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Type de document : Livre
Après l’échec du pénitencier industriel, l’abbé Buchou va faire l’amère expérience de la difficulté à gérer une exploitation agricole. La colonie ne semble pas lui avoir donné la sérénité économique escomptée.
En 1857, un taux de mortalité inquiétant alerte le ministre de l’Intérieur qui décide que le transfert du pénitencier Saint-Jean devait avoir lieu le plus rapidement possible. Donc, tous les détenus n’avaient pas encore été transférés, il en restait encore 133 à Saint-Jean dans « le quartier industriel » sans doute les plus âgés et les plus difficiles…
La situation du pénitencier en ville s’est donc très vite révélée intenable et tout le monde rêvait de voir déménager cette institution à la campagne. Or le hasard faisant bien les choses – mais s’agissait-il vraiment de hasard ? – l’abbé Buchou venait juste de créer un orphelinat agricole avant d’être appelé à la direction du Pénitencier.
Concernant l’emploi du temps des détenus, le docteur Isidore Sarraméa ne fait pas de réflexion particulière : « Le temps nous paraît distribué avec une sage économie ; chaque jour offre 8 heures de sommeil, 9 heures de travail, et une heure et demi de classe ; la prière, les repas, et la récréation occupent le reste. »
La circulaire du 28 janvier 1843 organisait un système d’enquête pour mieux cerner la personnalité de l’enfant, pour mieux connaître sa famille, pour proposer des solutions plus justes quant à la profession qu’on devait lui enseigner, pour être en mesure de répondre pratiquement aux jugements prononcés, etc.
La majorité des affaires est jugée par le tribunal de police correctionnel de Bordeaux, mais aussi par les tribunaux de Bazas, Blaye, Lesparre, Libourne, La Réole. Les prévenus sont détenus à Bordeaux dans la maison d’éducation correctionnelle, alors que dans les autres villes, ils sont détenus dans la maison d’arrêt et ne sont transférés dans la maison correctionnelle de Bordeaux qu’une fois le jugement prononcé.
Pour qu’un tel l’établissement soit légal, une ordonnance royale était nécessaire. L’abandon de la propriété devait être nécessairement convenu afin de pouvoir ériger cette maison en maison pénitentiaire, de refuge et de correction pour les jeunes enfants jugés en vertu de l’article 66 du code pénal, condamnés en vertu de l’article 67 et détenus par voie de correction paternelle.
C’est en lisant le livre d’Henri Gaillac sur les maisons de correction que j’ai appris l’existence d’un pénitencier pour enfants à Bordeaux, le pénitencier Saint-Jean .
L’histoire commence le jour où Charles Lucas décide de se rendre à Bordeaux en 1836. Il a 32 ans. Breton issu d’une famille de notables, Charles Lucas devient avocat à 22 ans. L’année suivante il remporte deux concours ouverts sur la question de la légitimité et de l’efficacité de la sanction capitale.
C’est en lisant le livre d’Henri Gaillac sur les maisons de correction que j’ai appris l’existence d’un pénitencier pour enfants à Bordeaux, le pénitencier Saint-Jean .
L’histoire commence le jour où Charles Lucas décide de se rendre à Bordeaux en 1836. Il a 32 ans. Breton issu d’une famille de notables, Charles Lucas devient avocat à 22 ans. L’année suivante il remporte deux concours ouverts sur la question de la légitimité et de l’efficacité de la sanction capitale.
Les réflexions abordent le thème de la production artisanale et manufacturière dans la zone adriatique avec une attention particulière à cinq axes d’investigation : les lieux de production entre ville et campagne ; épigraphie, artisanat et société ; production d’amphores ; production de poteries fines et communes ; la production textile.
Vingt ans après le colloque de Châtillon-sur-Seine sur les éphémères principautés celtiques, au cours duquel de vives critiques du modèle canonique des résidences princières des VIe et Ve siècles s’étaient exprimées, il était important de réexaminer la question à la lumière des spectaculaires découvertes effectuées depuis lors. Pour l’opinion qui était à l’époque devenue majoritaire, le modèle proposé par W. Kimmig accordait à ces sociétés un niveau de complexité politique trop élevé et leur prêtait des relations trop fréquentes et régulières avec des Cités-États grecques et étrusques.
par Nelson Horn
Les Histoires philippiques de Trogue Pompée / Justin présentent la difficulté d’être une œuvre historique à deux voix : celle de Trogue Pompée, historien gaulois du Ier siècle avant notre ère, qui composa une histoire universelle aujourd’hui perdue, et celle de Justin qui en fit un épitomé plusieurs siècles plus tard qui nous est parvenu.