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Lieu d'édition : Pessac
Trois périodes d’activité anciennes ont été reconnues sur le district (fig. 153). La première phase, mise en lumière par le radiocarbone, se situe dans l’intervalle des IVe et IIIe siècles av. n. è.
Une partie des réseaux n’était déjà plus accessible lors des recherches menées par C. Dubois et J.-E.Guilbaut. Les choses n’ont pas changé pour ceux-ci, mais il faut leur ajouter le site de Lagarde, dont l’accès déjà limité aux travaux souterrains a été condamné par un glissement de terrain.
Les vestiges miniers des Atiels sont situés au sud-ouest du hameau du même nom, en rive droite du Pézègues (fig. 119). Ils font partie d’un ensemble plus large comprenant un atelier de traitement du minerai de cuivre, au pied de la mine, et un atelier de réduction du fer, dans le hameau.
La mine de Rougé est celle qui se trouve à la plus haute altitude parmi toutes celles que l’on connaît dans ce district, entre 680 et 690 m d’altitude (fig. 51). Elle n’a fait l’objet que d’une reconnaissance au début du XXe siècle, alors que des travaux de plus grande envergure sont menés dans la mine proche de Fagnou (pour zinc et cuivre), dans laquelle il n’y a pas de vieux travaux (fig. 47).
Plusieurs inventaires des richesses minéralogiques des Pyrénées réalisés aux XVIIe et XVIIIe siècles nous sont parvenus et donnent quelques indications sur les mines en activité ou abandonnées à ces époques.
Situé au centre du département actuel de l’Ariège, le massif de l’Arize se situe dans le Séronais, entre la haute montagne et la plaine dans un axe sud-nord et entre les vallées du Salat (Couserans) et de l’Ariège (Pays de Foix) suivant un axe ouest-est (fig. 39).
Le rapport que nous présentons n’est qu’une réponse, bien incomplète d’ailleurs, à l’un des principaux thèmes de ce colloque : l’état de la recherche dans le domaine des sites fortifiés et défensifs médiévaux.
par Rui Ramos Loza
Les grands aménagements du centre-ville de Rennes ont commencé au XVIIIe siècle, avec comme enjeu de développement urbain la connexion entre la ville haute et la ville basse. Le XIXe siècle aura été marqué par l’édification de murs de quai en maçonnerie, construits pour canaliser la Vilaine et assainir la ville.
par Mathieu Cardin
Les grands aménagements du centre-ville de Rennes ont commencé au XVIIIe siècle, avec comme enjeu de développement urbain la connexion entre la ville haute et la ville basse. Le XIXe siècle aura été marqué par l’édification de murs de quai en maçonnerie, construits pour canaliser la Vilaine et assainir la ville.
par Emmanuel Mary
C’est en s’interrogeant sur son devenir de « ville moderne des années 1950 », de ville maritime et industrialo-portuaire, que la construction patrimoniale de Saint-Nazaire a émergé.
Le pont de pierre, à la fois organe de fonctionnement indispensable de la ville de Bordeaux et véritable icône de son patrimoine, va faire l’objet de travaux qui sont rendus nécessaires aujourd’hui par des désordres structurels.
Le pont transbordeur de Martrou, réalisé par Ferdinand Arnodin, est construit entre mars 1898 et juillet 1900. Utilisé jusqu’en 1967, il est remplacé par un pont levant puis par le viaduc de l’estuaire en 1991.