À propos de :
Marquette J. B. (1983a) : “Les pays de Gosse, Seignanx et de Labenne (1200-1320)”, Bayonne et sa région, Actes du XXXIIIe congrès d’études régionales tenu à Bayonne les 4 et 5 avril 1981, Bayonne, 45-75.
Marquette, J. B. (2001) : “La formation du réseau paroissial en Gosse, Seignanx et pays d’Orthe (VIe-XIVe siècles) : éléments d’une réflexion”, in : L’Adour maritime de Dax à Bayonne, Fédération historique du Sud-Ouest, Société de Borda, Société des Sciences Lettres et Arts de Bayonne, 65-88.
Cet article est issu d’une communication faite à l’occasion du 53e Congrès d’études régionales de la Fédération historique du Sud-Ouest tenu à Dax et à Bayonne les 27 et 28 mai 2000, puis édité l’année suivante par la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine. Cette nouvelle participation aux congrès de la FHSO, sa quatrième depuis 19681, marque bien l’intérêt de Jean Bernard Marquette pour les associations historiques de la région, notamment pour la FHSO dont Charles Higounet fut un des fondateurs en 1948. L’article dont il est question lui offrit l’occasion de revenir sur les confins méridionaux de l’espace landais, vers ces pays du Bas-Adour qui lui étaient devenus familiers, grâce d’abord aux possessions des Albret, étudiés dans la thèse de doctorat d’état, soutenue en 1972 (Gosse, Seignanx, Saubusse et Maremne), puis à la faveur d’une vaste étude publiée en 1983 sur les pays de Gosse et Seignanx, jusqu’à la lande maritime (Labenne) aux XIIIe et XIVe siècles2.
Dans ce nouvel article, Jean Bernard Marquette décrit la formation du réseau paroissial durant le Moyen Âge, plus précisément du VIe au XIVe siècle. Il s’agit d’un domaine de recherches qui a été un des fils rouges de ses travaux et des formations à la recherche qu’il a dispensées durant ses années d’enseignement à l’université. Si l’on excepte les travaux pionniers d’Imbart de La Tour qui, entre 1896 et 1900 a publié Les origines religieuses de la France . Les paroisses rurales du IVe au XIe s., la paroisse est restée jusque dans les années 80 le parent pauvre de l’historiographie du Moyen Âge. La réédition de l’étude d’Imbart de la Tour (1980) ainsi que la publication, en 1986, de la première synthèse par Michel Aubrun consacrée à la paroisse médiévale, marquent un net regain d’intérêt pour cet objet de recherche3. Jean Bernard Marquette, dont les premiers travaux ont aussi porté sur les églises rurales du bazadais méridional ainsi que sur les dédicaces à Sainte Marie (1978, 1979)4, ne pouvait pas être insensible à ce renouveau historiographique. D’autant que la paroisse fait partie des objets d’étude de la géographie historique (par exemple dans le Manuel de géographie historique de la France, de Léon Mirot 1929) cette discipline à laquelle Charles Higounet a formé Jean Bernard Marquette et sous les auspices de laquelle ils ont placé l’un et l’autre d’importantes directions scientifiques concernant notamment l’histoire des Landes (colloques de Bazas 1978, de Sabres 1981 et du Teich en 1985)5.
Alors que la méthode de M. Aubrun pour suivre l’histoire de la paroisse au Moyen Âge, s’appuie surtout sur les sources textuelles (hagiographies, textes normatifs, exempla, etc), celle de J. B. Marquette s’efforce de pallier l’absence de textes en intégrant à son approche l’étude des dédicaces, la prise en compte des données archéologiques et celle de la géographie physique que M. Aubrun ou Imbart de la Tour avaient plutôt négligées. Car c’est moins l’histoire de la paroisse à proprement parler qui intéresse J. B. Marquette que celle du peuplement et de l’occupation du sol des campagnes du Sud-Ouest dont la paroisse est le résultat le plus abouti. “S’il est vrai, écrit-il, qu’il est des domaines dans lesquels, faute de documents écrits ou de vestiges archéologiques datables, il serait dangereux de s’aventurer, il en est un au moins que l’historien peut aborder avec une relative confiance : il s’agit de celui de la formation des réseaux paroissiaux. Cela tient pour l’essentiel au fait, bien acquis aujourd’hui, que ces réseaux étaient, avec des nuances régionales, en grande partie constitués avant l’an Mil. Certes, dans certains cas ils connurent encore un développement notable au cours des XIe et XIIe siècles et parfois même plus tard, mais la documentation écrite dont on dispose alors permet de mesurer avec précision le phénomène et d’identifier indirectement les fondations paroissiales antérieures. Il existe, d’autre part, des méthodes d’investigation éprouvées qui permettent de proposer des schémas d’évolution probable d’un réseau de ses origines au XIVe siècle”.
Cette méthode de travail a été éprouvée à travers une série de travaux d’étudiants, cités en note, que J. B. Marquette a dirigé durant les années 1980 (principalement des TER dont celui de l’auteur de ces lignes), qui offraient l’opportunité à leurs jeunes chercheurs et chercheuses d’apprendre à faire dialoguer des sources écrites de différentes époques, avec des données cartographiques et archéologiques. Il s’agissait de suivre, dans une région d’étude délimitée (bassin hydrographique, circonscription médiévale..), les modalités de création paroissiales à partir de “paroisses matrices” des Ve-VIe siècles, restituées au sein “d’ensembles naturels”, datées par les dédicaces aux saints ainsi que par la présence de vestiges archéologiques, délimitées par des limites naturelles (cours d’eaux, lignes de crêtes) ou par des axes de circulation, et qui ont ensuite été démembrées par des créations paroissiales ultérieures répondant aux initiatives des maîtres du sol, communautés et seigneurs. Il ressort de ce long processus de scissiparité, trois ou quatre générations de “paroisses-filles” (on note le vocabulaire de la parenté et de la filiation utilisé à l’époque pour désigner les réseaux monastiques), échelonnées du VIe au XIIIe siècle, selon leur dédicace, leur première mention textuelle, leur toponyme, leur position géographique au sein des “paroisses matrices”, jusqu’aux dernières créations paroissiales bien documentées, celles des castra, des castelnaus, des villeneuves et des bastides.
La méthode présente l’avantage d’offrir une vision globale, à l’échelle d’un territoire, des évolutions du peuplement des campagnes sur des époques ou les sources textuelles manquent cruellement. Reportées et délimitées sur une carte, les paroisses, datées par générations de saints ou par l’archéologie, donnent l’impression d’un peuplement qui se resserre progressivement avec le temps, alors qu’aucune mention documentaire ne le renseigne, au mieux, avant les XIe, XIIe ou XIIIe siècle. Ainsi Hervé Barrouquère s’y réfère-t-encore : “Pour l’instant, (…) le seul moyen d’attribuer une chronologie relative à la formation du réseau paroissial – et donc de poser des repères dans le peuplement de la Grande-Lande – reste la méthode développée par J. B. Marquette. Elle repose sur l’observation de chaque paroisse dans son implantation géographique : bassins versants, position de l’église par rapport aux limites de la paroisse, étude du vocable, parfois du toponyme, existence de traces antiques, sont autant de données à croiser”6.
Alors que dans son article sur les paroisses de la Haute-Lande de 1981, Jean Bernard Marquette s’arrête au tableau du réseau paroissial de la fin du XIIIe siècle7, il éprouve la méthode régressive exposée ci-dessus dans cet article sur les 6 paroisses du Seignanx (jusqu’à Tarnos et Ondres), les 8 paroisses du pays de Gosse dans la boucle de l’Adour, ainsi que sur les 12 paroisses du pays d’Orthe (jusqu’à Orist et Siest et Cagnotte8). En plus de ses propres travaux, Jean Bernard Marquette peut s’appuyer sur deux TER cités en note qu’il avait fait soutenir quelques années plus tôt sur ces trois pays landais9. La difficulté étant que (sauf pour le pays d’Orthe), on ne dispose pas alors de vestiges antiques identifiés dans les pays de Gosse et Seignanx, que, par ailleurs, les vestiges des églises étudiées ne remontent pas au-delà du XIIe siècle et, qu’enfin, il n’y a pas de mentions textuelles avant les XIe-XIIe siècles (ce qui n’est pas rare dans cette région). Pourtant, et quoique l’auteur ait accordé beaucoup d’attention à l’archéologie des églises et à l’archéologie funéraire, cette double carence ne l’empêche pas d’avancer l’enquête avec une “relative confiance”, pour proposer, in fine, un tableau de la genèse du réseau paroissial de ces pays sud-landais conforme aux grandes évolutions qu’il observe par ailleurs.
L’article est construit en 7 parties. La première expose la méthode. La deuxième est une présentation de la vingtaine de paroisses de la zone d’étude. La troisième et la quatrième s’attachent à déterminer quelles sont les paroisses matrices et celles qui en sont issues. La cinquième intitulée “De la chronologie relative à la chronologie absolue” expose les critères de datation des créations paroissiales, par les saints auxquels sont dédiées les églises (pas moins de 12 dans ce cas), dont les périodes de popularité sont indiquées par larges fourchettes chronologiques. La sixième partie (“Chronologie des générations de paroisses”) expose les résultats de recherches similaires menées par des étudiants de J. B. Marquette du Médoc au pays de Born (B. Cassagne), en Entre-deux-Mers Bazadais (S. Faravel), dans le Pays au Bois (P. Dussault) ou dans le Marsan (J. M. Fritz). Dans la septième et dernière partie (intitulée “Propositions”), J. B. Marquette reconstitue, à partir des éléments précédemment exposés, la chronologie des créations paroissiales de cet espace landais. Ainsi, pour le Seignanx, à partir de Tarnos, considérée comme la paroisse matrice en raison de l’ancienneté de son toponyme et du culte de saint Vincent (VIIe s), se seraient détachées Ondres, Biaudos et Saubrigues toutes trois dédiées à Pierre (IXe s.), desquelles seraient ensuite nées Saint-Martin-de-Seignanx et Saint-Martin-de-Hinx ; les dernières créations intervenant aux Xe, XIe et XIIe pour les dernières (Saint-Barthélemy, Biarrotte).
Les recherches sur les paroisses médiévales et sur la constitution du maillage paroissial se sont poursuivies depuis les travaux de J. B. Marquette en empruntant des directions différentes. Les données issues de l’archéologique préventive sur les lieux de cultes et les zones funéraires qui leur sont associées (ou non), sont infiniment plus nombreuses, ce qui a permis à Marie Geneviève Colin de présenter, dès 2004, une thèse sur la Christianisation et peuplement des campagnes entre Garonne et Pyrénées IVe-Xe siècle (publiée en 2008). Le colloque organisé par Christiane Delaplace en 2003 “Aux origines de la paroisse rurale en Gaule méridionale IVe-IXe s., a ouvert de plus larges perspectives, avec 18 communications, dont celle de M. Aubrun10. Il en ressort (notamment de la communication de F. Hautefeuille), comme des travaux que mène alors Elisabeth Zadora-Rio, que la territorialisation de la paroisse est un phénomène tardif (Xe s. et après)11. Même si l’on décèle des traces d’organisation des communautés chrétiennes antérieurement, il paraît désormais abusif de concevoir la paroisse du haut Moyen Âge comme une aire marquée des limites finies, comme un territoire dès l’origine, à l’image de la géographie administrative contemporaine. On scrute désormais autant que possible ce processus de territorialisation de la paroisse médiévale, la territorialisation étant entendue comme l’organisation d’une domination sur des territoires, définis et délimités. Les études menées ces deux dernières décennies montrent que c’est à partir du VIIIe siècle que l’officialisation de l’encadrement religieux, la mise en place de la dîme et la polarisation du peuplement par le couple cimetière-église paroissiale enclenchent le processus de territorialisation de la paroisse. L’intangibilité des lieux de cultes, valorisée par l’essor des rites de consécration (Xe-XIe s.), ne devient la règle qu’après la généralisation de la dîme (VIIIe s.) et l’obligation d’inhumer les défunts près des églises (Xe s.). Peu à peu l’environnement des lieux de culte du haut Moyen Âge se transforme en espaces polarisés par la levée des dîmes, les rites de consécration, la concentration de l’habitat et des sépultures, puis en territoires homogènes, dont les limites, réglées à l’occasion de conflits ou de créations paroissiales tardives, ne sont pas toutes définies avant les XIe-XIIIe s. Sans d’ailleurs faire totalement disparaître jusqu’à une date tardive des cas de limites mouvantes, comme dans le cas des paroisses du Maine dotées de “tournes”, ces hameaux de confins rattachés successivement à deux paroisses voisines, d’une année à l’autre12. Au bout du compte, si les développement de la recherche sur la genèse médiévale des paroisses ne permettent plus aujourd’hui de considérer avec autant d’assurance les conclusions de Jean Bernard Marquette sur les origines alto-médiévale du réseau paroissial des pays de Gosse, Seignanx et d’Orthe, il demeure de cette contribution un grand nombre de données disponibles à l’époque sur ce qui entre en ligne de compte pour appréhender la période de construction d’un lieu de culte (premières mentions textuelles, dédicaces, analyses des morphologies paroissiales), et qui, une fois complétées de données nouvelles, pourront être réinterrogées et soumises à des nouveaux schémas interprétatifs.
Bibliographie
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- Marquette J. B. (1979) : “Paroisses dédiées à Notre-Dame et occupation du sol en Bordelais et Bazadais au Moyen Âge”, in : Saint-Émilion, Libourne, La religion populaire en Aquitaine, Actes du 29e congrès tenu à Libourne et Saint-Émilion les 23 et 24 avril 1977, Fédérationhistorique du Sud-Ouest, 121-149.
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- Marquette, J. B. et Klingebiel, A., dir. (1985) : La Grande Lande : histoire naturelle, géographie historique, Actes du colloque tenu à Sabres à l’Écomusée de la Grande Lande, les 27-29 novembre 1981, CNRS et Parc naturel régional des Landes de Gascogne.
- Marquette, J. B. et Klingebiel, A., dir. (1995) : La Grande Lande. Géographie historique, Actes du colloque du Teich, 19-20 octobre 1985 par le Parc Naturel régional des Landes de Gascogne et le Centre de recherches sur l’occupation du sol et le peuplement de l’université Michel de Montaigne Bordeaux III, Bordeaux.
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Notes
- Marquette 1971, Id. 1979, Id. 1983a et b.
- Id. 1983a et b.
- Aubrun [1986] 2008 (thèse soutenue en 1981).
- Marquette 1978, Id. 1979.
- Higounet, dir. 1979, Marquette & Klingebiel, dir., 1985 ; Marquette & Klingebiel, dir. 1995.
- Barrouquère 2011, 231.
- Marquette1985. Notons qu’il n’est pas fait allusion à cette méthode dans le chapitre III de Landes et Chalosse, publié 1984, et consacré à la “Naissance de la Gascogne (fin du Ve siècle-milieu du Xe siècle)” dans lequel J. B. Marquette soutient la continuité paroissiale et l’absence d’interruption de la christianisation des campagnes entre les VIe-VIIIe siècles et le Xe siècle, malgré les incursions vasconnes et scandinaves (p. 135-136).
Il y a inversion des figures 1 et 2 dans la publication- Behoteguy 1998 ; Delmas-Marsalet 1990.
- Delaplace, dir. 2005.
- Iogna-Prat & Zadora-Rio, dir. 2005 ; Iogna-Prat 2006 ; Lauwers 2005, Merdrignac et al. 2013.
- Leturcq 2013, Id. 2017.