Jean-Louis Podvin étudie les thèmes isiaques figurés sur les lampes, montrant que certains types sont étrangers à la vallée du Nil, et parfois typiques d’une région. Après un point bibliographique, il présente les dieux figurés seuls, à deux, trois ou quatre ; il s’intéresse à des cas particuliers comme les lampes en forme de navire ou de momie.
L’auteur s’interroge alors sur les problèmes de datation, les lieux de découvertes (un nombre significatif provenant de tombes) et de leur emploi (des exemplaires n’ont jamais été utilisés ; d’autres ont servi lors des illuminations des temples et des fêtes). La recherche d’ateliers producteurs de ces lampes est une autre piste explorée à partir d’un exemple.