UN@ est une plateforme d'édition de livres numériques pour les presses universitaires de Nouvelle-Aquitaine

Richesses archéologiques du Bazadais
(11e partie)

Paru dans : Les Cahiers du Bazadais, 14, 1968, 1-10.

Canton de Bazas (suite)

Bazas (fin)

Protohistoire, Époque Gallo-Romaine, Époque Mérovingienne (fin)

II.       VESTIGES ARCHÉOLOGIQUES
f.) Découvertes sur le territoire de la commune actuelle de Bazas, secteur campagne
Saint-Vivien : poteries (Plan cad. section AH n° 76, 77)

Au cours de travaux effectués il y a quelques années au lieu-dit Saint-Vivien, à l’ouest de la ville, lors du captage d’une source, les terrassiers découvrirent plusieurs fragments de poterie. Il s’agit d’une anse, de deux fragments de col, d’un pied, d’un versoir en forme de bec de pégaud et d’une brique qui pourraient bien être d’époque mérovingienne. Ils sont actuellement conservés à la mairie de Bazas.

Le Petit-Roc (Plan cad. section AH n° 72)

À proximité de Saint-Vivien, au lieu-dit Le Petit-Roc, plusieurs découvertes auraient été faites il y a une dizaine d’années, lors de l’extraction de pierres d’une carrière située au-dessous d’une sorte de petit éperon sur lequel aurait été naguère étudiée une chapelle dédiée à sainte Madeleine. Il s’agirait de monnaies romaines et de sarcophages en terre cuite (?) dont un aurait contenu deux corps. Il ne reste, bien sûr, absolument rien de ces vestiges.

Renseignements inédits fournis par M. le Dr P. Soubiran.

Bagatelle : sarcophage

C’est à M. le Dr Soubiran que nous devons la révélation de l’existence de ce sarcophage. Il se trouvait naguère dans la cour de sa propriété de Bagatelle située à mi-côte de la Magine, sur le bord de la RN n° 132, en direction de Baulac. M. Soubiran vient de le faire transporter dans la propriété de Garouère située de l’autre côté de la route. Creusé dans du marbre blanc veiné de noir, il est de forme rectangulaire et mesure extérieurement 2,23 m de long pour une largeur de 0,735 m à une extrémité et de 0,760 m à l’autre (fig. 1). La hauteur moyenne est de 0,450 m et la profondeur de 0,395 m. Les largeurs intérieures sont respectivement de 0,550 m et de 0,57 m, la plus grande largeur à l’intérieur correspondant à la plus petite à l’extérieur. L’épaisseur des parois varie de 0,10 m aux extrémités à 0,09 m pour les parois longitudinales. Il est intéressant de noter, d’autre part, qu’en élévation une des extrémités manque nettement d’aplomb, ce qui donne au sarcophage une allure évasée vers le haut. Le décor, tel que nous l’avons reconstitué d’après les deux faces qui étaient visibles à l’origine (les deux autres étant plaquées contre un mur et une porcherie), comprend seulement quatre colonnes dégagées aux quatre angles de la cuve. Légèrement galbées, elles reposent sur une base constituée de deux tores identiques et sont surmontées par un chapiteau. Chacun de ces chapiteaux comporte un tore puis une corbeille décorée de trois volutes très stylisées, supportant un tailloir rectangulaire. Celui-ci correspond d’ailleurs à l’angle supérieur de la cuve.

C’est un exemplaire inédit de la série des sarcophages d’Aquitaine, dont la date devra être précisée, mais qui, selon toute vraisemblance, remonte au VIe ou au VIIe siècle.

Fig. 1. Le sarcophage de Bagatelle (photo CRDP).
Saint-Hippolyte

Saint-Hippolyte est une ancienne paroisse située au nord-est de la commune de Bazas, dont il ne reste plus aucune trace de l’église, ni du cimetière (Plan cad. section B 1 n° 110 à 113). Nous n’avons pu encore préciser l’emplacement exact de cet ensemble, mais nous espérons bien y parvenir car le site mériterait certainement un examen détaillé1. Si l’on s’en tient aux déclarations du chanoine G. Dupuy, il paraît en effet certain qu’on se trouve là sur le site d’une villa gallo-romaine. Voici en effet ce que déclare le chroniqueur : “… similes ruinae in parrochia Sancti Hippoliti ex quibus eruta pavimenta tessellata et eductae columnae marmoreae quae in cemeterio ejusdem aedis sacrae ereptae, unde non fuisse suspicor templum aliguod vetus. Ad haec nostra tempestate effossa sunt quaedam sepulchra marmorea gemina non nulla ex illis ut uxor una cum marito includeretur, in quibus inerat vetus moneta”, “…des ruines semblables dans la paroisse Saint-Hippolyte. On a retiré du cimetière de cette église, où se trouvait sans aucun doute un temple antique, des pavements en mosaïque et des colonnes en marbre. De nos jours, on a découvert des sarcophages en marbre dont certains, jumeaux, qui renfermaient le corps du mari et de son épouse et dans lesquels étaient contenues des monnaies anciennes”. L’abbé P. J. O’Reilly, qui signale les mosaïques et les sarcophages, a cru bon par contre de couronner les colonnes de “chapiteaux habilement sculptés des ordres corinthiens et ioniques” ! L’imagination de l’abbé O’Reilly est tout simplement prodigieuse et nous pensons que les nombreuses rectifications que nous avons apportées dans cet article à ses assertions serviront désormais de mise en garde à ses éventuels lecteurs. Il ne reste, bien sûr, rien des mosaïques et des colonnes signalées par Géraud Dupuy, rien non plus des monnaies et des fondations dont il parle ailleurs dans son Introduction : “fundamenta murorum… in parrochia de Casseuil ubi saepius reperta vetus moneta ; item in parrochiis Sancti Hipoliti urbi Vazati vicinis”. Le Dr P. Soubiran se souvient de son côté avoir aperçu un évier en marbre dans une maison des environs, et il se pourrait bien que nous soyons là en présence d’un matériau de récupération. Nous espérons bien un jour pouvoir reprendre cette question et y apporter quelque lumière.

G. Dupuy : In Chronicon Vazatense Praefatio, dans A. H. G., t. XV, p. 6 et 13.
P. J. O’Reilly : Essai sur l’arrondissement de Bazas…, p. 26.
J. R. d’Anglade : Aperçu sur l’histoire de Bazas, p. 5, note 1.

Tontoulon : fût de colonne

Selon E. Féret qui est, à notre connaissance, le seul auteur à rapporter ce fait, on aurait découvert en 1815, à Tontoulon2, un fût de colonne en marbre qui, après avoir servi de borne, aurait été transporté vers 1835 dans la salle du conseil municipal de Bazas. Il existe effectivement encore dans cette salle non pas un mais deux fragments de colonne, dont l’origine gallo-romaine est probable, mais nous ignorons lequel des deux est celui dont parle E. Féret. Quant à la provenance du second fût, force nous est d’avouer notre ignorance ; il n’est cependant pas interdit de penser qu’il puisse venir de Saint-Hippolyte. L’un est en marbre vert, haut de 0,83 m pour un diamètre de 0,25 m ; l’autre est en marbre rose, haut de 0,806 m pour un diamètre de 0,225 m.

E. Féret : Essai sur l’arrondissement de Bazas…, 1893, p. 7.

Haut Moyen Âge

Les mottes de Tontoulon

C’est E. Guillon qui le premier, en 1866, a révélé l’existence à Tontoulon de deux mottes de terre qui, jusqu’ici, ont fort peu attiré l’attention des archéologues. Le lieu-dit Tontoulon se trouve situé à l’ouest de la ville de Bazas, non loin du chemin départemental n° 11, allant de Bazas à Villandraut. Le meilleur moyen d’y accéder est d’utiliser le chemin de terre qui, de cette route, conduit à la ferme de Capitaine. Le site de Tontoulon est constitué par un vallon sensiblement orienté est-ouest, au fond duquel coule un ruisseau affluent de celui de Marquette, qui se dirige, de son côté, vers le nord, en direction du Brion. Le versant orienté vers le sud est actuellement recouvert de prairies, celui tourné vers le nord, de feuillus. C’est en bordure de ce ruisseau, à une distance de 350 m l’une de l’autre environ, que se trouvent les deux mottes signalées par E. Guillon. On accède très facilement à la première depuis la ferme de Capitaine, d’où elle est parfaitement visible, mais pour la seconde (Le Castet), il est préférable de s’y rendre par le V.O. n° 60, puis par un chemin de terre qui prend face à un transformateur électrique et se dirige vers le nord : Le Castet se trouve à l’angle est formé par ce chemin et le ruisseau affluent de celui de Marquette. Il nous a paru utile de reproduire la description de cet ensemble, faite par E. Guillon, ne serait-ce que pour rendre hommage à cet auteur :

“La section de Tontolon, située à l’ouest de Bazas, était autrefois une petite paroisse qui avait son église et qui devait son nom à ses seigneurs, lesquels possédaient à peu près tout son territoire et y avaient élevé deux forteresses de temps immémorial. Ces deux fertés, situées à peu de distance l’une de l’autre, s’appellent les Tombelles et Lou Castet.

Les Tombelles, situées tout à côté du château actuel de Tontolon, sont deux mottes circulaires d’inégale grandeur, placées de l’est à l’ouest sur un terrain en pente, séparées par une tranchée et reliées par le même système de défense, qui était un fossé, dont on retrouve des traces dans la partie orientale.

Les deux mottes, que l’on prend dans le pays pour des tumulus, offrent tous les caractères des anciens châteaux normands ; leur sommet est arrondi, et sur celui de la plus grande est un petit taillis de forme ronde qui semble avoir remplacé une tour ; le reste de la butte est converti en prairies. La motte de l’ouest est plus petite et plus basse ; c’était comme un ouvrage avancé.

Il n’est resté aucune tradition sur ce monument du moyen âge ; peut-être fut-il le premier asile ou le premier repaire des seigneurs de Tontolon, et s’il était permis de raisonner d’après ces conjectures, on pourrait dire que ne trouvant pas cette position assez forte, ils firent construire le Grand Douk, que les paysans de la contrée appellent encore Lou Castet.

Lou Castet est situé à 500 mètres environ à l’est des Tombelles, sur un terrain en pente que longe un petit ruisseau ; c’est un des plus grands du département de la Gironde, et il n’a pas moins de trois cents mètres de circonférence à sa base, qui était entourée de larges fossés dont les tracés sont encore bien visibles ; il forme un cône parfait dont la surface plane s’élève de 6 à 10 mètres au-dessus du sol accidenté qui l’entoure ; et du côté de l’est, il existe un passage où était probablement l’entrée du Castet.

Il n’est pas très endommagé et s’élève au milieu des bois comme un monument funéraire ; le propriétaire persiste à croire que c’est un tumulus ; cependant, l’inspection des lieux, la trace des fossés de 10 à 12 mètres de largeur, le nom que la tradition donne et la certitude de l’existence dans le pays d’une famille seigneuriale remontant au moins au XIe siècle font croire que c’est sur cette motte gigantesque, aujourd’hui couverte de charmes, de pins gemmiers et de fougères, que dut s’élever le vieux château de Tontolon”.

Le seul auteur qui, à notre connaissance, ait repris les descriptions de E. Guillon est E. Féret, mais il existe suffisamment de différences entre leurs textes pour que nous nous soyons crus tenus de reproduire aussi la notice de E. Féret :

“Les Devises : Monticules artificiels situés aux environs de la ville et dont la destination est inconnue ; l’un d’eux est encore très visible au sud de Tontoulon, à l’ouest de la ville. Le nom de ces monticules n’indiquerait-il pas leur destination ? Dans plusieurs contrées ces petites mottes ont servi à diviser les territoires de tribus.

Les Tombelles : Mottes circulaires d’inégales dimensions, situées près de Tontoulon.

Le Castet : Butte ou motte appelée aussi le Grand Douk, située à l’ouest de la ville, a disparu. Sur cette motte s’élevait, pense-t-on, le château de Tontoulon. C’était une des plus grandes de la Gironde ; on a trouvé des traces de ses fossés ayant 10 à 12 m de large ; elle avait à sa base 300 m de circonférence et formait un cône parfait d’environ huit mètres de hauteur”.

Notons tout d’abord qu’E. Féret mentionne parfaitement Les Tombelles et Le Castet, qu’il croyait disparu, ce qui est tout à fait faux. Par contre, nous ne sommes pas encore parvenus à identifier Les Devises. S’agit-il de tumuli ? de mottes ? ou bien y a-t-il eu confusion dans l’esprit de E. Féret entre Les Tombelles et ce qu’il appelle Les Devises, car il semble bien que cet auteur n’a pas pris la peine de se rendre, sinon rapidement, sur le site de Tontoulon ?

Les Tombelles (fig. 2) – (Voir plan)

Nous conserverons à cet ensemble le nom que lui avait donné E. Guillon, bien que de nos jours il ne reste plus trace de la motte de l’ouest. Actuellement, on ne distingue plus en effet, dans la prairie qui se trouve au sud de la ferme de Capitaine, qu’une seule motte (Plan cad. sect. A 3 n° 138). Le site sur lequel a été élevée la motte est constitué par une sorte de petit promontoire, adossé à l’est à un vaste versant en pente douce, limité au sud par l’affluent du ruisseau de Marquette, à l’ouest par ce ruisseau et au nord par l’émissaire d’une abondante fontaine. La motte, de forme tronconique, très évasée, a un diamètre approximatif de 50 m pour une circonférence d’environ 130 m. À la périphérie, on distingue encore l’emplacement des anciens fossés, surtout accusés du côté de l’est, ce qui est normal car c’est à cet endroit que la motte se rattachait au versant. L’ensemble est recouvert d’un taillis de feuillus. Au sommet, haut d’environ 8 m, on a fait, à une époque indéterminée, une fouille dont nous ignorons les raisons. S’agissait-il de la recherche d’un hypothétique trésor, comme cela est fréquent en Bazadais, ou bien a-t-on voulu enlever la pierre des fondations de la tour qui s’élevait au sommet de la motte ? Nous l’ignorons, mais ces travaux ont précisément permis le dégagement des fondations d’une tour circulaire dont on a malheureusement enlevé la plus grande partie. La portion qui demeure est large d’environ 1,15 m et bâtie en moellons sans parement. D’après la courbure, on peut déduire que la tour avait approximativement 5 à 6 m de diamètre intérieur. Il serait infiniment souhaitable que cette fouille soit reprise car elle permettrait de savoir s’il reste encore en profondeur un ensemble complet de fondations. Peut-être relèverait-on aussi d’autres bases de murs.

Fig. 2. “Les Tombelles” de Tontoulon. Vue prise en direction du nord-est (photo CRDP).

La disparition de la motte de l’ouest s’explique assez facilement. De toute évidence, on l’a aplanie depuis 1866, les matériaux servant à combler le fossé qui la séparait de la motte principale. On distingue d’ailleurs, vers l’ouest, à la surface de la prairie, de légers vallonnements dont l’origine paraît bien artificielle.

Le Castet ou le Grand Douk (Voir plan)

C’est sur la rive gauche d’un petit ruisseau affluent de celui de Marquette que se trouve, entièrement recouvert par une abondante forêt de feuillus en taillis sous futaie, le castet de Tontoulon.

On distingue en partie ses contours sur le plan cadastral, puisqu’ils servent de limite à une parcelle (Plan cad. section A 3 n° 174). On en déduit ainsi une circonférence d’environ 300 m car la butte n’est pas parfaitement circulaire (200 m x 125 m). Bien que nous nous soyons rendus à plusieurs reprises sur le site, l’abondance de la végétation en été, la boue qui emplit les anciens fossés l’hiver, rendent difficile une étude de détail que nous n’avons encore pu mener à bien. Mais la largeur des fossés suggérée par E. Guillon, de même que la hauteur de l’ensemble (6 à 10 m) ne semblent pas exagérées. Il y a là certainement une des plus belles mottes de la région.

M. L. Cadis nous a signalé face aux Tombelles et sur le même versant que Le Castet, la présence, dans un bois, d’un fortin entouré de fossés que nous n’avons su retrouver. Nous avons seulement noté l’existence de profondes excavations qui paraissent être des trous de carriers. Si l’on retient les déclarations de E. Féret, relatives aux Devises, on constatera que les environs de Tontoulon méritent une prospection systématique.

Soulignons enfin la présence de fontaines dans la prairie située au sud du château de Tontoulon, en plus de celles qui se trouvent près des Tombelles. Sans doute y en a-t-il d’autres près du Castet. Elles constituent, avec les mottes, un complexe d’habitat dont il serait passionnant d’établir la chronologie car la seigneurie de Tontoulon, lorsqu’elle apparaît dans les textes, au XIIIe siècle, est une des plus importantes du Bazadais.

E. Guillon : Les châteaux historiques de la Gironde…, 1866, t. l, p. 376-377.
E. Féret : Essai sur l’arrondissement de Bazas…, 1893, p. 8.

Plan cadastral.
Saint-Vivien : trésor

C’est lors des travaux de captage d’une source à cet endroit que des ouvriers dégagèrent, sous les éboulis d’une ancienne carrière, le pavement d’une pièce constitué de carreaux en terre. Au-dessous, ils découvrirent, enfermé dans un sachet de toile, un trésor enfoui dans des circonstances bien difficiles à préciser. Ce trésor comprenait, outre un dé à coudre, des deniers et des oboles en argent, qui sont actuellement conservés à la mairie de Bazas. Il reste 31 pièces de un denier et 88 oboles. Tous sont au même type :

Au droit :CENTULLO COM. Croix
Entre deux grenetis
Croix
Au revers :ONOR FORCAS
PA+ dans le champ en triangle
Fig. 3. Denier de Morlaas.

Il s’agit de deniers et d’oboles frappés à Morlaas (B.-Pyr.). On estime que les premières pièces frappées à ce type le furent sous le règne de Centulle IV († 1088), comte de Bigorre et d’Oloron et vicomte de Béarn. La frappe des Centulle dura jusqu’au XVe siècle bien que Centulle V, le dernier à porter ce nom, soit mort en 1134.

Renseignements inédits fournis par M. G. Bonnac, secrétaire général de la Mairie de Bazas.
A. Dieudonné : Manuel de numismatique française, t. IV, 1936, p. 90.

Notes

  1. Il existe aux Archives départementales de la Gironde, série Q, une description sommaire de l’église de Saint-Hippolyte faite à l’occasion de sa vente comme bien national. Le cimetière et le terrain de l’église d’une part, les matériaux de l’église d’autre part, furent vendus respectivement pour 1725 et 1925 livres le 9 pluviôse an III, au citoyen Espaignet (Cf. M. Marion et J. Benzacar : Documents relatifs à la vente des biens nationaux, Bordeaux, 1912, t. II, p. 11).
  2. Voir la rubrique suivante. Il existait à Tontoulon une chapelle qui, comme celle de Saint-Hippolyte, ne survécut pas, semble-t-il, à la période révolutionnaire.
Rechercher
Pessac
Chapitre de livre
EAN html : 9782356136572
ISBN html : 978-2-35613-657-2
ISBN pdf : 978-2-35613-658-9
Volume : 4
ISSN : 2827-1912
Posté le 15/11/2025
7 p.
Code CLIL : 3385
licence CC by SA
Licence ouverte Etalab

Comment citer

Marquette, Jean Bernard, “Richesses archéologiques du Bazadais (11e partie)”, in : Boutoulle, F., Tanneur, A., Vincent Guionneau, S., coord., Jean Bernard Marquette : historien de la Haute Lande, vol. 2, Pessac, Ausonius éditions, collection B@sic 4, 2025, 1129-1136. [URL] https://una-editions.fr/richesses-archeologiques-du-bazadais-11
Illustration de couverture • D’après Villandraut : ruine de la tour située à l’angle sud-est de l’ancienne collégiale (dessin, 1re moitié du XIXe siècle. Arch. dép. Gironde 162 T 4).
Retour en haut