoire économique et sociale portant sur une région, au Moyen Âge ou à l’Époque moderne, comme le Maconnais de Georges Duby, la Picardie de Robert Fossier, la Catalogne de Pierre Bonnassie, le Beauvaisis de Pierre Toubert, le Chartrain d’André Chedeville, le Berry de G. Devailly, le Basse-Auvergne de Gabriel Fournier, le Comminges de Charles Higounet etc.

C’est par la famille des Albret dont le riche fonds d’archives est conservé à Pau, aux archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, que Jean Bernard Marquette a pu faire de l’espace landais le terrain privilégié de ses travaux, dans le cadre de sa thèse de troisième cycle (1968), puis de son doctorat d’état (1972). Cette famille dont il a reconstitué l’histoire jusqu’en 1360 et étudié chacune des seigneuries, était en effet la plus importante de cette région. Depuis leur berceau éponyme de Labrit, les Albret possédaient au milieu XIVe siècle un impressionnant ensemble de terres landaises (voir la carte ci-dessous). D’abord, par son importance et son homogénéité territoriale, le bloc formé des pays de Gosse, Seignanx, Maremne, Marensin, vicomté de Tartas, avec les seigneuries de Saubusse, Labouheyre, Laharie, Arjuzanx (dans le diocèse de Dax), à quoi s’ajoutent les seigneuries de Labrit (diocèse d’Aire), Sore, Castelnau-de-Cernes, Casteljaloux, Aillas (diocèse de Bazas), Pays de Born, seigneurie de Saint-Magne (Bordelais). À cet ensemble compact s’ajoutent de manière disjointe les seigneuries de Sémignan et Vertheuil dans les landes médocaines (en Bordelais), Casteljaloux (Bazadais), des droits ponctuels dans un grand nombre de localités du Bazadais ou du Cernès (en Bordelais), ainsi que dans le sud du diocèse d’Agen. 

Sur ces espaces que les Albret l’ont fait parcourir, Jean Bernard Marquette s’est tourné avec un égal appétit vers d’autres types de sources que celles du Trésor des chartes d’Albret, ce qui lui a permis de s’extraire de l’ombre de cette puissante famille, pour se tourner vers l’histoire d’autres seigneuries, comme celle des prieurés de l’abbaye de La Sauve-Majeure dans les Landes, ou vers d’autres hautes figures du passé landais, tel le pape Clément V et sa famille. Son intérêt précoce pour la géographie historique et pour les traces matérielles du passé, comme le bâti, le mobilier, l’archéologie et l’histoire de l’art, ou pour l’analyse des cartes et plans anciens, l’ont conduit avec bonheur sur les chemins que Charles Higounet venait d’ouvrir, ceux de l’histoire de l’occupation du sol et du peuplement sur le temps long, par le croisement des sources et des méthodes. Ainsi, l’analyse des formes de peuplement, comme la paroisse ou les habitats groupés (castelnaux, sauvetés, villes et bourgs), ont été des sujets d’études récurrents grâce auxquels il put revisiter profondément les modalités et la périodisation du peuplement des pays landais.

Ces travaux couvrent pas moins de six décennies. Ils s’inscrivent dans une carrière commencée dans l’enseignement secondaire aux lycées de Périgueux (1957-1958), puis Montaigne à Bordeaux (1958-1967), avant de se poursuivre à la faculté des lettres de Bordeaux, devenue université Bordeaux 3 puis Bordeaux Montaigne (1968-2002). La présente compilation n’est pas le résultat d’un souhait de Jean Bernard Marquette, qui n’a pas cherché à réunir ses publications au soir de sa carrière (à l’instar de celles de Charles Higounet, qui ont fait l’objet de deux rééditions). Il n’avait pas non plus consenti à recevoir un volume d’hommages, selon l’usage des universitaires honorant la carrière d’un collègue à l’heure de partir en retraite. Sa disparition brutale, pendant la crise du COVID, est survenue au moment de la publication de la magistrale étude sur le castrum des Albret à Labrit, à laquelle il avait œuvré avec Yan Laborie durant plus de deux décennies. Les hommages qui lui ont été rendus en cette occasion puis dans les mois qui ont suivi, se sont accompagnés de la publication de la liste de ses travaux, dont il est ressorti la part prépondérante et à vrai dire jusque-là insoupçonnée, de ceux qui étaient consacrés aux pays landais. 

Il revient à Dominique Coutière, fondateur de Biolandes, maire de Labrit, conseiller départemental et président de la communauté de communes Cœur Haute-Lande, dont l’intérêt pour les travaux de Jean Bernard Marquette et le soutien pour la fouille du castrum de Labrit ont été constants, la belle idée de transformer cette liste des travaux landais en un recueil. Pourquoi en effet ne pas rassembler des publications dispersées, car publiés dans des revues savantes ou dans des actes de colloques peu diffusées, afin de les faire mieux connaitre ? Pourquoi ne pas en faire cette somme sur l’histoire des Landes médiévales dépassant les quatre chapitres que Jean Bernard Marquette avait rédigé dans Landes et Chalosse en 1984, la seule synthèse sur l’histoire de ce département de la Préhistoire au XXe siècle, épuisée depuis des lustres, et qui l’avait laissé sur sa faim en raison des contraintes éditoriales ayant réduit son texte et fait supprimer l’appareil de preuves ? Grâce à ce soutien, et avec l’accord de la famille de Jean Bernard Marquette, la chance de ce projet conçu en 2021, est de n’être pas resté en l’état faute de moyens, techniques et financiers, ou faute de cap. 

Il a fait naître deux opportunités. Rééditer des publications épuisés ou difficiles à trouver ne se conçoit plus de nos jours sans format numérique et sans accès libre, pour en faciliter une large diffusion. C’est pourquoi le choix s’est porté vers une édition en ligne sur la plateforme UN@, crée en 2019, et offrant en outre la possibilité d’obtenir une impression papier en beau volume . La seconde opportunité tient à la place et à la forme des hommages qu’un tel projet ne pouvait que susciter. En effet, à l’image des actualisations que Jean Bernard Marquette a pu faire lui-même de sa thèse sur les Albret rééditée en 2010 pour faire état des avancées de la recherche depuis sa première publication, 35 ans plus tôt dans cinq fascicules des Cahiers du Bazadais, il paraissait impossible de rééditer ces publications landaises simplement telles quelles, sans commentaires. Sollicités, les collègues et anciens étudiants qu’il a formés et ayant travaillé sur l’espace landais ont accepté volontiers de contribuer à cette forme d’hommage à l’ami et au maître, pour replacer ces publications dans le contexte scientifique de leur époque, pour en estimer les apports et leur héritage au regard des avancées de la recherche. Leurs textes ont été rassemblés dans le volume Regards sur une œuvre.

Jean Bernard Marquette n’ayant pas cherché à sélectionner lui-même les publications qu’il aurait souhaité être rééditées (à l’instar par exemple de Michel Reddé), l’équipe réunie autour de ce projet a choisi de ne pas le faire à sa place, mais de prendre en compte l’ensemble de ses publications sur l’espace délimité. Cette décision n’est pas un non choix. Elle offre en effet l’opportunité de voir l’évolution dans le temps de la méthode du chercheur, celle de ses centres d’intérêt avec, en arrière-plan, l’évolution de la discipline historique entre les années 60 et les années 2000. Les publications qui ont été rassemblées ont été publiées entre 1960 et 2020. Elles portent sur un espace dont la Haute Lande est le cœur, mais qui contient aussi ces terres limitrophes faisant partie des Landes de Gascogne sur lesquelles Jean Bernard Marquette a travaillé, c’est-à-dire la Lande maritime, les Petites-Landes, les landes du Bordelais, du Bazadais et de l’Agenais, jusqu’au Pays-Mêlé.

Pour l’essentiel, il s’agit d’articles de revues et d’actes de colloques tenus dans la région. Dans la première catégorie, la part considérable des Cahiers du Bazadais tient à la place tout à fait particulière de cette association, dont Jean Bernard Marquette fut un des fondateurs, et directeur de sa revue de 1961 à 2015. Les articles publiés dans d’autres revues régionales comme la Revue Historique de Bordeaux, le Bulletin de la société de Borda, la Revue de l’Agenais, ainsi que les actes des congrès de la Fédération historique du Sud-Ouest témoignent de la constance de son attachement aux travaux des associations historiques locales, à ce tissu de sociétés savantes dont il appréciait la sociabilité et avait à cœur de contribuer aux missions de valorisation et de médiation par des conférences qui ont marqué leur auditoire. Quoi que ces publications aient été écrites sous son nom seul, Jean Bernard Marquette usa du terrain landais pour mener et diriger des travaux collectifs et pluridisciplinaires, comme le Projet collectif de recherche “Airiaux de la Grande Lande” (2005-2007) qui déboucha sur la fouille de l’airial de Guirotte à Sabres (dir. Yan Laborie) ou avec les deux colloques de Sabres et du Teich de 1981 et de 1983 dont il partagea la direction avec André Klingebiel. C’est pourquoi, pour se limiter à d’autres responsabilités “landaises”, fut-il aussi conservateur du musée d’arts et traditions populaires de Villandraut (1969-1995) et vice-président du conseil scientifique du Parc régional des Landes de Gascogne. Pour cette réédition, le corpus de 80 publications a été retrouvé dans les rayonnages, puis océrisé, exporté, relu, traité, maquetté sous Indesign et mis en ligne sur la plateforme UN@ éditions par Alice Tanneur, avec le concours de Mathilda Menadeo (Service commun de documentation Université Bordeaux Montaigne), Claire-Lise Gauvain (service Scoop de l’université de Bordeaux), Anaïs Dumont, Léa Garnier, Sarah Vidal, Justine Viger et sous la supervision de Stéphanie Vincent. 

Pour des questions de place et de volume de travail, trois ouvrages n’ont pas suivi le même traitement et ne sont pas intégrés dans cette réédition. Il s’agit de la thèse sur les Albret (752 pages), déjà rééditée, des quatre chapitres rédigés par Jean Bernard Marquette de Landes et Chalosse (218 pages) et le Trésor de Bazas. Ils sont néanmoins consultables dans leur format original, en pdf, dans les compléments de l’édition en ligne. 

Malgré la diversité des angles d’approche et des objets de recherche, ces publications conjuguent les thèmes favoris des travaux de Jean Bernard Marquette. Ils constituent l’armature de cette réédition, ayant permis de rassembler ses publications sous les titres de parties suivants : 

• Les Albret et la société nobiliaire des Landes de Gascogne

• Villes, bourgs et castelnaux dans l’espace landais

• Peuplements et habitats des campagnes landaises

• Coutumes et seigneuries landaises

• Archéologie et patrimoine

• À quoi s’ajoutent deux focales transversales à son travail : la langue gasconne et l’édition de sources ainsi que quelques excursus sur des points d’histoire contemporaine, tant il est vrai que son immense curiosité ne s’arrêtait pas au seul Moyen Âge (voir ses articles sur l’enseignement primaire au XIXe siècle et sur les carnets d’un poilu de la première guerre mondiale).

Les publications abordant en même temps plusieurs de ces thèmes, ce qui est fréquent dans l’œuvre de Jean Bernard Marquette, elles peuvent être, grâce à la souplesse qu’offre l’édition numérique, reliées à plusieurs titres de partie. Une publication papier dérivée n’offrant pas cette possibilité, c’est l’ordre chronologique des publications qui a été retenu dans ce cas. Les séries courant sur plusieurs années, comme “Richesses archéologiques” ou “Monuments disparus” du Bazadais ont en revanche été unifiée. L’édition en ligne sera dotée d’ici peu d’une interface cartographique, réalisée par Martine Courrèges-Blanc (UMR Ausonius), permettant de localiser les lieux cités par chacune des publications et de visualiser ce faisant l’aire couverte par les travaux landais de Jean Bernard Marquette.

Les notes d’accompagnement des auteurs du volume Regards sur une œuvre, écrites par les historiens, archéologues, philologue et anciens étudiants de Jean Bernard Marquette ayant travaillé sur l’espace landais, portent soit sur une de ses publications, soit sur un groupe de publications, qu’il s’agisse de séries (telles les “Richesses archéologiques du Bazadais”), ou bien d’articles traitant d’un même thème (les coutumes, les Albret, les Atlas des villes de France, etc). N’ont fait l’objet de commentaires que les publications de Jean Bernard Marquette portant sur l’espace défini ci-dessus, sans intégrer donc celles qui portent sur la Chalosse (Saint-Sever), sur le Médoc ou sur la partie du Bazadais non landaise. Chacun des auteurs a suivi librement une trame commune contenant les points suivants : situer ces publications dans le contexte scientifique de leur élaboration, relever la méthode suivie, faire part des résultats obtenus ainsi que ce qu’il en demeure aujourd’hui au regard des avancées de la recherche. Un lien permet d’accéder à ces contributions directement depuis chacune des publications de Jean Bernard Marquette. Celle de Sylvie Faravel, relative aux 43 notes et articles issus des séries telles les “Richesses archéologiques” ou les « Monuments et œuvres d’art du Bazadais” occupe une place à part, ainsi que celle d’Alain Viaut, consacrée à la langue gasconne dans l’œuvre de Jean Bernard Marquette, en raison de l’importance de la matière découverte et par les perspectives qu’elle ouvre.

Considérable par son volume (plus de 1956 pages équivalent papier), cet ensemble de travaux l’est aussi pour ce qu’il apporte à la connaissance de l’histoire des pays landais, malgré l’effet mosaïque que confère le rassemblement d’études qui n’avait pas été conçues pour être réunies un jour. Au demeurant, il ne s’agit pas tout à fait d’une somme sur l’histoire des Landes médiévales. En effet, ces publications ne reviennent pas ou exceptionnellement sur des aspects d’histoire politique que Jean Bernard Marquette avait largement développés sur commande dans les chapitres de Landes et Chalosse, en 1984, comme sur les landes dans le duché des ducs de Gascogne du Haut Moyen Âge jusqu’à la fin de la guerre de Cent ans ou encore avec l’évocation des personnalités marquantes de ces siècles. Que ces thèmes liés à une conception de l’histoire héritée de de l’école méthodique (dite aussi positiviste), faisant la part belle aux évènements et aux grands hommes, passent à l’arrière-plan dans ce florilège landais témoigne aussi de ce que pour Jean Bernard Marquette le terrain landais a été un laboratoire pour mettre en œuvre une conception de la science historique renouvelée par l’héritage de l’école des Annales, plus portée vers l’observation des phénomènes sociaux, et complétée pour sa part par une forte ouverture à la géographie historique. 

Il en résulte une méthode scientifique bien identifiable, faisant reposer le propos sur un consistant appareil de références aux sources écrites, ces archives médiévales et modernes qu’il transcrivait remarquablement grâce à de solides compétences en paléographie, latin et gascon, ainsi qu’aux sources archéologiques et planimétriques. Indissociable de sa manière de faire, la production de cartes fait de la spatialisation des données un outil au service de la réflexion scientifique, raison pour laquelle les cartes et plans réalisées avec les cartographes du laboratoire de cartographie historique de l’université Bordeaux 3 puis de l’UMR Ausonius, et qui ont trouvé leur plein épanouissement dans la collection qu’il a dirigée des Atlas historiques des villes de France sont devenus des références. Il existe certainement d’autres manières d’écrire l’histoire médiévale des Landes. Mais celle qu’a cultivée Jean Bernard Marquette lui a permis d’attirer l’attention sur un grand nombre d’objets inédits avant lui, comme l’originalité des sociétés paysannes ou du système agropastoral, celles des formes de peuplement ou de l’encadrement seigneurial, en sorte que ses publications sont encore des passages obligés à qui s’intéresse au passé landais.

Du reste, cette riche matière n’épuise pas ce que la connaissance de l’histoire médiévale des pays landais doit à Jean Bernard Marquette. Les travaux des étudiant.e.s qu’il a suscités et encadrés de 1980 à 2002, qu’il s’agisse des 30 mémoires de maîtrise (TER) et de DEA ou des cinq thèses de doctorat portant sur tout ou partie sur l’espace landais y ont d’autant plus contribué à leur tour qu’une appréciable partie d’entre eux a fait naître de belles publications. Celles et ceux dont Jean Bernard Marquette a encadré les travaux ou qu’il a conseillés ont pu apprécier combien les études qu’il avait menées sur de larges parties de l’espace landais lui avaient fourni cette large et généreuse érudition, des connaissances d’une grande acuité sur les lieux, les sources et la bibliographie qu’il partageait volontiers. Autant de graines qui contribuent encore au renouvellement de l’histoire de ce pays. 

C’est donc une forme singulière d’hommage au collègue, à l’ami et au maître, comme on appelait les formateurs dans les métiers médiévaux, qu’il nous est donné d’offrir en son honneur et à sa mémoire. Que tous et toutes ayant œuvré à la réussite de ce projet et qui l’ont rendu possible en soient vivement remerciés : Anne Berdoy, Frédéric Boutoulle, Bernard Broustet, Benjamin Caule, Rémy Cazals, Anne-Marie Cocula, Philippe Corrège, Martine Courrèges-Blanc, Pierre Courroux, Clément Coutelier, Dominique Coutière, Benoît Cursente, Anaïs Dumont, Jeanne Marie Fritz, Sylvie Faravel, Léa Garnier, Claire-Lise Gauvain, Ézéchiel Jean-Courret, Jean-Paul Jourdan, Yan Laborie, Françoise Lainé, Bernard Larrieu, Sandrine Lavaud, Colette et Sophie Marquette, Mathilda Menadeo, Fabrice Mouthon, Pierre Prétou, Pierre Simon, Alice Tanneur, Alain Viaut, Sarah Vidal, Justine Viger, Stéphanie Vincent, ainsi que le conseil départemental des Landes.

Les possessions des Albret lors de la signature du traité de Calais (1360)
Les possessions des Albret lors de la signature du traité de Calais (1360) (d’après Marquette, J. B. [2010] : Les Albret. L’ascension d’un lignage gascon (XIe siècle-1360), carte hors-texte, Ausonius Scripta Mediævalia 18, Pessac).
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Pessac
Chapitre de livre
EAN html : 9782356135094
ISBN html : 978-2-35613-509-4
ISBN pdf : 978-2-35613-511-7
ISSN : 2827-1912
Posté le 15/11/2025
6 p.
Code CLIL : 3385
licence CC by SA
Licence ouverte Etalab

Comment citer

Boutoulle, F., “Introduction au recueil de Jean Bernard Marquette”, in : Boutoulle, F., Tanneur, A., Vincent Guionneau, S., coord., Jean Bernard Marquette : historien de la Haute Lande, vol. 1, Pessac, Ausonius éditions, collection B@sic 4, 2025, 9-15. [URL] https://una-editions.fr/introduction-au-recueil-jean-bernard-marquette
Illustration de couverture • d'après “Atlas de Trudaine pour la ‘Généralité de Bordeaux n° 6. Grande route de Bordeaux à Bayonne. Les douze premières cartes du plan de cette route. Cy 15 cartes’.
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