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Auteur : Sylvain Schoonbaert

Cité municipale
4 rue Claude-Bonnier
F-33045 Bordeaux cedex
s.schoonbaert@bordeaux-metropole.fr

nuage de mots Schoonbaert
  • Architecte diplômé par le Gouvernement (École d’architecture de Bordeaux), 1998
  • Doctorat de 3e cycle en urbanisme (Institut d’urbanisme de Paris), 2004
  • Qualifié aux fonctions de maître de conférences en sections 22 et 24 (Conseil national des universités), 2013-2014
  • Ingénieur à la mairie de Bordeaux, depuis 2006 et ingénieur principal à Bordeaux Métropole, direction de l’urbanisme, depuis 2019
  • Membre du comité local UNESCO Bordeaux depuis 2008
  • Enseignant-chercheur vacataire puis contractuel (École nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux), depuis 1996
  • Enseignant vacataire aux Universités de Bordeaux (Pôle juridique et judiciaire) et Bordeaux Montaigne (Histoire de l’art), depuis 2014
  • Membre de la Société archéologique de Bordeaux depuis 2002

Membre du comité de lecture de la revue Histoire urbaine depuis 2016 et du bureau de la Société française d’histoire urbaine (2021-2025).

Bibliographie 

  • La voirie bordelaise au XIXe siècle, Paris, Presses de l’Université Paris-Sorbonne, collection du Centre Roland Mousnier, 2007.
  • CHASSAIGNE, Philippe (dir.), L’urbanisme des idées aux pratiques (XIXe-XXIe siècle), Presses universitaires de Rennes, collection Espace et territoires, 2008.
  • LAVAUD, Sandrine et JEAN-COURRET, Ezéchiel (dir.), « De la ville à l’urbanisme. Renouvellement et continuité de l’espace urbain de 1790 à 1914», chapitre VIII, t. II, p. 228-290 ; « Notices monumentales, XIXe siècle », t. III, p. 347-408, Atas historique des villes de France Bordeaux, Université Michel de Montaigne de Bordeaux III, Ausonius, 2009.
  • RATOUIS, Olivier (dir.), La construction d’une agglomération. Bordeaux et ses banlieues, 28 notices p. 33-36, 41-44, 49-52, 57-68, 79-139, 145-147, 163-167, 173-199, Genève, Métis Presses, 2013.
  • « Une place pour la cathédrale de Bordeaux. L’isolement de Saint-André (1807-1888) », Histoire urbaine. Cathédrale, Paris, Maison des sciences de l’homme, Société française d’histoire urbaine, n° 7, juin 2003, p. 141-162. https://www.cairn.info/revue-histoire-urbaine-2003-1-page-141.htm?1=1&DocId=376721&hits=16
  • « La maîtrise de l’eau à Bordeaux au XIXe siècle », Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde. L’eau en Bordelais de l’Antiquité à nos jours, troisième série, n° 9-10, 2006, p. 117-153. http://revuehistoriquedebordeaux.com/Revue2006910.html
  • « Mesurer la construction en ville. Le revenu des matrices cadastrales à Bordeaux (1835-1890) », Histoire & Mesure, vol. XXV-1, 2009, p. 87-126. http://histoiremesure.revues.org/3931
  • Avec RATOUIS, Olivier, « Un Grand Bordeaux ? La fabrique de la métropole dans l’entre-deux-guerres », actes électroniques du colloque Inventer le Grand Paris. Regards croisés sur Paris et les métropoles : 1919-1944, Paris, Petit Palais, 4-5 décembre 2014, IGP, publié en 2018. http://www.inventerlegrandparis.fr/article/un-grand-bordeaux-la-fabrique-de-la-metropole-dans-lentre-deux-guerres/

 

Contenus additionnels

Historiens, historiens de l’art, architectes, urbanistes, conservateurs et animateurs du patrimoine proposent d’analyser à travers 17 contributions concernant plus de 15 villes essentiellement françaises, les « relations organiques » qui lient l’histoire des villes aux franchissements de leur fleuve ou leur rivière.
Depuis 1822, seuls cinq ponts ont été construits sur la Garonne à Bordeaux ; les ponts sont donc rares et précieux. À Bordeaux, la largeur de la Garonne – près de 500 mètres – ; la force des courants et des marées ; les eaux boueuses et les vases mais aussi la puissance commerciale du port de la Lune ; ont longtemps effrayé les hommes qui se sont contentés de franchir par des bacs la « mer » de Garonne, comme on l’appelait autrefois.
L’idée de ces journées d’étude, orchestrées à Bordeaux les 12 et 13 mai 2022, est née du bicentenaire du pont de pierre de Bordeaux. Toutefois, il faut rappeler que l’inauguration officielle du pont de pierre (la pose de la dernière pierre) n’eut pas lieu en 1822 mais bien le 25 août 1821 où il fut baptisé en grandes pompes « pont Louis XVIII ».
Historiens, historiens de l’art, architectes, urbanistes, conservateurs et animateurs du patrimoine proposent d’analyser à travers 17 contributions concernant plus de 15 villes essentiellement françaises, les « relations organiques » qui lient l’histoire des villes aux franchissements de leur fleuve ou leur rivière.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
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