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PROLOG et AFEAF, destins croisés


PROLOG … avant PROLOG (1976–1980)

Esquisser les origines d’une association dont la principale caractéristique fut sa nature informelle est un exercice difficile ! En effet, PROLOG (Protohistoire de la Loire à la Garonne) ne fut officiellement créée qu’en 1981 même si son histoire avait commencé bien plus tôt.

PROLOG est probablement issue de deux rencontres. La première, dans le cadre du congrès de l’UISPP tenu à Nice en 1976, où des archéologues du Centre-Ouest, au destin alors improbable, J. Gomez de Soto et J.-P. Pautreau, croisèrent O. Buchsenschutz. La seconde (toujours en 1976), déterminante, réunit en haut de l’échelle – dans le grenier-bureau de Moulins-sur-Céphons – Olivier et G.N. Lambert, qui ralliera un noyau préexistant en Auvergne et Limousin. Ce fut également le départ d’une aventure pionnière, celle de CENTRAR, un programme informatique utilisant l’ordinateur individuel dans la gestion et l’exploitation des données archéologiques. CENTRAR prend son nom d’ “Archéologie du Centre de la France”, première appellation du groupe qui donnera par la suite naissance à PROLOG.
Le résultat de ces rencontres se concrétise par une première réunion à Levroux, chez Olivier, le 3 septembre 1977. Le premier contour géographique est dessiné. Les réunions qui démarrent alors s’inscrivent dans un contexte où les archéologues professionnels sont rares, les bénévoles isolés, les étudiants hésitants et les circonscriptions embryonnaires. Elles offrent une alternative à un vide institutionnel, au moment où l’archéologie de sauvetage (on ne disait pas encore “préventive”) émerge avec les aménagements urbains et le développement de l’habitat pavillonnaire, dont Aulnat, Levroux, puis Feurs sont de belles illustrations.

Les préoccupations scientifiques concernent les constructions chronologiques, les pratiques de terrain, notamment avec les fouilles en aire ouverte, et les méthodes d’analyse du mobilier.

Le rythme des rencontres est fixé à deux par an, autour d’avril-mai et de novembre-décembre. Les réunions sont pérégrines et durent le temps d’un week-end ; la partie invitante se débrouille pour assurer à moindre frais l’accueil des participants, une visite de site et de musée ou de collection, et pour présenter les découvertes locales, supports des discussions. On ne peut pas réellement, au moins dans les débuts, parler de communications, mais plutôt d’échanges et de débats.

Les réunions de 1978 à Guéret, puis à Périgueux, organisées respectivement par P. Léger et C. Chevillot, font la part belle à la fin de l’âge du Bronze et au Premier âge du Fer. Le principe du dépouillement et de la mise à disposition de la bibliographie locale est approuvé. En 1979, à l’invitation de J.-P. Daugas, la réunion de Clermont-Ferrand est particulièrement riche et variée (monnayage d’or arverne par F. Malacher, présentation des travaux du doctorant M. Feugère), avec en prime un final post-dinatoire épuisant, sous la forme d’un cours d’informatique non-stop par G.-N. Lambert. Hasard amusant (voir ci-après), le colloque de ce qui n’était pas encore l’AFEAF, dans la même ville, l’année suivante, inaugurera la “communication à table”, toute aussi stressante, qui restera heureusement sans suite.

De la réunion tenue à Issoudun sous la houlette de M. Bouyer, il restera surtout dans les mémoires une fameuse bataille dans le dortoir digne des meilleurs potaches.

Cela n’est pas qu’anecdotique. De cette époque, on retiendra les relations simples, amicales et chaleureuses, sans barrière institutionnelle ou hiérarchique, qui ont agrégé l’un des noyaux sur lesquels s’appuieront les fondateurs de l’AFEAF. Cette atmosphère studieuse, mais chahuteuse, sans interdits, sans prétention, marquera en effet la vie des deux associations, et étonnerait sans doute de plus jeunes chercheurs, dans un univers de respectabilité et de sérieux apparents.

À partir de 1980, le cadre s’élargit vers l’est, à Roanne et à Montbrison, où M. Vaginay présente les premières découvertes gauloises de Feurs. Dès lors, le Second âge du Fer prend une place prépondérante dans les réunions. C’est aussi l’occasion d’entrer en contact avec l’oeuvre de Déchelette…que plusieurs d’entre nous retrouveront plus tard avec celle de Bulliot sous d’autres horizons, morvandiaux cette fois.

Levroux accueille la séance d’hiver. Les fouilles des Arènes y sont présentées, et G.-N. Lambert expose le fonctionnement de CENTRAR. Rappelons au passage que CENTRAR fut fort utile aux deux associations qui allaient naître dans l’envoi des courriers et la gestion des adhérents, ce avant l’utilisation des logiciels disponibles sur le marché.

L’AFEAF… avant l’AFEAF (1977-1982)

L’aventure de l’AFEAF commence tout autrement. Un colloque, absolument ponctuel, et qui se voulait unique, se tint à Sens en 1977, organisé dans le fief de P. Parruzot par le trio C. Mordant, H. Carré, A. Duval. Les communications, car ici il s’agissait de véritables communications, se situaient toutes dans le Sénonais historique (Yonne et Seine-et-Marne). Grâce à H. Carré, il y a dès le départ la volonté de publier des Actes. À l’issue du colloque, la plupart des participants décide de se retrouver l’année suivante, mais sans programme bien défini.

A. Duval se retrouve seul en piste à Saint-Quentin en 1978 pour ces retrouvailles. La Picardie était l’une des régions où il paraissait nécessaire d’optimiser des recherches pleines de promesses, aussi bien pour les données issues des photographies aériennes que celles issues des fouilles de la vallée de l’Aisne. Hélas, c’était pêché de jeunesse que de vouloir faire dialoguer des gens qui ne se parlaient pas. Ce deuxième épisode fut un échec cinglant. Contrairement à ce qui vient d’être évoqué pour l’autre groupe, la discussion n’eut à peu près pas lieu, chacun campa sur ses positions, et rien ne fut publié. Il paraissait inévitable d’en rester là.

Toutefois, et contre toute attente, on “remit le couvert” à Châlon-sur-Marne (aujourd’hui “en Champagne”), en 1979. Le colloque fut cette fois bien structuré, organisé entièrement par A. Villes. Il y eut des débats importants autour du “Marnien” qui, encore à cette époque, était une notion prépondérante de la Protohistoire française. Un très gros volume fut publié dès 1981 grâce à A. Bataille.

On notera le circuit restreint nord de l’Yonne /Aisne – Marne, qui contrastait avec les “vastes étendues” parcourues par l’équipe précédente. A. Duval, qui suit le travail de ses collègues réunis autour d’Olivier, comprend alors qu’il y a une “idée”, un filon à exploiter. Il se place dans l’optique d’un colloque annuel (qui prit bientôt place à l’Ascension, afin de bénéficier de quatre jours de travail) traitant aussi complètement que possible d’une région bien définie à l’avance. Première condition: il faut une “victime organisatrice”, une cheville ouvrière à qui on délègue le maximum de pouvoir.

En 1980, ce sera au regretté R. Périchon qu’il est demandé d’organiser le colloque. On s’éloigne du Centre-Est et la Loire est franchie. Le point est fait, non plus sur une question donnée, mais sur une toute une région (le Massif Central) sans exclure les régions voisines. La parole est donnée à tout le monde sans exclusive (noter la bombe que fut, rétrospectivement, l’apport d’un amateur, Christian Aulas, pour l’étude des amphores, dont le travail est toujours fondateur dans la discipline). On débat aussi de sujets brûlants (la “bataille” du potin), et cette idée est reprise nettement des échanges qui avaient lieu autour d’Olivier. Grande nouveauté, en revanche : traiter de thèmes généraux en relation avec la région étudiée lors du colloque, en partant du principe que chaque région peut être emblématique d’une question générale susceptible d’intéresser tous les collègues, y compris au delà des frontières hexagonales. Cependant s’il est vivement souhaité que tous les collègues traitant de l’âge du Fer soient concernés, cet œcuménisme ne va pas jusqu’aux régions méditerranéennes, nos collègues sudistes estimant allègrement pouvoir se passer des barbares nordistes. Enfin, la publication des Actes est jugée indispensable. À ce moment, les solutions régionales ne sont pas toujours simples. À Clermont-Ferrand, sans solution locale, c’est l’anglo-auvergnat J. Collis, futur pilier de l’AFEAF, qui sauve la mise.

En 1981, la victime suivante fut J.-C. Blanchet, cheville ouvrière du colloque de Senlis (retour dans l’aire d’origine). Deux nouvelles idées se firent jour : une, ne pas coller à une circonscription administrative, mais à la réalité archéologique, (cette idée fut celle qui, par la suite, eut le plus de mal à passer), c’est pourquoi le colloque inclut la partie “ belge” de l’Ile-de-France, celle qui n’avait pas été traitée à Sens ; deux, organiser à l’occasion du colloque une exposition sans prétention (à Senlis, elle se tint au musée municipal), afin que les participants puissent voir du mobilier. Pour la première fois, un logement bon marché fut proposé aux étudiants. L’explosion qualitative et quantitative des recherches présentées à Senlis sur l’âge du Fer français justifie la pérennisation des colloques et la nécessité d’une structuration. Il ne fit aucun doute qu’il fallait continuer dans le sens tracé.

Par ailleurs, même si l’aire géographique couvre surtout les départements de l’Oise (rappelons que c’est ce département et le CRAVO qui furent le creuset de l’extraordinaire activité scientifique de la Picardie) et du nord de la ceinture parisienne, l’échec de Saint-Quentin est enfin effacé.

Les débuts de PROLOG et de l’AFEAF

PROLOG naquit le 20 juillet 1981. Au printemps, J. Gomez de Soto accueille le groupe, avec au programme les travaux de J.-P. Raynal et M.-A. Courty sur l’analyse des processus sédimentaires. C’est lors de cette séance qu’il est décidé de créer une association pour formaliser ces rencontres. Il faut lui trouver un nom. Ce sera PROLOG, acronyme de “Protohistoire de la Loire à la Garonne”, qui sonne bien et reflète assez fidèlement l’aire géographique des adhérents. Le conseil d’administration est créé avec une majorité d’étudiants (tout est relatif, car PROLOG, malgré son “rayonnement”, n’a jamais eu plus d’une trentaine d’adhérents !). Son siège social est fixé à Levroux. Un bulletin intérieur annuel est prévu. Les rencontres se formalisent.

En 1982, PROLOG élargit son champ d’action à Alésia, avec J.-P. Guillaumet (et une présentation interminable du rempart d’Étaules par J.-P. Nicolardot), puis à Libourne sous l’égide de R. Boudet. Le bulletin n°2 (et dernier) fait état de cette séance.

L’AFEAF fut lancée à l’ENS, à l’initiative d’A. Duval en 1982. Sont réunis tous ceux qui s’étaient investis dans les colloques précédents, sauf J.-C. Blanchet qui ne s’estime pas spécialiste de l’âge du Fer (seul celui-ci est concerné, contrairement à PROLOG, A. Duval estimant que l’âge du Bronze a, à cette époque, toute sa place à la SPF). Bien des membres de PROLOG sont, dès le départ, partie prenante. Un débat, important, a lieu sur la dénomination de la nouvelle association. L’adjectif “celtique” est récusé, par crainte d’une confusion avec le domaine de l’art celtique, et c’est une appellation strictement archéologique, “Association française pour l’étude de l’âge du Fer”, qui est retenue. Les buts que se fixe la nouvelle association sont les suivants :

– formaliser ce qui avait été acquis ;

– traiter à terme, par colloques successifs, de toute la France “non méditerranéenne” ;

– développer les collaborations internationales, à partir des thématiques françaises (début d’une collaboration avec le CNRS pour l’invitation de collègues étrangers, notamment ceux “d’au-delà le rideau de fer”) ;

– donner une image de marque à l’âge du Fer français. J.-P. Millotte accepte de prendre la présidence, avec enthousiasme, et fait venir tout le groupe comtois, autre “nid” de protohistoriens, avec une ouverture vers le Premier âge du Fer, un peu délaissé jusque-là (A. Duval restant sournoisement aux commandes). Cette formalisation donne une totale légitimité à publier (même si ce fut encore un combat difficile pendant toutes les années suivantes) ;

– respecter les équilibres entre tous les tenants de l’archéologie de l ‘âge du Fer : enseignants, chercheurs, bénévoles, mais aussi étudiants. L’AFEAF, tout comme PROLOG, était novatrice dans ce domaine !

En 1982, le Colloque de l’AFEAF fut transfrontalier puisqu’il eut lieu en concomitance à Bavay en France et à Mons en Belgique ; la cheville ouvrière en fut Anne Cahen-Delhaye, assistée de P. Leman (thème régional : Nord de la France et Belgique). Le thème spécialisé faisait la part belle, comme aurait dit Millotte, aux fortifications (on était alors en plein débat sur les oppida). Huit nationalités s’expriment, malgré l’absence de l’invité P. Drda, coincé en Tchécoslovaquie, sans doute à l’initiative d’un mandarin également apparatchik. Une excursion prend place dans le colloque (encore une fois à l’image de PROLOG). La publication sort dans la Revue du Nord.

L’AFEAF étant officiellement créée en 1983, Rully marque le début du rythme de croisière. Là encore, l’organisation est locale, et repose sur les épaules de J.-P. Guillaumet, mais le rôle de L. Bonnamour est essentiel. Ce dernier, responsable de la section archéologique du musée Denon, de Chalons-sur-Saône, obtient de la ville une prise en charge “lourde”, qui permet que le colloque, le logement, et l’exposition prennent place dans un endroit unique, le château de Rully. Cette formule restera longtemps un idéal, dont on n’a pas toujours pu s’approcher. L’exposition est soignée, et est accompagnée d’un catalogue qui fit référence. Le thème spécialisé, consacré à la paléométallurgie du bronze, était cher à J.-P. Guillaumet. Le même dirigea une excursion sur le Mont Beuvray, … préfiguration de la reprise des fouilles. L’AFEAF était devenue un outil dynamique de la recherche, et en quelque sorte reprenait les objectifs scientifiques de PROLOG. Ajoutons les discussions animées (voire avinées) du “off”, qui amenèrent vite les membres de la communauté scientifique à “se donner rendez-vous au prochain Colloque de l’AFEAF”. On rajouta le bien vivre aux objectifs du colloque (Bourgogne oblige). Quelques sudistes pointèrent le bout de leur nez (le thème régional sur la vallée de la Saône pouvait les titiller). On continua d’investir les revues régionales avec la RAE.

Cette même année 1983 marque aussi les débuts des “réunions d’information” tenues en janvier (date suffisamment éloignée du colloque, mais encore assez proche des fouilles d’été). Le président Millotte et A. Duval ont souhaité qu’une priorité soit accordée à nos jeunes collègues, y compris dans la présentation de travaux universitaires, dans une atmosphère plus accessible que celle des colloques…. Cette initiative rencontra un réel succès, et pour nos jeunes collègues, la réunion de janvier est souvent le premier galop d’essai en public. Le vice-président J.-L. Flouest proposa de sortir un résumé de ces publications, sous la forme d’un bulletin intérieur (ce qui voulait dire “réservé aux adhérents”), dont les premiers numéros furent ronéotés !

Où PROLOG et l’AFEAF se confondent

Si les colloques “d’avant” l’AFEAF n’ont jamais créé d’interférence avec PROLOG, en revanche, en instituant une journée d’actualité en hiver avec un bulletin intérieur, la création officielle de l’AFEAF a laminé le fonctionnement de PROLOG en absorbant une bonne partie de ses activités (la séance d’hiver en particulier) et de ses adhérents. Il devient bien difficile de mobiliser les adhérents de PROLOG, qui sont aussi à l’AFEAF, quatre fois par an !

En 1984, a lieu le colloque AFEAF d’Angoulême à l’initiative de J. Gomez de Soto, dans les pas de PROLOG. À côté du thème régional consacré au Sud-Ouest et du thème spécialisé consacré à l’armement (y compris, bien sûr, les casques), l’AFEAF traite de méthodes de recherche, et commence à réfléchir aux propres fondements de sa discipline.

En 1985, le colloque, qui a failli se tenir à Chartres, est sauvé in extremis et se tient finalement à Châteaudun. Les chevilles ouvrières de PROLOG, à commencer par O. Buchsenschutz, sont au premier rang des responsables à travers le thème spécialisé, celui des viereckschanzen, (thème qu’Olivier publiera), mais aussi dans l’animation du colloque, dont la convivialité est rehaussée par la mise en scène d’une pièce de théâtre longuement travaillée et représentée avec des costumes raffinés.

PROLOG poursuit son activité jusqu’en cette année 1985. Des séances ont lieu à Saint-Amand-Montrond, Guéret, Moulins-sur-Allier, Angers. Les participants changent, assistant aux réunions organisées chez eux, mais ne suivant pas les autres, et ne ressentant pas le besoin d’adhérer à une association. Les adhérents, eux, glissent vers l’AFEAF, délaissant progressivement PROLOG.

Les conditions de la recherche archéologique ont bien changé depuis 1977, celle-ci commence d’être mieux encadrée, et les chercheurs regroupés dans des laboratoires. Les fouilles sur le Mont Beuvray offrent une vitrine à la discipline et la professionnalisation “âge du Fer” est en marche. Les meilleurs des bénévoles participent à un travail de toujours meilleure qualité. Les colloques de l’AFEAF contribuent largement à fédérer les chercheurs venus d’horizons divers.
L’AFEAF paraît plus attractive. À l’image de son initiateur, O. Buchsenschutz, PROLOG s’efface avec discrétion. Dès lors l’AFEAF devient très largement l’héritière de PROLOG.

Un grand merci à tous, qui furent de PROLOG, et en particulier à Marie-Jeanne, Joël et José qui ont fait appel à leur prodigieuse mémoire et à leurs petites notes griffonnées pour contribuer à écrire l’histoire d’une modeste association sans histoire.

Bibliographie concernant l’AFEAF

  • Duval, A. (2009) : “Jacques-Pierre Millotte, acteur et témoin des grandes mutations intervenues dans les études sur l’âge du fer en France à la fin du XXe siècle”, in : Richard et al., dir. 2009, 31-34.
  • Malrain, F., M.Saurel, M.-J. Lambert, P. Barral, J.-L. Flouest et B. Behague (2006) : AFEAF, 30 ans de rencontres et de recherches, bulletin édité à l’occasion du trentième anniversaire de l’AFEAF, Paris.
  • Richard, A., P. Barral, A. Daubigney, G. Kaenel, C. Mordant et J.-F. Piningre, dir. (2009) : L’isthme européen Rhin- Saône- Rhône dans la Protohistoire. Approches nouvelles en hommage à Jacques- pierre Millotte, Actes du colloque de Besançon, 16-18 octobre 2006, Besançon.
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Chapitre de livre
EAN html : 9782356134929
ISBN html : 978-2-35613-492-9
ISBN pdf : 978-2-35613-493-6
ISSN : 2827-1912
Posté le 08/05/2024
Publié initialement le 01/02/2013
4 p.
Code CLIL : 4117 ; 3385
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Licence ouverte Etalab

Comment citer

Duval, Alain, Soyer, Claire, “PROLOG et AFEAF, destins croisés”, in : Krausz, Sophie, Colin, Anne, Gruel, Katherine, Ralston, Ian, Dechezleprêtre, Thierry, dir., L’âge du Fer en Europe. Mélanges offerts à Olivier Buchsenschutz, Pessac, Ausonius éditions, collection B@sic 1, 2024, 69-73, [en ligne] https://una-editions.fr/prolog-et-afeaf-destins-croises [consulté le 08/05/2024].
doi.org/10.46608/basic1.9782356134929.9
Illustration de couverture • D'après la couverture originale de l'ouvrage édité dans la collection Mémoires aux éditions Ausonius (murus gallicus, Bibracte ; mise en lumière SVG).
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