Cette étude est le fruit de longues années de recherche dont la réalisation n’aurait pu se faire sans le concours de nombreuses personnes.
Tout d’abord, il m’est agréable de remercier Francis Tassaux, professeur à l’université de Bordeaux Montaigne et Anne Colin, maître de conférences à l’université de Bordeaux Montaigne, qui ont accepté d’encadrer mes recherches tout en m’apportant de nombreux conseils avisés tout au long de mon travail. Mes remerciements vont ensuite à Réjane Roure, Maria-Luisa Cerdeño et Pierre-Yves Milcent, membres de jury de thèses, pour leurs conseils et leur relecture critique.
Mes travaux n’auraient pu aboutir sans l’accueil chaleureux des divers conservateurs de musées, tant français qu’espagnols, qui m’ont ouvert les portes de leur collection avec enthousiasme et curiosité. J’exprime aussi toute ma gratitude envers les divers agents SRA qui m’ont permis d’accéder à des publications au tirage confidentiel et de grandement enrichir mon corpus grâce à leur connaissance pointue de leur documentation régionale. Par ailleurs, cette thèse n’aurait pu être complète sans le soutien de la Casa de Velázquez qui m’a accordé une bourse d’étude. Les informations collectées dans les sous-sols de sa bibliothèque et plus largement au cours de mon séjour en péninsule Ibérique m’ont été d’une aide précieuse.
Au cours de mes pérégrinations, j’ai eu la chance de rencontrer des chercheurs/collègues qui ont su m’apporter leur assistance ou m’aiguiller vers de nouvelles pistes de recherche. Je tiens donc à remercier : Marta Chordá, Christophe Maitay, Stéphanie Adroit, Eneko Hiriart, Julia Genechesi, Sylvie Barrier, Guillaume Verrier, José Gomez de Soto. De plus, ce travail ne serait pas le même sans mes échanges continus avec Antoine Dumas et, dans les derniers mois, avec Matthieu Demierre. Nos conversations, parfois jusqu’à des heures déraisonnables, sur des points tant théoriques que méthodologiques, auront durablement modifié mon approche scientifique. Je leur voue donc une reconnaissance particulière et j’espère qu’ils trouveront dans mes résultats l’empreinte de leurs réflexions.
Ces années de labeur n’auraient pas été soutenables sans la compagnie et les encouragements répétés de mes amis. Je tiens donc à remercier (dans le désordre) : Pierre Beyney, Pierrick Ledireach, Emilie Portier, Tom Corbal, Robin Malagié, Arnaud Girault, Sandro Bolliger, Hugo Amoroso, Coralie Pasquier, Sylvain Foucras, Sandra Chabert, Dorian Pasquier, David Geoffroy, Romain Valette, Florian Gonzalez, Alexandre Bertaud, Jérôme Bourquin, Sylvain Michel, Julie Debard, Kevin Breuil et Skip James.
Je n’omettrai pas de remercier chaleureusement ma famille qui m’a toujours encouragé et soutenu. Cette thèse doit aussi beaucoup à Catherine Oesterlé qui a patiemment et minutieusement relu chacune des lignes qui composent ce travail.
Enfin, je ne saurai remercier suffisamment Sandrine Oesterlé pour son soutien indéfectible, pour avoir supporté mes doutes plus que de raison, pour sa patience infinie et pour la confiance qu’elle a su m’insuffler au cours de ces longues années.