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Catégorie : Géographie
par Paul Claval
J’ouvre, en 1964, mon Essai sur l’évolution de la géographie humaine par ces lignes : « Il existe un malaise de la géographie actuelle : je l’ai éprouvé comme tout autre ; j’en ai tant parlé avec mes collègues que j’ai fini par avoir l’impression de me trouver enfermé dans un cercle vicieux de propositions et de déductions.
par Paul Claval
Au début des années 1960, je tire de Walter Freeman (1961) la conviction que la géographie humaine a pris naissance sous l’influence de l’évolutionnisme.
par Paul Claval
L’histoire de la géographie humaine est courte – un siècle et demi à peine : c’est au début des années 1880 qu’elle se détache de l’arbre commun que constituait jusqu’alors la discipline.
Voici un ouvrage précieux, riche d’une réflexion profonde, elle-même nourrie d’une expérience géographique longue et diverse. Paul Claval nous livre ici une étude non seulement fondée sur l’analyse des grandes mutations de la géographie humaine de ses débuts jusqu’à nos jours, mais aussi une interprétation éclairée par son propre engagement tout au long de sa vie.
par Paul Claval
Tirant parti de l’analyse des positions de Carl Ritter et contemporaine de l’évolutionnisme, la géographie humaine accorde, sous sa forme classique, une large place à la longue durée et à la manière dont les genres de vie permettent aux hommes de tirer leur subsistance du milieu.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
par Hélène Noizet
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
par Marc Heijmans
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
par Philippe Jansen
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.