María-José Pena traite des cultes d’Emporion et mentionne à cette occasion Sarapis, sans développer, car elle considère qu’il n’a rien à voir avec la colonie grecque. L’ambiance dans laquelle son culte s’insère est déjà tout à fait romaine (p. 65).
H. Tréziny, à propos des lieux de culte de la Marseille grecque, signale une statuette de Jupiter Sarapis trouvée Cours Belsunce (p. 95, n° 23), en fait un buste du dieu.