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Quelques représentations remarquables
de chevaux sur les monnaies celtiques

Pour les Gaulois, les animaux ont constitué un sujet d’inspiration exceptionnel. Parmi eux, le cheval est le thème favori des graveurs de monnaies. Le prototype des premières pièces gauloises est le statère de Philippe II de Macédoine, orné au revers d’un bige au galop. À l’origine, les imitations ont été des copies fidèles et les deux chevaux ont été exactement reproduits. Puis, peu à peu, les artistes se sont affranchis de leurs modèles et ont représenté, avec une stylisation grandissante, tantôt le bige, tantôt le cheval unique.

Le plus souvent, ces animaux furent cantonnés au revers des monnaies, le droit, qui est la face noble, étant réservé à la tête humaine. Cependant, à un certain stade du monnayage qu’il est impossible de préciser chronologiquement, les chevaux apparurent aussi au droit. Cette pratique s’est produite à des époques différentes selon les peuples. Dans certaines cités, on constate ce phénomène sur des monnaies d’or, c’est ici le cas pour un statère des Aulerques Cénomans et un hémistatère ambien. Parfois, c’est sur les pièces d’argent ou même de bronze que l’équidé est représenté pour la première fois, le plus souvent de manière occasionnelle. Certaines tribus n’ont jamais fait figurer l’animal au droit de leur numéraire. Les Arvernes, par exemple, qui ont presque toujours utilisé ce thème sur leurs pièces, qu’elles soient en or, en argent ou en bronze, ont maintenu le cheval au revers. Ses représentations sur les monnaies sont incroyablement variées. Il est tantôt de style classique, réaliste, comme chez les Arvernes et les Bituriges, tantôt figuré de manière sinueuse, chez les Parisii, par exemple. Il est parfois complètement démembré, en particulier chez plusieurs peuples de Gaule Belgique. Il arrive aussi que l’animal soit présent sous une forme subtile, caché dans le champ de la pièce et il faut alors une grande attention pour le détecter.

Les figurations remarquables de chevaux sont innombrables, qu’elles soient immédiatement visibles ou difficiles à découvrir. Il en existe des dizaines. Cinq monnaies sont examinées dans cette étude.

La première est un statère d’or des Aulerques Cénomans1. Au droit, il est orné d’une tête laurée, à droite, de facture très classique. Le revers présente une scène surprenante : un cheval ailé à tête humaine, en plein élan, est dirigé par un aurige. Son bras droit se termine par une branche ornée de baies groupées par trois. Un gonfanon carré se trouve devant la tête du coursier ; sous son ventre, un personnage ailé est allongé, face vers le sol (fig. 12). Ce tableau est très étrange puisqu’aucun des sujets n’existe dans la réalité. Tous sont composites et nous avons là une scène qui réunit des éléments des règnes humain, animal et végétal. Ce mélange des genres est familier aux Celtes. Des légendes et récits tardifs nous fournissent de nombreux témoignages de cette croyance en un monde où les dieux, en particulier, changent constamment d’état.

 Situation de l’oppidum de Sermuz “Sur-Châtillon” commune de Gressy, (VD) (carte tirée de Brunetti & Curdy 2007, 542, fig. 287).
Fig. 1. Situation de l’oppidum de Sermuz “Sur-Châtillon” commune de Gressy, (VD)(carte tirée de Brunetti & Curdy 2007, 542, fig. 287).

Cette scène correspond probablement à un mythe familier aux Gaulois de l’époque et qui nous restera à jamais inconnu en raison de l’extrême indigence des textes. Le cheval ailé était présent dans le monde hellénique, peut-être avons-nous ici une réminiscence du Pégase qui orne de nombreuses pièces de la Grèce antique ? Mais le caractère le plus surprenant est la tête humaine, boucles au vent, qui est “greffée” sur le corps du coursier. Il ne s’agit pas là d’un centaure : le buste est bien celui de l’animal3. Ce monstre, au sens propre du terme, est unique dans le domaine numismatique. Un seul antécédent de ce type est connu à ce jour. Il s’agit d’une statuette située au sommet d’un vase à vin en bronze qui appartient à un service à boisson déposé dans une sépulture féminine de Reinheim (Allemagne), datée de la seconde moitié du Ve s. a.C.4. Un décor géométrique, composé essentiellement de thèmes végétaux, orne le corps de la cruche et un petit cheval à visage humain, barbu et debout, se trouve sur le couvercle. Deux feuilles de gui couronnent sa tête, comme sur le pilier en grès de Pfalzfeld, en Rhénanie, également daté du Ve s. a.C.

 Hémistatère d’or ambien. BN 10379. P : 4,07 g - M : 15 mm.
Fig. 2. Hémistatère d’or ambien. BN 10379. P : 4,07 g – M : 15 mm.

La deuxième pièce est un hémistatère ambien5. Le droit présente une tête diadémée à droite6 (fig. 6A et B). La coupe du cou est perlée. Un cheval au galop, en biais par rapport au visage, fait corps avec lui. À l’avant de la tête humaine, on voit la tête et les jambes de l’animal ; à l’arrière de la nuque, l’arrière-train, la queue et les jambes postérieures sont gravées. Le revers est orné d’un bige au galop, à gauche, conduit par une femme-aurige, qui brandit un torque de la main droite et un bouclier ovale de la main gauche. Au-dessus de ce bouclier, flotte une longue guirlande qui paraît formée de feuilles. Derrière les chevaux, on voit une sorte de serpent à grosse tête (?) et une pseudo-légende formée de lettres pi est visible à l’exergue (fig. 2). Cette monnaie d’or, qui pèse 4,07 g, fait partie des premières émissions ambiennes7.

 Obole d’argent. Collection privée. P : 0,63 g - M : 15 mm.
Fig. 3. Obole d’argent. Collection privée. P : 0,63 g – M : 15 mm.

Une petite monnaie d’argent comporte, elle aussi, une représentation d’équidé qui ne manque pas d’intérêt. Il s’agit d’une obole qui pèse 0,63 g, pour un module de 15 mm. Les pièces de ce type sont dispersées dans une vaste zone qui couvre le nord-ouest de la Gaule. Certaines sont de style assez réaliste, d’autres sont ornées de décors stylisés, comme c’est le cas ici. Au droit, on voit une tête casquée, à droite (fig. 3, 1) ; au revers, un cheval au galop, également à droite. Il est surmonté d’une esse verticale dont chaque boucle est pointée et d’un aurige qui semble voler au-dessus du coursier. Un hippocampe à la queue perlée est gravé sous son ventre8 (fig. 3, 2).

Au droit, la tête paraît éclatée. Le haut du visage est totalement séparé du bas, composé de la joue, des lèvres pédiculées et du menton. Un examen attentif révèle que la partie supérieure est, en réalité, une tête de cheval très simplifiée (fig. 3, 9). L’équidé est donc inclus dans la tête du guerrier. Serait-ce pour souligner l’importance de l’animal et du cavalier au combat ? Cette image symbolise peut-être l’union intime de ces deux êtres dont le sort est totalement lié dans les batailles. Une telle figuration – cachée au premier abord – est également présente sur des statères baiocasses. Ce trait commun permet de proposer, avec prudence, l’attribution de cette petite monnaie d’argent au même peuple9. Il est intéressant de noter, par ailleurs, le nombre impressionnant des thèmes dissimulés qu’une si petite pièce comporte. Il s’agit de divers masques, qui représentent apparemment des hommes et des animaux, la distinction entre les deux n’étant pas toujours aisée à déterminer (fig. 3, 4-8 et 3, 10-11).

Une autre obole, frappée en Europe centrale, pèse 0,82 g pour un module d’un centimètre. Elle comporte aussi une image cachée de cheval, mais elle est bien différente de la précédente10. Cette petite pièce d’argent est uniface : le droit, bombé, est lisse (fig. 4, 1). Le revers offre une tête humaine, stylisée, à gauche (fig. 4, 2). La présence de deux globules intrigue. L’un est situé au-dessus d’une longue mèche qui figure la chevelure, l’autre devant la coupe du cou. Or, si l’on fait pivoter la monnaie de 90° vers la gauche, un cheval apparaît et l’on comprend alors l’utilité du plus gros globule, gravé au-dessus des cheveux : il constitue l’avant de la tête de l’équidé. Son corps est fait du visage et de la chevelure du personnage. Le haut de la tête et la ligne du front constituent les antérieurs du cheval, alors que la ligne du nez et le tracé des lèvres figurent les jambes postérieures de l’animal (fig. 4, 3). L’équidé et la tête humaine sont donc rigoureusement faits des mêmes éléments et, selon l’angle sous lequel on regarde la pièce, on découvre l’un ou l’autre de ces thèmes. Ils apparaissent à égalité et semblent avoir la même valeur, la même importance. Si cette interprétation est bonne, il y là un message très fort, déroutant pour nos esprits modernes. Cette pièce présente un autre motif que l’on découvre en imposant à l’image du cheval une rotation d’environ 90° vers la droite. C’est alors qu’apparaît une tête animale, qui peut être celle d’un renard ou d’un canidé (fig. 4, 4).

 Obole d’argent. Monnaie A. Weil. P : 0,82 g - M : 10 mm.
Fig. 4. Obole d’argent. Monnaie A. Weil. P : 0,82 g – M : 10 mm.
 Bronze. Collection J.-C. Bedel. P : 0,98 g - M : 17 mm.
Fig. 5. Bronze. Collection J.-C. Bedel. P : 0,98 g – M : 17 mm.

La dernière pièce est un bronze qui pèse 0,98 g, pour un module de 17 mm. Il s’agit donc d’un exemplaire de faible épaisseur. Ce type, qui offre une tête casquée au droit (fig. 5, 1), un cheval au revers (fig. 5, 2), est très répandu dans la vallée du Rhône, d’où le nom de “monnaie au cavalier de la vallée du Rhône”11. Plusieurs caractères de cet exemplaire sont singuliers. Les monnaies de cette série, connues à ce jour, sont toutes en argent et l’iconographie du revers présente ici quelques traits différents : le cavalier est absent et le style du cheval, comme le tracé de la légende, sont frustes, alors que les pièces d’argent, copiées sur les deniers romains, sont de facture très classique et dotées d’une inscription au rendu correct. Nous avons ici le mot COMA, dont la première et la dernière lettre ne sont pas correctement tracées.

La face remarquable est le droit, qui présente une tête casquée, à droite. Une sorte de bouton est visible dans la partie basse du casque et attire l’attention. Or, si l’on fait pivoter la pièce de 180° vers la droite, on comprend l’utilité de cet élément. De part et d’autre de la visière du casque, ornée à l’avant de petits traits parallèles, deux têtes animales apparaissent : à gauche la tête d’un bovin (fig. 5, 3), à droite, celle d’un cheval (fig. 5, 4). La première, qui est constituée par le bas du visage humain, est bien représentée. La tête du cheval, en revanche, est un peu courte, car elle s’inscrit dans la partie inférieure du casque. Il n’était donc pas possible de l’allonger. Le graveur a fait preuve d’une remarquable habileté. Il a doté le casque d’une sorte de panache pour réaliser la tête et les oreilles de l’animal et ce même panache, dirigé en sens inverse, pour la partie supérieure du casque, constitue, de façon moins évidente, mais probable, un petit buste humain, la partie basse étant réalisée à partir de la calotte du casque (fig. 5, 5).

Il s’agit là d’une incroyable prouesse technique. La représentation des animaux, excellente, est obtenue grâce à un tracé particulièrement astucieux. Les moindres détails du thème principal ont été admirablement exploités. C’est ainsi que la visière du casque, striée, sert de crinière au cheval. La subtilité de conception de l’ensemble ne peut, en aucun cas, être le fruit du hasard. Il a sans doute fallu beaucoup de recherches, de tâtonnements, de mises au point successives pour parvenir à ce résultat. À ce jour, cet exemplaire est unique, nous ne pouvons pas savoir quelles étapes intermédiaires ont existé entre une monnaie au cavalier classique et cette pièce à double lecture. L’homme qui est à l’origine de cette prouesse a voulu transmettre un message…mais lequel ?

Cinq monnaies seulement ont été étudiées ici, mais des dizaines de pièces celtiques nous offrent des représentations de chevaux comparables à celles qui viennent d’être décrites. Le cheval est incontestablement l’animal le plus présent dans la numismatique gauloise. Ce fait est remarquable, mais ce qui l’est encore plus c’est la variété des styles. Il est décliné de la manière la plus académique, la plus classique aux figurations les plus géométrisées, les plus éclatées. Il donne lieu à des dissimulations : images cachées, combinaisons diverses avec la tête humaine, dont l’importance chez les Celtes est bien attestée. Elle apparaît autant dans la littérature classique que dans les histoires et légendes tardives, qui nous transmettent les croyances et les mythes des temps plus anciens.

L’association intime de la tête humaine et du cheval ne peut être fortuite : elle prouve l’estime dont l’animal était l’objet. L’une des meilleures preuves est le coursier à tête humaine, caractéristique de l’Armorique. La représentation du visage est souvent de même qualité au revers qu’au droit et ce thème figure sur les monnaies les plus prestigieuses : les statères d’or. Il y a là un profond sujet de réflexion.

L’importance de la guerre chez les Celtes est bien connue. La cavalerie y joue un rôle déterminant et c’est probablement pour cette raison que l’animal était particulièrement apprécié. Un passage de l’Histoire romaine de Tite-Live concernant le mercenariat nous apporte d’utiles informations : “Les Gaulois avaient obtenu que seraient payées comptant, pour chaque cavalier dix pièces d’or, pour chaque fantassin cinq, pour leur chef, mille”12. Ce témoignage est éloquent : la somme versée pour un cavalier est le double de celle qui est attribuée pour un fantassin. Nous retrouvons là l’égalité homme/cheval : pour chacun cinq pièces d’or sont versées.

L’archéologie confirme le statut exceptionnel de l’équidé. Des éléments de harnachements d’une grande beauté ont également été recueillis. Leur étude révèle que c’est à partir de la fin du Ve s. a.C. qu’apparaît “une tendance à l’enrichissement décoratif et à la diversification typologique”, parallèlement, les techniques de fabrication deviennent plus sophistiquées. L’auteur de ces observations en conclut que “Ce mouvement paraît lié au statut particulier occupé par les chevaux dans ce type de contexte funéraire du début du Second âge du Fer. Ce sont en effet les chevaux qui paraissent d’avantage (sic) que les chars, motiver ces réalisations élaborées dont on ne trouve guère des formes d’investissement technique ou artistique équivalentes que sur l’armement des guerriers, lui-même apparemment très codifié”13.

Par ailleurs, les découvertes récentes effectuées dans plusieurs sanctuaires du nord de la Gaule et en particulier sur le trophée de Ribemont-sur-Ancre, “montrent que ces animaux étaient considérés à l’égal des humains”. Telle est l’affirmation de J.-L. Brunaux14. Cette constatation corrobore de façon remarquable les observations que nous avons pu faire à partir de l’étude numismatique et confirme le témoignage de César : “Les Germains n’importent même pas de chevaux, qui sont la grande passion des Gaulois et qu’ils acquièrent à n’importe quel prix”15. Aucun autre animal n’a été traité avec autant d’égards. Pour V. Kruta16, le cheval était peut-être une divinité solaire. Il ne s’agit là que d’une hypothèse, mais elle mérite d’être sérieusement examinée.

Hérodote, considéré comme le père de l’Histoire, assure que l’écriture empêche que ce qu’ont fait les hommes s’efface de la mémoire17. Si cette affirmation devait être prise au pied de la lettre, nous connaîtrions bien peu les Celtes, puisque ce sont principalement les Grecs et les Romains qui ont écrit sur eux, qui ont rapporté leurs coutumes, évoqué leur histoire. Ces témoignages nous sont utiles, mais les risques d’erreurs, certains jugements entachés de parti-pris, ces regards d’hommes fiers de leur civilisation, face à des populations considérées comme barbares, nous offrent un tableau qui n’est pas toujours conforme à la réalité. L’archéologie, fort heureusement, permet de corriger et d’enrichir ces images.

En raison de l’interdiction d’utiliser l’écriture pour la religion, formulée par les druides18, nous disposons de peu de textes indigènes. Ils sont la plupart du temps fragmentaires, tardifs. Les fouilles et les découvertes fortuites, en revanche, nous livrent quantité d’objets, du plus modeste au plus prestigieux, de mieux en mieux datés, qui permettent de considérer la civilisation celtique d’un œil neuf. Les armes, les bijoux, la vaisselle, les monnaies sont des témoins remarquables de ce lointain passé. Ils nous révèlent l’existence de techniques étonnantes, en particulier dans le domaine de la métallurgie et les décors que portent ces objets, longtemps considérés comme maladroits ou barbares, sont maintenant appréciés à leur juste valeur. Nous prenons de plus en plus conscience de leur raffinement, de leur complexité. Le matériel le plus petit est constitué par les monnaies et ce sont elles qui présentent l’iconographie la plus riche, la plus variée, comme le prouve la pratique des images cachées, dont quelques exemples ont été évoqués dans cette étude. Ce sont principalement ces pièces, qu’elles soient faites d’or, d’argent ou de bronze, qui nous ont révélé l’importance du cheval dans la société celtique. L’abondance de ses représentations, leur variété, leur subtilité indiquent que l’équidé jouissait d’un prestige unique. Un tel constat nous amène à nous demander si l’œuvre graphique n’a pas remplacé l’écriture pour transmettre aux Celtes en général et aux Gaulois en particulier, des enseignements philosophiques, religieux ou des évocations de leur passé.

Hérodote avait raison : l’écriture constitue la mémoire des peuples, mais l’une des grandes originalités de la civilisation celtique pourrait bien être d’avoir transmis l’histoire par l’illustration, plutôt que par la littérature. Les druides considéraient que les mots trahissent la réalité. À travers l’iconographie si subtile qu’ils ont mise au point, les Celtes nous donnent l’image d’une réalité infiniment mouvante, d’un monde sans cesse changeant, bien éloigné de l’univers des Grecs et des Romains, fait de clarté. Mais cette vision-là n’est-elle pas plus conforme à l’inépuisable richesse de la vie ?

Bibliographie

  • Hérodote, Histoires (livre I), Clio, texte établi et traduit par Legrand P. E., Collection des Universités de France, 1970, Les Belles Lettres, Paris.
  • César, La Guerre Des Gaules. I-II, Paris, trad. L.-A. Constans, Les Belles Lettres, Collection des Universités de France, 1926, Les Belles Lettres, Paris.
  • Tite-Live, Histoire romaine, T. XXXII : Livres XLIII-XLIV, traduction P. Jal, Collection des Universités de France, Les Belles Lettres, Paris.
  • Brunaux, J.-L. (2004) : Guerre et religion en Gaule, Paris.
  • Duval, P.-M. (1987) : Monnaies gauloises et mythes celtiques, Paris.
  • Fischer, B. (2005) : “Iconographie et attribution des monnaies gauloises”, Bull. du Cercle d’études numismatiques (Bruxelles), 42.
  • Gruel, K. (1993) : “Le cheval androcéphale sur les monnaies celtiques”, in : Hackens et al., dir. 1993, 27-35.
  • Hackens, T., G. Moucharte, C. Courtois, H. Dewit et V. Van Driessche, dir. (1993) : Proceedings of the XIth International Numismatic Congress Organized for the 150th Anniversary of the Société Royale de Numismatique de Belgique, Louvain la Neuve.
  • Kruta, V. (2012) : “La place et la signification du cheval dans l’imaginaire celtique”, Études Celtiques, 38.
  • La Tour, H. de (1892) : Atlas de monnaies gauloises, mis à jour par B. Fischer (1999), Paris.
  • Lessing, E. et V. Kruta (1978) : Les Celtes, Fribourg.
  • Olivier, L. (1998) : Catalogue d’exposition : Treasures of Celtic Art : A European Heritage. Exposition au Tokyo Metropolitan Art Museum, 18 avril – 12 juillet, Tokyo.
  • Scheers, S. (1977) : Traité de numismatique celtique. II. La Gaule Belgique, Paris.

Notes

  1. La Tour & Fischer 1892-1999, XXIII, 6829.
  2. Les figures 1, 2, 4 et la mise en page ont été réalisées par F. Ory. C. Bailly est l’auteur des illustrations 3 et 5. À tous deux, nous adressons nos vifs remerciements.
  3. Gruel 1993, 27-35.
  4. Lessing & Kruta 1978, 36-38.
  5. La Tour & Fischer 1892-1999, XXXIII, 10379.
  6. Duval 1987, 47-52.
  7. Scheers 1977, 29, II, 33-35.
  8. Nous adressons nos remerciements à C. Rudd et E. Cottam, qui nous ont permis d’étudier cette pièce et nous en ont fourni les photographies. La monnaie figurait dans la liste de vente Chris Rudd de septembre 2003, 9, n°8.
  9. Fischer 2005, 114-118.
  10. A. Weil, expert numismate, nous a communiqué les photographies de cette monnaie et nous a donné l’autorisation de les publier. Nous l’en remercions.
  11. Les images de cette pièce nous ont été fournies par J.-C. Bedel. Qu’il trouve ici l’expression de notre reconnaissance.
  12. Liv. 44.26.
  13. Olivier 1998, 11-12.
  14. Brunaux 2004, 58.
  15. Caes., Gal., 4.2.
  16. Kruta 2012, 43-59.
  17. Hdt. 1.
  18. Caes., Gal., 6.14.
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Chapitre de livre
EAN html : 9782356134929
ISBN html : 978-2-35613-492-9
ISBN pdf : 978-2-35613-493-6
Volume : 1
ISSN : 2827-1912
Posté le 08/05/2024
Publié initialement le 01/02/2013
6 p.
Code CLIL : 3385 ; 4117
licence CC by SA
Licence ouverte Etalab

Comment citer

Fischer, Brigitte, “Quelques représentations remarquables de chevaux sur les monnaies celtiques”, in : Krausz, Sophie, Colin, Anne, Gruel, Katherine, Ralston, Ian, Dechezleprêtre, Thierry, dir., L’âge du Fer en Europe. Mélanges offerts à Olivier Buchsenschutz, Pessac, Ausonius éditions, collection B@sic 1, 2024, 529-535, [en ligne] https://una-editions.fr/quelques-representations-remarquables-chevaux-sur-monnaies-celtiques [consulté le 08/05/2024].
doi.org/10.46608/basic1.9782356134929.45
Illustration de couverture • D'après la couverture originale de l'ouvrage édité dans la collection Mémoires aux éditions Ausonius (murus gallicus, Bibracte ; mise en lumière SVG).
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