Première version de l’étude publiée en français en 20041. Après avoir discuté brièvement de plusieurs inscriptions d’Hispanie nommant Isis (p. 245-247), dont une inscription d’Ampurias (anc. Emporion) où le nom d’Isis est intégralement restitué RICIS 603/0701), les auteurs notent l’absence de caractères spécifiques d’Isis dans la Péninsule Ibérique.
La condition sociale des fidèles, aussi bien des hommes que des femmes, est très variable (p. 248). Considérés comme des cultes romains à part entière, les cultes isiaques s’effacent dès la fin de l’époque sévérienne, en même temps que les autres cultes mystériques. Pages 251-257 est donné un catalogue – incomplet – des témoignages isiaques provenant du territoire hispanique.