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Type de document : Chapitre de livre
Alors qu’il travaillait à la publication des Rôles gascons du règne d’Édouard II de 1307 à 1317, le doyen Y. Renouard avait remarqué que nombre d’actes touchaient aux relations entre le roi-duc et Clément V.
La plate-tombe ou dalle tumulaire de Guilhem Jauffre, la seule connue à ce jour d’un évêque de Bazas, se trouvait à l’origine, selon les auteurs de la Gallia Christiana, dans l’église abbatiale de Belleperche, au-devant de l’autel principal.
Sa date de naissance est incertaine : vers 1530-1535, si, selon les déclarations du chanoine Dupuy, il a bien été au collège de Guyenne l’élève du grand André Gouvéa et de son frère qui avaient quitté l’institution en 1547 ; ou bien vers 1545, si on prend à la lettre le passage de son Oraison Funèbre où le même chanoine évoque “cette terre d’Égypte où il est demeuré l’espace de soixante ans”.
De toutes les familles nobles d’Aquitaine, c’est sans nul doute celle des Albret qui a connu le plus illustre destin. Modestes seigneurs gascons, les Albret parviennent au milieu du XIIIe siècle à se hisser au premier rang de la noblesse du duché.
Au cours de l’année 1318, probablement en Entre-deux-Mers, Élie d’Escossan, dit le bâtard d’Escossan, fut tué lors d’une rixe ou d’une escarmouche avec Guillaume Arnaud d’Auros, prévôt d’Entre-deux-Mers, et sa suite.
Albret, Haus v. Die gascogn. Familie A. (»de Lebret«) stammt aus dem gleichnamigen Kirchspiel (heute Labrit) im Herzen der Landes (SW-Frankreich). Ihre ersten Mitglieder werden in der 2. Hälfte des 11.Jh. faβbar.
La Maison et la Seigneurie de Tiran étaient anciennes et très distinguées dans le Pays Bordelois ; mais le temps apporte tant de changement dans les choses de ce bas monde, que l’une et l’autre y seraient absolument inconnues, s’il n’en étoit fait mention dans les anciens titre
Les conflits de juridiction étaient au Moyen Âge chose fréquente dans le domaine religieux. Il suffit pour s’en rendre compte de parcourir les chroniques locales ou les actes pontificaux, car, très souvent, les différends étaient portés jusqu’à Rome.
Ces regards sur les publications de Jean Bernard Marquette concernant la Haute Lande et ses pays limitrophes durant le Moyen Âge viennent de spécialistes, historiens, archéologues, philologue, ayant travaillé ou travaillant encore sur cet espace-là, au nombre desquels figurent bon nombre de ses anciens étudiants et étudiantes, collègues et amis.
Bien qu’elle ne soit pas inédite, puisque publiée il y aura bientôt quatre siècles, la description du Bazadais que nous reproduisons ici, est certainement inconnue des lecteurs des Cahiers.
Il sera toujours difficile d’éclairer l’histoire des églises bazadaises, après la disparition presque complète des archives de l’évêché de Bazas. Même pour le XIXe siècle, beaucoup de documents ont été d’ailleurs dispersés et, le plus souvent, il ne nous reste que des comptes de fabrique laconiques et incomplets.
Monclaris, voilà certes un nom qui n’évoque que bien peu de choses pour beaucoup de Bazadais. C’est celui cependant d’une ancienne paroisse et aujourd’hui encore, d’une église, qui fut naguère la plus belle de la vallée du Lisos.