Paru dans : Larrieu, B., dir., Léo Drouyn et le Bazadais méridional,
Les albums de dessin, vol. 6, 2000, 7-14.
Comme en témoignent les trois tomes parus des Variétés girondines et l’album consacré à La Réole et à la vallée du Drot, la partie septentrionale de l’ancien diocèse de Bazas occupe une place privilégiée dans l’œuvre de Léo Drouyn. On ne saurait en dire autant de celle située au sud de la Garonne, le pays mêlé et les petites landes. Mais le Cernès voisin, le pays des graves et des landes du Bordelais, mis à part quelques sites exceptionnels, comme celui de Villandraut, n’a que modestement retenu son attention.
La partie septentrionale de l’ancien diocèse de Bazas s’étendait des rives de la Dordogne, de Pessac à Branne, à celles de la Garonne, de Sainte-Bazeille à Saint-Pierre d’Aurillac. La partie méridionale s’appuyait à la rive gauche du fleuve, de Gaujac à Langon. Jusqu’à Casteljaloux, le cours de l’Avance le séparait du diocèse d’Agen. Franchissant le Ciron à Lartigue, la limite diocésaine contournait les paroisses de Maillas, Luxey et Callen, aujourd’hui landaises, puis traversait une seconde fois la rivière entre Uzeste et Villandraut pour rejoindre Langon par Roaillan.
Léo Drouyn ne s’est intéressé qu’à la partie du diocèse rattachée au département de la Gironde, un ensemble de 63 communes correspondant aux cantons d’Auros, Bazas, Captieux, Grignols, à six communes du canton de La Réole, huit de celui de Langon et six de celui de Villandraut. De 1844 à 1869, période au cours de laquelle il parcourut cette partie du Bazadais, huit communes seulement échappèrent à ses investigations, deux aux portes de Langon sur la terrasse de la Garonne – Saint-Pardon et Saint-Pierre-de-Mons –, deux autres – Gajac et Gans –, proches de Bazas, Cauvignac et Labescau dans le canton de Grignols, et Giscos et Lartigue dans celui de Captieux. Si dans les trois dernières, aucun édifice n’était susceptible de retenir son attention, en revanche les églises de Saint-Pardon, Saint-Pierre-de-Mons, Gajac, Gans et Cauvignac méritaient une halte.
La première visite connue de Léo Drouyn en Bazadais est celle qu’il fit le 23 octobre 1844 à Roquetaillade, un site qu’il eut l’occasion de revoir à plusieurs reprises ; la dernière dont nous ayons conservé un souvenir eut lieu en 1886 au collège diocésain de Bazas où son petit-fils était alors élève. En fait, Léo Drouyn ne s’est intéressé au Bazadais qu’au cours de deux périodes. La première correspond aux années 1844-1849, lorsque, de retour de Paris, il commence à dessiner et à graver des planches destinées à illustrer des travaux d’historiens ou d’archéologues. La plus ancienne gravure consacrée au Bazadais est une lithographie représentant la façade occidentale de la cathédrale de Bazas, publiée en 1844 dans Histoire Nationale des Départements de France – La Gironde de A. Ducourneau. Léo Drouyn ne retient alors que quatre sites : Roquetaillade, Bazas, Uzeste et Aillas. Des trois premiers il tire en 1845 quatre gravures destinées aux deux tomes des Choix des types les plus remarquables de l’architecture du Moyen Âge dans le département de la Gironde, dont le commentaire est assuré par Léonce de Lamothe. L’année suivante paraît dans le Bulletin monumental, sous la plume de Charles des Moulins, un article qui fera longtemps autorité, Quelques faits à ajouter à la description monumentale de la ville de Bazas, accompagné de douze dessins – des planches gravées – par M. Léo Drouyn. Celui-ci revient à deux reprises à Roquetaillade en 1845 et 1849 mais, mis à part une brève incursion à Fontet en juin 1850, il faudra attendre encore six ans avant qu’il ne parte de nouveau à la découverte du Bazadais.
Celle-ci débute au printemps 1856 par la visite de sites de la vallée du Ciron, Préchac, Pompéjac, Uzeste puis, celles de Roaillan et de Bazas. Après un intermède de trois ans, les excursions reprennent de 1859 à 1862 : en 1859, deux visites successives à Roquetaillade ; l’année suivante une première excursion dans la vallée de la Bassanne et à Saint-Michel-de-Castelnau sur le Ciron ; en 1861, c’est la poursuite de l’étude des monuments de la vallée de la Bassanne, cette fois-ci à Savignac et Pondaurat ; l’année suivante, les déplacements se multiplient, dans la vallée du Brion, à Roquetaillade, puis à Langon, à Bazas et dans la vallée du Beuve, dans le canton de Grignols, une dernière fois à Aillas et Pondaurat. C’est au cours de cette période que Léo Drouyn réunit les matériaux destinés à La Guienne militaire : dans la vallée de la Bassanne, la motte et le château d’Aillas, la commanderie de Pondaurat, la motte, le château et la maison de Bonnegarde à Savignac, le moulin de Piis ; les sites castraux de Sauviac, les Casterassses et la maison forte de Sauros à Birac ; Castelnau-de-Mesmes, Cazeneuve, Le Battant, La Trave et La Travette sur le Ciron ; le site de Roquetaillade sur les bords du Brion, sans oublier, bien sûr, les deux villes de Bazas et Langon. Pour autant Léo Drouyn ne négligeait pas les édifices religieux, visitant au cours de cette période pas moins de vingt-six églises ou chapelles.
Au cours des trois années suivantes il ne revient plus en Bazadais et, lorsqu’il reprend ses visites de 1866 à 1869, c’est manifestement afin de “combler” les vides de ses Notes qui concernent trois secteurs du Bazadais : la terrasse et la basse vallée de la Garonne de Hure et Floudès en amont jusqu’à Castets-en-Dorthe en aval, en passant par Blaignac, Puybarban, Castillon-de-Castets ; le haut bassin du Beuve autour de Bazas : Le Nizan, Aubiac, Lignan, Marimbault, Cazats, Coimères, Brouqueyran ; enfin, les petites landes de Bernos, Lucmau, Captieux, Escaudes et Lerm. La dernière visite mentionnée dans ses Notes est celle qu’il fit le 2 juin 1869 à la petite église de Thil et à celle voisine de Masseilles. Plus de trente églises ont fait cette fois-ci l’objet d’une notice à côté de dix maisons fortes ou résidences et de trois sites de mottes. Mais cette période diffère largement de la précédente par la part modeste qu’occupent les dessins : il ne s’agit que de plans sommaires ou de détails accompagnant les notes. Une seule exception, l’église de Bieujac.
Ces visites se déroulent de préférence au cours de la belle saison, au printemps surtout, d’avril à juin ou bien à la fin de l’été, de fin septembre à fin octobre. Léo Drouyn redoute manifestement les grosses chaleurs, mais il n’hésite pas à braver les rigueurs de la saison froide : ainsi, le 16 février 1862, il se rend à Roquetaillade et le 22 de ce mois, il va jusqu’au moulin de Piis à Bassanne, dans la plaine inondable de la Garonne ; de même, sa première visite à Aillas date du 8 novembre 1844 et, en 1866, il passe par Cudos, le 14 novembre.
Nous ne connaissons pas tous les détails de ces “tournées”, mais on peut les suivre à partir de 1856. S’il est probable que dans certains cas des journées de pause séparent celles passées sur le terrain – ainsi au printemps 1862 Léo Drouyn est à Préchac et Uzeste le 22 avril, le 24 entre Birac et Sendets, le 25 à Bazas –, ce sont les excursions d’une et surtout deux journées qui sont les plus fréquentes. Mais les deux dernières, du 10 au 12 mai et du 31 mai au 2 juin 1869, paraissent avoir été les plus longues et de ce fait celles aussi au cours desquelles le plus grand nombre de sites furent visités, huit la première fois et pas moins de treize la seconde.
Un ou deux sites suffisent en général à occuper une journée – c’est surtout le cas entre 1856 et 1862, principale période de la production graphique de Léo Drouyn –, mais il lui arrive aussi souvent d’en visiter quatre ou cinq. Ainsi, le 24 avril 1862, il commence par s’attarder aux Casterasses à Birac – un site d’accès difficile où il prend le temps de lever un plan et d’exécuter un dessin des ruines –, passe par l’église de cette commune puis se dirige vers celles de Lavazan et Marions pour arriver à Grignols où il fait une halte à l’église de Flaujac et au château ; de là, il prend la route d’Auros, s’arrêtant à l’abbaye de Fontguilhem et à l’église de Masseilles et finalement à Sendets, où il exécute un croquis et un très intéressant dessin. Mais c’est surtout en 1868 et 1869, époque où il se contente de marquer son passage par quelques notes souvent brèves, qu’ont lieu, on l’a vu, les tournées les plus longues aux journées particulièrement chargées.
Il faut attendre 1859 pour que l’on puisse glaner quelques informations sur la manière dont se déroulaient ces journées sur le terrain. En 1859 et 1862, Léo Drouyn fut accueilli à Roquetaillade par le maître des lieux, Lodoïs de Mauvezin, mais il y était déjà venu à cinq reprises au moins. En avril 1856, c’est avec Chabry qu’il remonte la vallée du Ciron de Noaillan à Villandraut et Préchac ; en juin, c’est de Haldat avec lequel il a visité le château du roi à Saint-Émilion qui le suit à Roquetaillade et Bazas ; en mars 1859, Jules de Verneilh et Alexis de Chasteigner l’accompagnent dans son exploration des sites castraux de Sauviac ; quelques jours plus tard, à Roquetaillade, seul le second est présent. Mais Jules de Verneilh semble bien être le compagnon privilégié de ces excursions bazadaises : au printemps 1860, le voici à Sauros, puis à Saint-Michel-de-la-Prade avec Prosper de Fontainieu, en septembre et octobre 1861 à Savignac et Pondaurat. Autre fidèle, Alexis de Chasteigner que l’on retrouve à Roquetaillade en février 1862. Au mois d’avril suivant Guillaume de Castelnau et Trapaud de Colombe accompagnent leur ami à Cazeneuve, Uzeste, puis à Castelnau-de-Cernès et à l’église de Villandraut, enfin, dans la région de Grignols. On les retrouve au mois d’octobre lors d’une tournée de trois jours dans la vallée de la Bassanne et celle du Beuve.
Lorsque les excursions en Bazadais reprennent en avril 1867, Léon Drouyn, alors âgé de vingt-huit ans, se joint à Prosper de Fontainieu, Trapaud de Colombe et Jules de Verneilh lors d’une excursion autour de Marimbault, Pompéjac et le Nizan qui s’achève à Roquetaillade. Léon accompagne encore son père à Hure quelques jours plus tard. Mais en juin 1868 et en 1869 c’est, semble-t-il, en solitaire que Léo Drouyn acheva la découverte du Bazadais.
Si l’approche de la plupart des sites ne posait guère de problème, il ne fait aucun doute que sans le concours de guides, Léo Drouyn n’aurait pu sans peine les découvrir – nous pensons en particulier aux châteaux de Sauviac, aux Casterasses de Birac, à la maison forte de Razens à Aillas et d’une manière plus générale à toutes les fortifications de terre, telles que les mottes d’Aillas et de Savignac, le douc de Boutevin à Lignan ou celui de Couhé au Nizan. Or sur ce point les Notes ne nous sont que d’un maigre secours ; nous savons ainsi que lors de son exploration de la commune de Préchac, en avril 1856, Léo Drouyn fit appel au service du fils de son aubergiste pour se rendre à La Travette sur les bords du Ciron. C’est aussi grâce au concours d’un médecin d’Aillas qu’il put visiter le site de Razens. Faute d’avoir annoncé son arrivée, il a parfois trouvé porte close : ainsi à la suite de son passage à Grignols en 1862, il consigne dans ses Notes : “on ne nous à pas fait la politesse de nous faire visiter l’intérieur du château”. Impossible non plus de pénétrer dans l’église d’Aubiac (11 mai 1869), ce qui se conçoit compte tenu de l’isolement de l’édifice. Parfois le temps manquait pour procéder à un examen satisfaisant du site : ce fut le cas de celui du Battant à Pompéjac et du château de Cazeneuve, le 22 avril 1856. Aussi, le 8 mai suivant, Léo Drouyn revint-il au Battant et il retourna à Cazeneuve le 22 avril 1862 à l’occasion d’une nouvelle visite à la collégiale clémentine. Ces deux exemples illustrent bien la façon dont Léo Drouyn travaillait. Compte tenu du peu – quand ce n’était pas du manque total – d’informations dont il disposait, lorsqu’il se rendait sur certains sites, il appréciait dans un premier temps l’importance des édifices qu’il découvrait, quitte à revenir par la suite compléter notes et dessins. Ainsi, si dans la grande majorité des cas une seule visite lui a semblé suffisante, il s’est rendu, on l’a vu, à deux reprises à Cazeneuve et au Battant, de même à Pondaurat, trois fois à Bazas, Uzeste et Aillas entre 1844 et 1862 et sept fois au moins à Roquetaillade entre les mêmes dates.
Pour apprécier l’importance de la double enquête menée par Léo Drouyn, archéologue et dessinateur, il convient de prendre d’abord en compte les édifices médiévaux qui étaient susceptibles de retenir son attention. Dans la partie girondine du Bazadais, au sud de la Garonne, on pouvait à cette époque dénombrer :
- Quatre-vingt-cinq églises, sièges d’anciennes paroisses, deux anciennes abbayes – Le Rivet et Fontguilhem –, deux commanderies – Cours et Pondaurat –, deux chapelles – Bijoux et Roquetaillade ;
- onze mottes, à Aillas (La Motte), Bazas (Capitaine, le Castet), Berthez (Bassanne), Le Nizan (Couhé), Lignan (Boutevin), Lucmau (le Castéra), Préchac (Cazeneuve), Sendets (Rippes), Sauviac (La Motte), Savignac (Lamothe) ;
- quatorze sites castraux dont deux doubles, correspondant à d’anciens chefs-lieux de juridiction : Aillas, Auros, Bazas, Captieux, Castelnau-de-Mesmes, Castets, Cazeneuve, Langon, Gans, Lados, Lerm, Savignac, Sauviac ;
- six bourgs castraux : Aillas, Auros, Captieux, Castets, Cazeneuve et Roquetaillade ;
- onze maisons fortes antérieures au milieu du XVe siècle à Aillas (Razens), Birac (les Casterasses et Sauros), Brouqueyran (Le Mirail), Coimères (Mouillot), Pompéjac (Le Battant, le Camp de César et la Salle), Préchac (La Trave, La Travette), Uzeste (Illon), auxquelles il conviendrait d’ajouter deux moulins, ceux de Pondaurat et de Piis et une fontaine à Aillas.
Deux villes, Bazas et Langon, offraient bien sûr, en plus de leur plan ou de leurs remparts comme ceux de Bazas, plusieurs édifices religieux, la cathédrale et Notre-Dame-du-Mercadil à Bazas, Saint-Gervais et Notre-Dame du Bourg à Langon .
Partant des Notes archéologiques on peut se faire une idée précise du nombre de sites visités : cinquante-huit églises sur quatre-vingt-cinq, soit presque sept sur dix, les deux abbayes, les deux commanderies et une seule chapelle. S’agissant des sites civils, Léo Drouyn a identifié sept des onze mottes, visité onze des quatorze châteaux ou de leurs anciens sites et trois des six bourgs castraux ; quant aux maisons fortes, il en a retenu sept sur onze. Ainsi les deux tiers environ des édifices médiévaux du Bazadais méridional girondin apparaissent-ils d’une manière ou d’une autre dans l’œuvre de Léo Drouyn.
L’intérêt plus ou moins grand que celui-ci porta aux sites ou aux édifices qu’il découvrit au cours de ses promenades se reflète, d’autre part, dans les souvenirs qu’il nous en a laissés. Sur les 104 notices concernant des sites et monuments du Bazadais entre 1850 et 1869 – presque tous ceux visités avant 1847, date du début des Notes, en possèdent une rédigée plus tard –, quarante-neuf ne sont accompagnées d’aucune illustration. Les cinquante-cinq restant, d’importance très inégale – on y trouve aussi bien celle consacrée à Roquetaillade avec sa ville, ses deux châteaux et sa chapelle que le moulin de la Rose à Pondaurat – se répartissent en trois groupes : celles pour lesquels Léo Drouyn ne nous a laissé que des dessins à l’encre dans ses Notes, celles qui n’ont été accompagnées que par des dessins dans les albums, celles enfin qui sont illustrées à la fois dans les Notes et dans les albums.
Dans le premier groupe le plus nombreux – environ la moitié des notices –, on trouve d’abord des églises. Celles de Préchac et Roaillan mis à part – un dessin a été perdu –, Léo Drouyn n’en a dessiné que le plan, comme à Auros, ou bien il s’est contenté de relever un détail architectural, comme à Cudos, Fontet, Sauviac, ou une date, ainsi à Saint-Côme. S’il a soigneusement analysé l’aménagement des voûtes de la chapelle à l’abbaye du Rivet, la tête d’un clou du portail de Saint-Michel-de-la-Prade lui a semblé aussi digne d’intérêt. Mais ce qui a le plus retenu son attention, ce sont les levés de plan, ceux des mottes de Savignac, d’Aillas et de Boutevin, des sites castraux d’Auros, de Sauviac ou des maisons fortes de la Salle, du Battant et de Razens, des tumuli de Marimbault, de curiosités naturelles, les Clottes et la lagune de Lombric à Préchac, plus rarement un détail d’un édifice civil comme la porte du moulin de la Rose à Pondaurat ou une meurtrière à Montaras. À Castillon-de-Castets, il a même recopié le plan de structures enfouies découvertes quelques années auparavant.
Plus rarement, Léo Drouyn n’accompagne ses Notes que d’un ou de plusieurs dessins au crayon : c’est le cas pour l’église Saint-Gervais de Langon, celles de Saint-Loubert, Bieujac ou Blaignac, pour la maison de La Grave dans la paroisse de Bieujac, pour le moulin de Piis ou lors de la tournée de 1862 à Roquetaillade – il avait dès 1859 rédigé la notice destinée à La Guienne militaire. La situation est identique pour les études antérieures à 1847 : la cathédrale de Bazas, Notre-Dame-du-Mercadil, les maisons de la place à Bazas, l’église d’Aillas, ou la collégiale d’Uzeste.
Mais, après 1847, – il s’agit entre autres de sites majeurs – ces dessins s’ajoutent à ceux à l’encre accompagnant les Notes : églises d’Aillas, de Notre-Dame-du-Bourg à Langon, de Savignac et de Sendets, collégiale d’Uzeste, commanderie de Pondaurat, muraille de Bazas, châteaux d’Aillas, de Roquetaillade, de Castelnau-de-Mesmes, de Cazeneuve, maisons fortes de Sauros et des Casterasses à Birac, de La Trave et de La Travette à Préchac, fontaine de Cugnos à Aillas.
En prenant en compte cette fois-ci chaque sujet représenté, nous avons recensé sur les feuilles d’album 111 dessins sur papier et 24 sur calque préparatoires à la réalisation de gravures, parmi lesquels 5 sont néanmoins originaux. Quant aux Notes archéologiques, elles ont livré 138 dessins. En principe les feuilles d’album et celles des Notes se complètent car ce n’est qu’à deux reprises – fontaine de Cugnos à Aillas et chapelle de Pondaurat – que les deux supports traitent du même sujet. Ainsi peut-on estimer à 249 au moins le nombre de dessins consacrés par Léo Drouyn au Bazadais méridional. C’est dans ce fonds qu’il a puisé pour réaliser les gravures, eaux-fortes ou morsures sur zinc : il a tiré 56 gravures des albums et 69 en s’inspirant des dessins des Notes. Ainsi les inédits reproduits dans cet album représentent-ils la moitié de cette œuvre et se répartissent à peu près également entre dessins des albums et des Notes archéologiques.
Il convient d’ajouter néanmoins dix-sept gravures dont nous n’avons retrouvé le dessin d’origine sur aucun support : le plan du château de Savignac, ceux du château et de la tour-maîtresse de Castets-en-Dorthe, les trois plans et l’élévation de la tour-porte du château-vieux de Roquetaillade mais aussi une archère de la Travette ou les armoiries de Clément V. Il en est de même de la vue générale de Bazas, côté nord, du plan de l’église de Pondaurat, des quatre dessins préparatoires à des gravures publiées de 1881 à 1886 dans la Revue Catholique de Bordeaux : il s’agit de celles représentant le Rivet, l’église d’Escaudes, celle de Bieujac et La Flotte à Bazas. Le cas le plus curieux reste celui de la gravure d’une vue du Château-Neuf de Roquetaillade éditée dans un premier temps pour les Archives historiques de la Gironde puis insérée dans l’édition définitive de La Guienne militaire. Si le plus souvent, Léo Drouyn a indiqué dans ses Notes les dessins qu’il rapportait pour ses albums, cela n’a rien de systématique ; nous avons pu néanmoins recenser, un dessin qui, comme les précédents, n’a pas encore été retrouvé, celui de l’abside de l’église de Roaillan : “J’ai dans un album un dessin de l’abside de cette église” précise Léo Drouyn.
À cela s’ajoutent les dessins de Jules de Verneilh dont Léo Drouyn s’est inspiré pour réaliser une gravure ; parfois il les a d’abord copiés – par exemple celui représentant le château de Savignac, celui des façades nord-ouest et nord-est de Castelnau-de-Mesmes ; d’autres fois il semble avoir procédé directement à la gravure – ainsi pour la salle basse du donjon de Castets. On notera qu’à Savignac et, selon toute probabilité à Castelnau, Jules de Verneilh accompagnait Léo Drouyn. On a l’impression que sur le terrain les deux dessinateurs se partageaient la tâche. Ainsi à Castelnau-de-Mesmes, ils ont dessiné le château mais chacun sous un angle différent ; c’est le dessin de J. de Verneilh qui aura les honneurs de la gravure. Le 6 avril 1860, deux jours plus tard, les deux amis se trouvaient à Saint-Michel-de-la Prade, non loin de Bazas ; cette fois-ci, J. de Verneilh fit le dessin de l’église – aujourd’hui perdu – qu’il donna à Léo Drouyn : aussi celui-ci se contenta de dessiner la tête d’un clou du portail !
Le nombre d’illustrations qui accompagne les sites est extrêmement variable. Dans la moitié des cas pas plus d’un dessin, dans une douzaine deux ou trois. L’église et le château de Savignac en comptent quatre chacun, La Trave et la commanderie de Pondaurat respectivement cinq et six. L’église d’Aillas, les remparts de Bazas, sept, Notre-Dame d’Uzeste et Notre-Dame du Bourg à Langon de même que la cathédrale de Bazas dix, l’église de Roaillan, onze. Les chiffres les plus élevés concernent l’église de Préchac – dix-neuf numéros – et Roquetaillade, au moins soixante-cinq. Dans la mesure où nous avons pris en compte aussi bien une vue générale qu’un détail d’architecture il ne s’agit là que d’une vision globale. Le nombre de dessins consacrés aux églises s’explique aisément par la nature même de ces édifices.
Le catalogue de l’œuvre gravée présente de son côté des caractères propres car, mis à part quelques commandes ponctuelles pour des revues, il est en relation étroite avec les publications de Léo Drouyn. Soixante-dix pour cent des gravures ont pour sujet des édifices fortifiés – mottes, châteaux, remparts, maisons fortes, moulin, commanderie ; elles sont le reflet avec des vues panoramiques – Bazas, Langon, Castets – de la place occupée par le Bazadais dans La Guienne militaire. Les huit gravures de la cathédrale de Bazas ont servi à illustrer La France
de A. Ducourneau, les Choix des types…
de Léonce de Lamothe ou l’article du Bulletin monumental consacré à Bazas par C. des Moulins. Si l’église de Préchac est abondamment représentée – onze gravures – elle le doit à sa présentation dans les Ricochets archéologiques. Quant aux quatre gravures d’Uzeste, Léo Drouyn les a publiées dans les Choix des types… et dans les Comptes rendus de la commission des monuments historiques. Mais rares ont été les sujets religieux insérés dans La Guienne militaire : le plan de la chapelle castrale de Roquetaillade, celui de la commanderie de Pondaurat et deux chapiteaux de Notre-Dame-du-Bourg. Léo Drouyn avait ainsi en réserve nombre de dessins à sujets religieux ; il envisageait peut-être de les insérer dans un ouvrage qui aurait été, au sud de la Garonne, le pendant des Variétés Girondines.
Léo Drouyn a été soucieux de faire connaître à travers notices et articles à la fois historiques et descriptifs les résultats de ses recherches. Mais on ne saurait considérer celles-ci comme la mise en œuvre d’un projet scientifique au sens ou nous l’entendons aujourd’hui. Même si l’on note de sa part un souci d’exhaustivité dans le champ chronologique qui était le sien, l’époque médiévale, sa démarche est celle d’un amateur animé de coups de cœur et de parti pris. Il juge l’église de Préchac “fort intéressante”, celle d’Uzeste “une des plus belles de la Gironde” et considère le château de Roquetaillade comme “le plus beau et peut-être le plus intéressant du département de la Gironde”. Les ruines de La Trave “admirablement situées”, au-dessus des gorges du Ciron, le rendent lyrique. Par contre il porte sur certains édifices qui n’avaient comme tort à ses yeux que la modestie de leur architecture et l’absence de décor, des jugements péremptoires et inacceptables pour un historien. Certaines petites églises rurales ne sont ainsi jugées digne d’aucune description, encore moins d’un croquis. Celle de Cazalis n’est à ses yeux “remarquable à aucun titre”, celle de Brouqueyran “n’offre aucun intérêt”, quant à celle de Mazères elle est “remarquablement laide”. À Saint-Michel-de-Castelnau les ornements sont “à peu près nuls”. Plus curieux sont les commentaires qui accompagnent la visite de l’église du Nizan dont le décor sculpté a retenu l’attention des spécialistes. Le seul qualificatif que lui attribue Léo Drouyn est celui de “barbare”, qu’il s’agisse des chapiteaux des arcatures de l’abside ou de la base des colonnes jugées de “la plus grande barbarie” ou des “zigzags” qui décorent une fenêtre. S’agissant des édifices du XVIIe siècle le parti pris est aussi évident. S’il qualifie Cazeneuve de “beau château”, peut-être est-ce en raison de sa situation sur les rives du Ciron, de ses antécédents médiévaux et de son importance, “un des plus vastes du département” à son avis. Par contre le château de Sauviac “n’offre à ses yeux aucun intérêt. C’est, dit-il, une charmante habitation fort commode” et celui de Grignols, “grande bâtisse barlongue n’est pas digne d’une mention”, mais, on s’en souvient, Léo Drouyn y avait été fort mal reçu.
Ces considérations paraissent à peine excessives lorsqu’on découvre Léo Drouyn polémiquant avec les membres de la Commission des Monuments Historiques de la Gironde. Profondément attaché au respect des monuments, souhaitant de voir limiter les restaurations à celles rendues nécessaires pour assurer la solidité et la conservation des édifices, il vitupère certains curés et les architectes départementaux : le curé de Pondaurat, l’abbé Biga, et l’architecte Robert qui veulent transformer en église en croix latine la chapelle de l’ancienne commanderie qui, selon lui, était à l’origine en croix grecque, sont une de ses cibles privilégiées. Il en est de même d’un autre architecte, Girard, qui a construit à Aillas un “clocher neuf et en style roman tel que sait le faire la commission des monuments historiques livrée à ses propres inspirations”. Le commentaire qu’il fait de la restauration de l’église de Mazères est des plus sévères et il n’est guère plus tendre pour les constructions nouvelles : “La nouvelle église de Grignols n’offre pas davantage d’intérêt que le château, quoique bâtie en style gothique par un des architectes du département”. Il s’en prend aussi vigoureusement au cardinal Donnet “qui dépense tant d’argent pour d’inutiles et ridicules constructions et qui n’a pas le cœur de faire réparer le sarcophage d’un pape qui l’a précédé sur le siège archiépiscopal de Bordeaux.”
À ne s’en tenir qu’aux descriptions et commentaires qui accompagnent ses dessins et aux dessins eux-mêmes, il est facile de relever dans l’œuvre de Léo Drouyn des interprétations erronées ou des restitutions mal fondées. Nous en avons au passage signalé un certain nombre. Cela ne constitue à nos yeux qu’une critique mineure, comparée à tout ce que Léo Drouyn a apporté pour la connaissance des sites archéologiques du Bazadais. Même si certains dessinateurs l’avaient parfois précédé comme Dubourdieu à Roquetaillade ou Lacour et Tessier à Bazas, l’œuvre de Léo Drouyn s’en distingue par son ampleur, le nombre et la qualité des dessins, la richesse des commentaires qui les accompagnent.
Pour certains édifices, grâce en particulier aux dessins qu’il nous a laissés, la contribution de Léo Drouyn est irremplaçable : les uns ont en effet disparu comme le château de Castelnau-de-Mesmes ou ont été réduits à un accident de terrain comme le tertre de Lamothe à Aillas ou les Casterasses à Birac, d’autres ont été mutilés comme Notre-Dame-du-Bourg à Langon ou la maison forte de Sauros, bon nombre enfin ont connu des transformations profondes – c’est le cas des églises d’Aillas, Auros, Pondaurat, Roaillan, Sendets – ou bien ont été “restaurés” comme la collégiale d’Uzeste ou le Château Neuf de Roquetaillade. Sur certains sites Léo Drouyn est arrivé trop tard, ainsi à l’église de Coimères ou à celle de Captieux – mais les aurait-il décrites ou dessinées ? En effet, comme nous l’avons déjà signalé, il ne s’est pas attardé sur des édifices jugés trop modestes ; or depuis son passage certains ont disparu – églises de Bourideys, Cazalis, Flaujacq, Sauros –, tandis que d’autres ont été profondément remaniés – églises de Lerm, Puybarban ou Saint-Michel-de-Castelnau.
Un autre aspect de son œuvre pour le moins insolite c’est, plus d’un siècle et demi après, son actualité. En effet Léo Drouyn a été le découvreur d’un certain nombre de sites –la Motte, le Vieux Château, celui-ci signalé par O’Reilly, le Douc à Sauviac, le tertre de Lamothe à Savignac, la Motte à Aillas le site de Razens, les doucs de Couhé et de Boutevin, le Castéra de Lucmau ou Le Battant à Pompéjac. Or nous ne savons rien de plus sur ces sites que ce que nous en a dit Léo Drouyn et les plans des mottes d’Aillas, de Savignac et de Boutevin ou ceux des Casterasses de Razens ou du Battant, servent encore de référence aujourd’hui. Ce qui frappe enfin chez Léo Drouyn c’est son esprit toujours en éveil : témoin de la transformation du cimetière de Préchac en place publique, il recueille sur le chantier une monnaie de Richard II ; à Cazats, il découvre une croix de procession en cuivre qui date probablement du XVIe siècle et la décrit ; à Boutevin, il note les “bruits” qui courent sur la présence de trésors cachés sous la motte, pas moins d’une soupière et d’une peau de veau remplie de pièces de monnaie ; à Préchac, il transcrit avec soin la légende de la lagune de Lombric. Enfin il avait une prédilection pour les archères et meurtrières : on en trouve de très nombreux dessins aussi bien dans ses Notes que dans ses albums et parfois comme à Montaras c’est la seule particularité qu’il ait retenue d’un édifice.
Itineraires et catalogue
Itinéraires
La chronologie de ces Itinéraires a été établie à partir des dates figurant sur les feuilles d’album puis, après 1850, par celles des notices des Notes archéologiques (t. 46 à 49), complétées éventuellement par celles des feuilles d’album, du catalogue des gravures ou par d’autres sources. Les chiffres renvoient aux numéros des notices.
En gras : voir à la rubrique de cette commune figurant dans l’album et se reporter à la carte n° 1 ;
En italique : Léo Drouyn ne nous a laissé de ce site ni dessin, ni gravure ; se reporter à la carte n° 2.
• 1844
23 octobre
Mazères (1) : châteaux de Roquetaillade
8 novembre
Aillas (1) : église
• 1845
21-(22) août
Uzeste (1) : collégiale
22 août
Mazères (II) : châteaux de Roquetaillade
• 1846
23-25 mai
Bazas (1) : ville, remparts, poterne du Gisquet, cathédrale, Notre-Dame-du-Mercadil, maisons Andrault et Pierron
• 1849
11 mai
Mazères (II) : châteaux de Roquetaillade
• 1850
7 juin
Fontet : église (91)
• 1856
4 avril.
Préchac (I) : village, église (194)
5-(6) avril.
Préchac (I) : ruines de La Trave (195) et de la Travette (196) ; moulin de Caus arieu (197) ; château de Cazeneuve (198)
8 mai
Pompéjac : Le Battant (206)
Uzeste (II) : collégiale (205)
10 mai
église de Cazalis (I)(207)
14 mai
Préchac (II) : les Clottes, lagune de Lombric (211)
18 mai
Roaillan : église (212) ; église de Mazères (213)
18 juin
Bazas (II) : la ville (220)
19 juin
Mazères (IV) : Château Vieux de Roquetaillade (221)
• 1859
24 mars
Sauviac : église ; sites castraux (447)
19 mai
Mazères (V) : châteaux de Roquetaillade
5-6-(7) septembre
Mazères (VI) : châteaux de Roquetaillade ; chapelle Saint-Michel ; pigeonnier de Crampet (484)
• 1860
22-23 février
Bassanne : moulin de Piis (498) ; église (499)
12 avril.
Aillas (II) : château (509) ; église (510)
13 avril
Saint-Michel-de-Castelnau : tumuli, église (511) ; château de Castelnau-deMesmes (512) ; église de Lerm (515) ; église de Goualade (516)
15 avril
Birac : église de Sauros (512) ; maison forte de Sauros (513)
16 avril
Bazas : église de Saint-Michel-de-la-Prade (514)
• 1861
29 septembre
Savignac : château, maison de Bonnegarde (607) ; tertre de Lamothe (608) ;
1er octobre
église (609)
(1er)-2 octobre
Pondaurat (I) : commanderie, chapelle, pont, moulin (610) ; moulin de la Rose (611)
• 1862
16 février
Mazères (VII) : châteaux et chapelle de Roquetaillade (621)
16 et 23 mars
Langon : ville ; église Saint-Gervais ; Notre-Dame-du-Bourg (626)
(21 avril)
Bazas
(21)-22 avril
Préchac (III) : château de Cazeneuve (628)
22 avril
Uzeste (III) : collégiale (629), maison (630)
24 avril
Birac (II) : Les Casterasses (633) ; église (634) ; église de Lavazan (635) ; église de Marions (636) ; église de Flaujac et château de Grignols (637) ; abbaye de Fontguilhem à Masseilles (638)
Sendets : église (639)
25 avril
Bazas (III) : ville, remparts (640)
11 octobre
Aillas (III) : maison forte de Razens (683) ; La More (685)
Sigalens : église d’Aillas-le-Vieux (684)
12 octobre
Auros : abbaye du Rivet (686) ; église de Saint-Gennain (688) ; église d’Auros (689) ; château d’Auros (690)
Brannens : église (687)
13 octobre
Pondaurat (II) : commanderie (690) ; église de Saint-Martin-de-Monfélix (691) ; église de Puybarban (I) (692)
Blaignac : église (693)
14 octobre
Aillas (IV) : église, fontaine de Cugno (694)
• avant 1865
Castets-en-Dorthe : château, village
• 1866
6 avril
Castillon-de-Castets : église (755) ; château du Carpia (756) ; maison de La Brette (757) ; maison de Rouillac (758)
14 novembre
Cudos : église (834)
• 1867
26 avril
Saint-Côme : église (836)
Marimbaut : tumuli (837)
Pompéjac : église (838) ; maison forte de la Salle (839)
27 avril
église du Nizan (840)
Mazères (VIII) : château de Roquetaillade (Livre d’Or)
30 avril
église de Hure (841)
• 1868
17 avril
Puybarban : église (II),château, (928) ; Montaras (929)
Castillon-de-Castets : maisons de Rouillac, du Cau, du Vignau ; substructions découvertes à proximité de l’allée du château du Carpia (930)
21 avril.
Castets-en-Dorthe : église de Mazerac (932)
8 juin
Blaignac : maison de la Grave (982) ; maison de la Bastide (983)
8 juin
église de Loupiac-de-La Réole (984) ; église de Noaillac (985)
9 juin
maisons du bourg d’Auros (988)
Bieujac : église (989)
Saint-Loubert-de-Colbac : église (990) ; église de Barie (991) ; église de Floudès (993)
Bazas : quartier Saint-Antoine, rempart nord de la ville
• 1869
10 mai
église du Nizan (1019) ; doue de Couhé (1020)
11 mai
église d’Aubiac (1021) ;église de Cazats (1022) ;église de Coimères (1023) ;église de Brouqueyran (1024)
12 mai
Lados : église (sans numéro) ; Le Castéra (1025)
22 mai
église de Bourideys (1028)
31 mai
Lignan : église (1029) ; doue de Boutevin (1030) ; église de Bernos (1031)
Lucmau : église (1032) ; le Castéra (1033)
1er juin
église de Captieux (1034) ; église d’Escaudes (1035) ; église de Lerm (II) (1036) ; église de Goualade (1037) ; église et château de Saint-Michel-de-Castelnau (1038) ; église de Sillas (1039)
2 juin
église de Cours (1040)
Masseille : église de Thil (1041) ; église (1042)
• 1881
Auros : Le Rivet
• 1884
Escaudes : église
• 1885
Bieujac : église
• 1886
Bazas : La Flotte
Catalogue
Ce catalogue a été établi par ordre alphabétique des communes, pour chaque commune par date des visites et par site ou monument religieux ou civil. Les dessins des Notes archéologiques sont exécutés à l’encre : sont précisés, le tome, le numéro de la notice, éventuellement le numéro d’ordre de chaque dessin dans la notice. Les dessins des albums sont tous exécutés à la mine de plomb : il sont indiqué par le numéro de l’album, suivi de celui de la feuille, éventuellement du numéro d’ordre du dessin sur la feuille. Le catalogue étant établi par sujet, certaines feuilles en portant plusieurs qui appartiennent parfois à des sites différent, une même feuille peut apparaître plusieurs fois dans le catalogue. Nous avons indiqué par “(calque)”, les dessins à l’encre sur calque, préparatoires à l’exécution des gravures.
Lorsqu’un dessin est inédit il est indiqué par *. Les gravures le sont par la mention Gravure, suivie éventuellement de l’année de l’exécution, puis de son numéro dans le catalogue de l’œuvre gravée de Léo Drouyn, enfin par la mention de l’article ou de l’ouvrage dans lequel elle a été publiée. Lorsqu’un dessin ou une gravure concerne un édifice ou un élément architectural aujourd’hui transformé ou disparu ils ont indiqués en italique.
Certains dessins mentionnés dans les Notes, ou indirectement attestés par les gravures qui en ont été tirées n’ont pas encore été retrouvés. Parfois enfin, Léo Drouyn, graveur, s’est inspiré de dessins de Jules de Verneilh, soit directement soit en exécutant une copie.
Il ne s’agit que d’un bilan provisoire ; probablement des dessins restent encore à découvrir.
• AILLAS
1844
église
*façade occidentale : XIII-5 ; VIII – 48 (calque).
*détail de chapiteaux et de modillons de la façade occidentale : XIII-4
*chevet : XIII-3.
1860
église
*marques de tâcherons : Notes archéologiques, t. 48, n° 510, p. 72.
Le Château
plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 509, p. 70. Gravure, n° 866, La Guienne militaire, 1865, t. I, p. XL.
*pan de mur : III-7
1862
église
*plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 682, p. 406.
*façade occidentale : arcatures : VII-36, n°1.
*portail occidental : détail d’un chapiteau : VII-36, n° 3.
*portail occidental : chrisme du tympan, Notes archéologiques, t. 48, 11° 682, p. 407.
*décor des moulures de tailloirs de chapiteaux de l’arcature du troisième niveau de la façade, Ibid., p.409.
*nef : fenêtre du mur nord : VIII-36, n°2.
*chapiteau ouest de la colonne entre le chœur et le transept nord : décor de palmettes, Notes archéologiques t. 48, n° 682, p. 410.
*corniches nord et sud des voûtes des bras du transept, Ibid., p. 410.
*corniche de la retombée de la voûte de l’abside, Ibid., p.410.
*décor du deuxième chapiteau de la baie nord de l’abside, Ibid., p. 410.
*corniche de la retombée de l’absidiole sud, Ibid., p. 411.
*profil d’un modillon et de la corniche des bras du transept, Ibid., p. 411.
*fenêtre orientale de l’absidiole sud (extérieur), Ibid., p. 412.
*marqu es de tâcherons sur diverses parties de l’édifice, Ibid., p. 412.
La Motte
plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 685, p. 414. Gravure, n° 864, La Guienne militaire, 1865, t. I, p. XL.
maison forte de Razens
plan du site : Notes archéologiques, t. 48, n° 683, p. 413. Gravure, n° 685, La Guienne militaire, t. I, p. XL.
fontaine de Cugnos
*plan et élévation : Notes archéologiques, t. 48, n° 694, p. 424.
*élévation : Notes arcbéologiques, t. 48, n° 694, p. 424 ; VIII-37, n° 2.
• AUROS
1862
château et église
plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 690, p. 419. Gravure, n° 1111, La Guienne militaire, t. Il, p. 401.
abbaye du Rivet
*plan de la chapelle : Notes archéologiques, t. 48, n° 688, p. 415.
*détail des faisceaux de colonnes de la nef et de la galerie passant par derrière, deux plans : Notes archéologiques, t. 48, n° 688, p. 415.
1881
abbaye du Rivet
vue générale façade sud : Revue Catholique de Bordeaux, 1881, p. 623-625.
• BASSANNE
1865
moulin de Pils
façades nord-est et nord-ouest : recueil 341 p. 49. Gravure, n° 698, La Guienne militaire, t. II, pl. 122, n° 2.
• BAZAS
1844
cathédrale
portail nord :
*tympan : d’après une lithographie de Jules Tessier d’un dessin de Pierre Lacour publiée dans Études lithographiques, 1844.
*quatrième et cinquième arcs de la voussure : huit scènes de la Genèse (n° 2 à 9), d’après des lithographies de P. Lacour publiées dans Fragmens. Essais sur les hiéroglypbes égyptiens, 1821 : VIII-44 (calque).
portail meridional : troisième et quatrième arcs de la voussure : dix signes du zodiaque de février à novembre, d’après des lithographies de Jules Tessier d’un dessins de P. Lacour, publiées en 1843 dans Etudes Lithographiques, puis dans Fragmens. Essais sur les hieroglyphs égyptiens, 1821 : VIII-44 (calque). A. Oucourneau, La Guienne historique et monumentale, 1844 : VIII-44 (calque).
cathédrale
façade occidentale : VIII-6. Gravure, 1844, n° 52. La France,.. p. 274-275.
1845
cathédrale
plan : d’après Du phot, gravure n° 89, Choix des Types…, t. 2, p. 33, 1845.
façade occidentale : XIII-14 ; VIII-44 n° 1. Gravure, 18-6, n° 79, Choix des Types., p. 16-18.
1846
Vue générale : XI-4 ; VIII-33, n° 1. Gravure, 1846, n° 129, Quelques faits, n° 1, p. 12-13.
poterne du Gisquet : XI-3 ; VIII-19, n° 2. Gravure, 1846, n° 130, Quelques faits, n° I, p. 18-19.
muraille nord : détails d’appareil : VIII-26, 11°1/2 (calque). Gravure, 1846, n° 131, Quelques faits, n° III, p. 18-19.
cathédrale
transept et façade nord : XI-6 ; VIII-19, n° 1 (calque). Gravure, 1846, n° 135, Quelquesfaits.., n° VII, p. 32-33.
marque de tâcherons : VIII-26, n° l (calque). Gravure, 1846, n° 136, Quelques faits.., n° VIII, p. 34-35.
façade occidentale : VIII-33, 11° 4 (calque). Gravure, 1846, n° 137, Quelques faits.., n° IX, p. 36-37.
portail sud, zodiaque : XIII-15 ; VIII-51 (calque). Gravure, 1846, 11° 138, Quelques faits.., n° X, p. 38-39.
portail central, tympan : XIII-16; VIII-52 n° 2 (calque). Gravure, 1846, n° 139, Quelques faits.., n° XI, p. 40-41.
portail nord, tympan : XIIl-17 ; VIII-52 n° 1 (calque). Gravure, 1846, n° 140, Quelques faits.., n° XII, p. 58-59.
Église Notre-Dame-du-Mercadil
façade ouest, détail architecturaux, marques de tâcherons : VIII – 26, n° 2/1 (calque). Gravure, 1846, n° 131, Quelques faits…, n° III, p. 18-19.
façade occidentale : XIII-18, n°1; VIlI-33, n°3 (calque). Gravure, 1846, n° 134, Quelques faits.., n° VI, p. 22-23.
*façade occidentale : XIII-18, n°2.
maison Andrault : XI-5 ; VIlI-26, n° 3 (calque). Gravure, 1846, n° 132, Quelques faits, n° IV, p. 22-23.
maison Pierron : XI-7 ; VIII-33, n° 2 (calque). Gravure, 1846, n° 133, Quelques faits.., n° V, p. 22-23.
1856
*plan de la ville : Notes archéologiques, t. 46, n° 220, p. 620.
1860
église Saint-Michel-de-La Prade
*tête de clou du portail : Notes archéologiques, t. 48, n°514, p. 76.
1862
plan de la ville de 1819 : XI-2. Gravure, n° 1020, La Guienne militaire, t. II, p. 204.
poterne du Gisquet : II-39 n° 1. Gravure, n° 793, La Guienne militaire, t. II, pl. 107.
poterne de la Brèche :
vue intérieure : II-50. Gravure, n° 794, La Guienne militaire, t. II, pl. 108.
plan : Notes archéologiques, t. 46, n° 220, p. 46. Gravure, n° 1021, La Guienne militaire, t. II, p. 208.
plan des latrines : Notes archéologiques, t. 48, n° 640, p. 347. Gravure, n° 1022, La Guienne militaire, t. II, p. 209.
*claveau de l’un de arcs brisés de la partie postérieure de la poterne : Notes archéologiques, t.48, p. 346.
*cathédrale
*portail nord, troisième et quatrième arcs de la voussure, scène 8, Caïn offre à Yahvé les fruits de la terre ; scène 10, malédiction de Dieu : II-40, n° l et 2.
*vierge folle : II-39, n° 2.
*sarcophages de la Targue : dessin du système de calage : Notes arcbéologiques, t. 48, p. 344 (dessin non publié).
1868
vue générale du faubourg Saint-Antoine et de la façade nord de la ville Gravure n° 1212
1886
La Flotte
bois de chênes : Gravure, n° 1525, Revue catholique de Bordeaux, 1886.
• BIEUJAC
église
1868
*façade orientale :XVI-45
1885
vue générale, façade ouest : gravure, n° 1523, Reuue catholique de Bordeaux, 1885, p. 448.
• BIRAC
1860
Sauros : maison forte
plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 513, p. 75. Gravure, n° 1072, La Guienne militaire, t. II, p. 319.
façades ouest et sud : III-10. Gravure, 1864, n° 813, La Guienne militaire, t. II, pl. 127, n° 1.
1862
Les Casterasses
plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 633-1, p. 336. Gravure, n° 1095, La Guienne militaire, t. II, p. 319.
*archère – canonnière, meurtrière de fusillade : Notes archéologiques, t. 48, n° 633-2, p. 337.
ruines de la maison forte : II-48. Gravure, 1864, n° 1095, La Guienne militaire, t. II, pl. 139, n° 1.
• BLAIGNAC
1862
église
•portail meridional : VII-38.
1868
La Grave
*façade de la residence :XVI-44.
• BRANNENS
1862
église
*plan ;
*base d’une colonne de l’arc triomphal : Notes archéologiques, t. 47, n° 687, p. 416.
*fenêtre orientale de l’abside : VII-58.
• CASTET-EN-DORTHE
Vue de la Garonne, du canal et du château, façade est : d’après un dessin de Jules de Verneilh. Gravure, 1863, n° 804, La Guienne militaire, t. II, pl. 118, n° 2.
château
plan ; dessin non retrouvé. Gravure, n° 1059. La Guienne militaire, 1865, t. II, p. 274
plan du donjon et de la partie orientale du château : dessin non retrouvé. Gravure, n° 1060, La Guienne militaire, 1865, t. II. p. 2 5.
salle basse du donjon : d’apres un dessin de Jules de Verneilh. Gravure, n° 805, La Guienne militaire, 1865, t. II, pl. 119.
• CASTILLON-DE-CASTETS
1862
Le Carpia
*armoiries, •meurtrière de fusillade : Notes archéologique, t. 48, n° 756, p. 505- 506.
1868
site
*plan de stn.1cture\ déc :ou\eJtes en 1856 : Notes archéologiques, t. 19, n° 930, p. 30.
• CUDOS
1866
église
*portail occidental : Note· archéologiques, t. 18, n° 834-l, p. 574.
*jour en archère du bas-côté nord : Notes archéologiques, t. 48, n° 834-2, p. 574.
• ESCAUDES
1884
église
façade occidentale : gravure, 1884, n° 1516, Revue Catholique de Bordeaux.
• FONTET
1850
église
*appareil d’un contrefort du mur nord de la nef ;
*coupe de la table d’autel de la croix du cimetiere ;
Notes archéologiques…, t. 46, n° 91, p. 208-209. Dessins non publiés.
• LANGON
1862
plan de la ville : Notes archéologiques, t. 48, n°626, p. 317. Gravure, 1862, n°769. La Guienne militaire, t. II, pl. 83, n°1.
Notre-Dame-du-Bourg
*plan du chevet : Notes archéologiques, t. 48, n° 626, p. 323.
*vue intérieure de la partie sud et est du chevet : II-37.
*plan du faisceau de colonnes de l’entrée du chœur et du transept sud : II-37et Notes arcbéologiques. t. 48, n° 626, p. 322.
*feuille lancéolée recourbée décorant le chapiteau median de l’arcature sud du choeur : Notes archéologiques, t. 48, n° 626, p. 322.
chevet, sept dessins : II – 36
1. chapiteau du sud entre chœur et sanctuaire dit chapiteau aux deux têtes couronnées. Gravure, 1862, n° 765, La Guienne militaire, t. II, pl. 79, n° 1.
2. chapiteau de l’arc triomphal, au nord, dit chapiteau aux télamons imberbes. Gravure, 1862, n° 765, La Guienne militaire, t. II, pl. 79, n° 2.
3. *tailloir du chapiteau médian surmontant les colonnettes jumelées séparant dans le mur sud du chœur une fenêtre et une arcature.
4. *fenêtré sud-est de l’abside : extérieur.
5. *chapiteau de l’ une des colonnettes d’encadrement.
6. *archivolte.
7.*modillon de la corniche.
église Saint-Gervais
façade nord : 11-55. Gravure n° 766, La Guienne militaire, t. II, pl. 80.
• LIGNAN
1869
douc de Boutevin
plan : Notes archéologique, t. 49, n° 1030, p. 103. Gravure n° 1258, Les forteresses de terre.., 1874, p. 136.
• MARIMBAULT
1857
tumulus
plan du site : Notes archéologiques, t. 48, n° 837, p. 578. Gravure n° 1252, Les forteresse· de terres .., 1874, p. 125.
• MAZERE
Roquetaillade
1844
Château Neuf
*cheminée de la grande salle :XI-151
façades sud-ouest et sud-est : XI-157.
1845
plan du site : VIII-68 (angle supérieur gauche) (calque). Gravure , n° 94. Choix des types, 1845 ; n° 389, Quelques châteaux du Moyen Âge…, 1854.
vues générales des deux châteaux :
*façade nord-ouest : XI – 153 n° 1 et 2.
façade sud-ouest : XI-l48 ; VIII-68 (calque). Gravure. n° 94, Choix des types, 1845, 2e série, p. 12-13
Château Vieux :
façade ouest :XI-154. Gravure, n° 422, Alliance des Arts, 1855
Château Neuf :
*façade nord-ouest :XI-146 ; VIIl-55/2 (calque).
*façade nord-ouest :XI-150 ; VIII-58 (calque)
façades sud-ouest et sud-est :XI-156 ; VIII-62/2 (calque). Gravure, n° 95, Choix de types…,1845, 2e série, p. 14-15.
1849
*vue général des deux châteaux, façade sud-est : XI-155.
Château Vieux
façade sud-ouest : XI – 149 ; gravure n° 423, Alliance des Arts, 1856.
1856
Château Vieux : plan de l’extrémité occidentale du site : Notes archéologiques, t. 46, n° 221, p. 62. Gravure, n° 688, La Guienne militaire, t. I, pl. 2, n° 1.
1859
plan du site : Notes archéologiques, t. 48, n° 484, p. 12 ; gravure n° 688, La Guienne militaire, t. I, pl. 2, n°1.
vue générale des deux châteaux :
façades nord-est :V-48. Gravure, 1859, n° 687. La Guienne militaire, t. I, pl. 1.
façades sud-ouest : V-42. Gravure, 1859, n° 692, La Guienne militaire, t. I, pl. 6.
Château Vieux :
esquisse du plan d’un couloir bordant le mur nord de la grande sale : Notes archéologiques, t. 48, n° 484, p. 25.
tour-porte :
coupe verticale, plans du rez-de-chaussée, du premier et du deuxième étage : dessin non retrouvé. Gravure, n° 688, La Guienne militaire, t. I, pl. 2, n° 2, 3, 4, 5. * système de fermeture de la porte d’entrée : Notes arcbéologiques, t. 48, n° 484, p. 30. Gravure, 1859, n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. 5, n° 9. * retombée de l’archivolte de la porte : V-52, n° 9.
fenêtre du deuxième étage : V-50, n° 4. Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. 1, pl. 5, n° 2.
mâchicoulis sur trois consoles reliés par des arcs trilobés : V-50, n° 4. Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. 5, n° 10.
*grande sale :
façade sud-est : V-50, n°1.
fenêtre du premier étage, façade oust : Notes archéologiques, t. 48, n° 484, p. 26 Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. V, n° 1.
donjon, plan du premier étage : Notes archéologiques, t. 48, n° 484, p. 15. Gravure n° 688, La Guienne militaire, t. 1, pl. 2, n° 6.
Château Neuf :
plan du rez-de-chaussée : XI-147 et Xl – 152/1. Gravure, 1859, n° 689, La Guienne militaire, t. I, pl. 3.
façades nord-est et sud-est et chapelle Saint-Michel : V-53.
donjon et partie sud-ouest du château, élévation cotée et annotée : XI-152/1 et 2, s.d.. Gravure, n° 690, La Guienne militaire, t. I, pl. 4, n° 1-4.
donjon :
plan des trois étages : Notes archéologiques, t. 48, n° 484, p. 38-39. Gravure, 1859, n° 690, La Guienne militaire, t. I pl. 4. n° 1, 2, 3.
*cornicbe et feuille à crochet décorant le support du chêneau : V-50, n° 2.
fenêtre sur cour du deuxième étage : V-52, n° 1. Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. V, n° 8.
archère cruciforme à étrier du troisième étage : V-52, n° 3. Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. V, n° 7.
corniche, gargouille : V-52, n° 4. Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. V, n° 13.
tours :
archère cruciforme, aménagée : V-52, n° 6. Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. I. pl. V, n° 5. Sur la gravure l’aménagement pour tir à l’arme à feu porté sur le dessin a disparu.
chambre de tir : V-52, n°11. Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. V, n°4.
partie inférieure à étrier d’une archère : V-52, n° 7. Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. V, n° 6. Sur la gravure l’archère possède un aménagement pour le tir de armes à feu.
retombée en pyramide renversée des nervures épannelées d’une des voûtes de la tour sud : V-52, n°12. Gravure, n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. V, n° 11 et 12. Il n’existe qu’un dessin mais deux gravures très proches.
linteau bombé de l’un e des portes des tours : V-52, n° 2. Gravure n° 691, La Guienne militaire, t. I, pl. 5, n° 3.
retombée de l’archivolte de la porte d’entrée : V – 52 n° 8
retombée de la porte latrine : V – 52 n° 10
marques de tâcherons : Notes arcbéologiques, t. 48, n° 484, p. 40. Gravure n° 905, La Guienne militaire, t. I, p. 14.
*table Louis XIII : V-41.
chapelle Saint-Michel :
plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 484, p. 26. Gravure n° 688 La Guienne militaire, t. 1, pl. 2, n° 7.
*fenêtre bilobée : V-52, n° 5.
*marque de tâcheron : Notes archéologiques, t. 48, n° 484, p. 27.
colombier de Crampet :
plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 484, p. 400. Gravure n° 688, La Guienne militaire, t. I, pl. 2, n° 8.
vue intérieure : A V-54. Gravure n° 693, La Guienne militaire, t. I, pl. 2, n° 8.
1862
*vue générale des deux châteaux :
*façade nord-ouest : II-33.
*façade sud-est : II-30.
*Château Vieux :
*façade sud-ouest : II-31.
*façade sud-ouest : II-32.
*six croquis illustrant le mécanisme de fermeture de la porte de la tour-porte : Notes archéologiques, t. 48, n° 621, p. 311-312.
*renflement du mur placé à l’extrémité de la terrasse sud, au point (plan général du site) : Notes archéologiques, t. 48, n° 621, p. 312 (dessin non publié).
Château Neuf :
façades nord-ouest et sud-ouest : dessin non retrouvé. Gravure, 1862, n° 665, Archives historiques de la Gironde, t. III, apr. p. 186 ; gravure n° 687 bis, La Guienne militaire, 1865, t. I, pl. I bis.
façades nord-est et sud-ouest et chapelle Saint-Michel :A II-29.
1867
paysage : Liure d’Or de Roquetaillade
• POMPEJAC
Le Battant :
plan du site et plan et coupe des ruines sur le ruis. eau de Pompéjac : Notes archéologiques. t.46, n° 206, p.581. Gravures, 1858, n° 889, Ricochets archéologiques dans Bull. monumental, t. 24, p. 478 et, 1865, n° 888, La Guienne militaire, t. I, p. LXXI.
La Salle
*plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 839, p. 529-530.
• PONDAURAT
1845
commanderie
plan de la chapelle. Gravure n° 89, Choix de types .., t. II, p.33, 1845.
1861
commanderie
plan d’ensemble du site : Notes archéologiques t. 48, n° 610, p. 287. Gravure n° 1075, La Guienne militaire, t. Il, p. 327.
La Bassanne, le pont, le moulin : IV-45. Gravure, 1864, n° 815, La Guienne militaire, t. II, pl. 129.
façade nord du moulin :VI-51. Gravure, 1864, n° 1076, La Guienne militaire, t. II, p. 328.
*jour en archère du moulin : VI-52/4.
*chapelle : faisceau de colonnes de l’angle sud-est de la croisée : VI-52/ 5.
*chapelle, details : coupe des nervures des voûtes de la croisée et du chœur ; T dans un écusson de la clef du pied de la croix ; coupe de la base d’une colonne ; base de colonne à forte griffe : Notes archéologiques, t. 48, n° 610, p. 289.
moulin de la Rose
porte en arc brisé : Notes archéologiques, t. 48, n° 611, p. 291.
1862
église Saint-Martin-de-Monfélix
*plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 691, p. 420.
*fenêtre à linteau monolithe du mur nord du chœur : Notes archéologiques, t. 48, n° 690, p. 420.
*chapiteau de la retombée de l’arc triomphal, côté nord : VII-37, n°1.
*cour de ferme, environs de Savignac et Pondaurat : XVI-47.
• PRÉCHAC
1856
*village : XIV-50
église :
plan : Notes archéologiques, t. 46, n° 194-1, p. 543. Gravure, 1858, n° 497, Ricochets archéologiques…, p. 465.
*chapiteau d’un arc séparant la première travée de la nef et l’un des bas-côtés Notes arcbéologiques, n°194-2, p. 543.
arc doubleau entre la première et la deuxième travée de la nef, chapiteau du nord, détail, Notes archéologiques. n° 194-3. Gravure, 1858, n° 498, Ricochets.., p. 466.
nef, deuxième trav ée, chapiteau du nord-est : Notes archéologiques, n° 194-4. Gravure, 1858, n° 499, Ricochets archéologiques…, p. 467.
nef, deuxième travée, chapiteau du sud-ouest : Notes archéologiques, n° 194-5. Gravure, 1858, n° 500, Ricochets .., p. 467.
nef, deuxième travée, chapiteau du sud-est : Note· archéologiques, n° 194-6 Gravure , 1858, n° 501, Ricochets.., p.4 67.
arcature de l’abside, détail des chapiteaux et des colonnettes :
* Notes archéologiques, n° 194-7
* Notes arcbéologiques, n° 194-8
* ‘Notes arcbéologiques, n° 194-9
Notes archéologiques, n° 194-10. Gravure, 1858, n° 502, Ricochets.., p. 468.
7. Notes archéologiques, n° 194-11. Gravure, 1858, n° 503, Ricochets.., p. 468.
* Notes archéologiques,11° 194-12
* Notes archéologiques, n° 194-13.
*coupe du cordon sur lequel s’appuie la fenêtre du sanctuaire : Notes archéologiques, n° 194-14.
*chevet : Notes archéologiques, n° 194-15.
arcature extérieure de l’abside principale, du sud au nord :
chapiteau n° 5, Notes archéologiques, n° 194-16. Gravure, 1858, n° 504, Ricochets.., p. 470.
chapiteau n° 6, Notes archéologiques, n° 194-17. Gravure, 1858, n° 505, Ricochet …, p. 470.
abside principale, fenêtre ouverte dans la chapelle d’axe : Notes archéologiques, n° 194-18. Gravure, 1858, n° 506, Ricochets.., p. 471.
marques de tâcherons : Notes archéologiques, n° 194-19. Gravure, 1858, n° 507, Ricochets .., p. 474.
Cazeneuve :
plan du site : Notes archéologiques, t. 46, n° 198, p. 555. Gravure n° 1058. La Guienne militaire, t. II, p. 268.
*motte : XIV- 49
façade nord-ouest en bordure du Ciron : A II – 41. gravure, 1863, n° 804, La Guienne militaire, t. II, pl. 118.
La Trave
plan : Notes archéologiques, t. 46, n° 195-1, p. 549. Gravure, 1865, n° 936, La Guienne militaire, t. 1, p. 100.
*embrasure et archère cruciforme de la cour d’entrée, intérieur, extérieur : Notes archéologiques, n° 195-2 et 3.
façade nord-ouest : XIV-44. Gravures, 1857, n° 434. Revue de Bordeaux, 1861 ; 1861, n° 718, La Guienne militaire, 1. !, pl. 32 ; 1857, n° 488, Magasin Pittoresque, 1858.
*vue en amont des ruines, en direction du nord-ouest : XIV-46.
*vue en aval des ruines, en direction du sud-est : XIV-47.
La Travette
Plan : Notes archéologiques, t. 16, n° 196-1. Gravure 11° 719, La G11ienne militaire, t. I, pl. 33, n°1.
Vue d’ensemble des ruines : XIV-48. Gravure, 1861, n° 719, La Guienne militaire, 1865, t. 1, pl. 33, n° 5.
rez-de-chaussée, côté ouest :
embrasure intérieure d’une archère : Notes archéologiques, n° 196-2 ;
archère cruciform : dessin non retrouvé. Gravure, n° 719, La Guienne militaire, 1865. t. 1, pl. 33, n° 2.
angle du mur ouest et du mur de refend : Notes archéologiques, n° 196-3. Gravure n° 719, La Guienne militaire, 1865, t. 1, pl. 33, n°4.
*plan d’une armoire : Notes arcbéologiques, n° 196-4.
détails de la grande cheminée du mur de refend, face sud : Notes archéologiques, n° 196-5. Gravure n° 719, La Guienne militaire, t. I, pl. 33, n° 3.
Les Clottes
plan : Notes archéologiques, t. 1, n° 211, p. 595. Gravures, 1858, n° 496, Ricochets…, p. 459; n° 844, La Guienne militaire, 1865, t. I, p. XX.
lagune de Lombric
*plan : Notes archéologiques, t. 46, n° 211, p. 595.
• PUYBARBAN
1868
Montaras
*archère aménagée pour le tir des armes à feu : Notes archéologiques, t. 49, n° 929, p. 29.
• ROAILLIAN
1856
église
*plan
*croix sommant le rampant du pignon de la façade occidentale ;
*début d’une inscription sur un claveau de la porte du vaisseau septentrional ;
*bandeau séparant les deux étages du clocher ;
*modillon de la corniche de l’abside sud ;
*abside principale : contrefort et corniche ;
*fenêtre d’axe de l’abside principale ;
*pierre à décor de rinceaux rapportée dans le mur de l’abside princi pale, côté sud ;
*coupe de la base de l’abside ;
*marques de tâcherons relevées sur les deux absides ;
*clef de voûte de la chapelle nord ;
*bandeau saillant à la base des voûtes du chœur et de l’abside de la nef principale (dessin non publié) ;
*base et chapiteau des colonnes de l’entrée du chœur méridional. Notes archéologiques, t. 46, n° 212, p. 596-599.
• SAINT-COME
1867
église
*inscription 1553 de la clef de voûte de la travée ouest du chœur : Notes archéologiques, t. 48, n° 836, p. 577.
• SAINT-LOUBERT
1868
église
*chapiteau de l’arc triomphal : XVI-46.
• SAINT-MICHEL-DE-CASTELNAU
1860
château de Castelnau-de-Mesmes
plan : Notes archéologiques, t. 48, n° 512, p. 73. Gravure n° 1063, La Guienne militaire, t. II, p. 290.
façades nord-ouest et nord-est : XI-60 (d’après le calque d’un croquis de Jules de Verneilh) ; A III-9. Gravure n° 808, La Guienne militaire, t. II, pl. 122.
*angle des façades nord-est et sud-est : III-8
• SAUVIAC
1859
église
*fenêtres du mur oriental du chevet ;
*fenêtre du mur nord ;
*chapiteau sud de l’arc triomphal : Notes archéologiques…, t. 47, n° 447-1, 2, 3, p. 472-473.
sites castraux
plan de situation : Notes archéologiques…, t. 47, n° 447-4, p. 473 ; Gravure n° 877, La Guienne militaire, 1865, t. I, p. LV.
La Motte
plan : Notes archéologiques, t. 47, n° 447-5, p. 474. Gravure n° 878. La Guienne militaire, t. I, p. LVI.
Le Vieux Château
plan : Notes archéologiques, t. 47, n° 447-6, p. 475. Gravure n° 879, La Guienne militaire, 1865, t. 1, p. LV.
Le Douc
plan : Notes archéologiques, t. 47, n° 447-7, p. 477. Gravure n° 880, La Guienne militaire 1865. t. I, p. LVII.
• SAVIGNAC
1861
église
*chevet : VI-44.
*façade nord du chevet : VI-43.
*quatre modillon de l’abside : VI-52.
*corniche de retombée de la voûte du chœur et du sanctuaire, profil : Notes archéologiques, t. 48, n° 609, p. 286.
Lamothe
plan du site : Notes archéologiques, t. 48, n° 608, p. 285. Gravure n° 859, La Guienne militaire, t. I p. XXXIII.
château
plan de situation : Note archéologiques, t. 48, n° 607, p. 283.
plan : dessin non retrouvé. Gravure n° 1094, La Guienne militaire, t. II, p. 357.
façades nord-ouest et sud-ouest : d’aprè Jules de Verneilh : VII – 34. Gravure n° 1093, La Guienne militaire, t. II, p. 356.
*jour en archère de la façade nord-ouest : Notes archéologiques, t. 48, n° 607, p. 284.
Bonnegarde
vue d’ensemble du bâtiment : dessin non retrouvé. Gravure n° 824, La Guienne militaire, t. I, pl. 138.
• SENDETS
1862
église
*plan du cimetière : Notes archéologiques, t. 48, n° 639-1, p. 342.
*archère cruciforme du portail du cimetière : Notes archéologiques, t. 48, n° 639-2, p. 343.
*vue d’ensemble,façade nord : II-49.
• UZESTE
1845
collégiale
plan : d’après Du phot ; gm ure n° 89, Choix des types…, 1845, t.II, p.33.
chevet : XIII-279 ; VIII-59-1. Gravure n° 82, Choix des types…, 1845, t. Il, p. 2/4
portail meridional : XIII-278 ; VIII-59/2. Gravure du tympan, n° 82, Choix des Types …, 1845, t. II, p. 2/4 angle supérieur gauche.
1848
collégiale
tombeau de Clément V : dessin non retrouvé ; VIII-59 (calque), angle supérieur gauche. Gravure, n° 209 Compte rendu des travaux, 1848, p. 21.
armoiries de Clément V : dessin non retrouvé . Gravure n° 210, Compte rendu des travaux, 1848, p. 21.
1856
collégiale
*plan : Notes archéologiques, t. 46, n° 205-1, p. 576.
*armoiries d’un de Grailly : Notes archéologiques, n°205-2, p. 579.
*armoiries, non identifiées, provenant d’un gisant : Notes archéologiques, t. 46, n° 205-3, p. 579.
1862
Collégiale
*vue intérieure oblique depuis le bas-côté droit en direction du transept nord : II-44/1.
*armoiries d’un de Grailly : II-44, n°2 (voir 1856).
*maison : II-42.




