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Catégorie : Histoire
par Janick Auberger
Un banquet, « repas d’apparat, rassemblant de nombreux convives pour célébrer un événement important », s’il faut garder la définition du CNRTL, peut prendre de nombreuses formes et dépend malgré tout de l’aisance de ceux qui l’offrent et de leurs habitudes alimentaires.
par Stéphane Benoist
Au terme de l’année du calendrier romain dit « pré-julien » – c’est-à-dire avant la réforme de Jules César datée de 46 avant notre ère pour une application l’année suivante – se place le mois de décembre, ultime occurrence d’une pratique d’appellation des mois au moyen d’un numéro d’ordre.
Le temps des fêtes est aussi celui des calendriers qu’on vient vendre à notre porte. Il y a des chances pour que la Poste ou les Pompiers vous en proposent qui seront ornés de chiens, ou mieux, de chiots. Peut-être opterez-vous pour des chatons, encore plus populaires.
Victoire ! Sans doute ce cri, poussé en grec, a dû retentir longtemps à Athènes un jour de 425, à l’annonce du succès que les Athéniens venaient de remporter contre leurs ennemis lacédémoniens à Pylos.
Les cadeaux que nous avons coutume d’offrir et d’échanger lors de circonstances dont certaines sont ponctuelles et d’autres régulières, constituent une pratique si familière que nous n’avons que rarement l’occasion de songer à leur raison d’être. Nous avons pourtant bien conscience que cette pratique est liée au passage du temps, qu’il soit personnel : succès, mariage, invitations, anniversaires, ou collectif : les présents de fin d’année.
par Aurélie Damet
Dans les sociétés gréco-romaines, la naissance des enfants est célébrée par des rites se déroulant quelques jours après l’accouchement, un délai s’expliquant selon Aristote par la forte mortalité infantile.
« Prononçons des paroles de bon augure ; voici que vient vers l’autel le dieu du jour anniversaire ; vous tous qui êtes là, hommes et femmes, que votre langue soit propice. Qu’on brûle un religieux encens dans le foyer, qu’on brûle les parfums que l’Arabe délicat envoie de sa terre opulente.
par Audrey Lacroix
L’Antiquité est une fête est une série de textes proposés par des spécialistes des sciences de l’Antiquité pour mettre en valeur le temps et les pratiques de la fête dans les mondes anciens. Fêtes privées ou fêtes publiques, comment les Anciens se divertissaient-ils ? Selon quelle temporalité, avec qui, par quelles consommations ?
Ce recueil est une invitation a (re)découvrir les multiples facettes des plaisirs collectifs antiques : jeux du cirque, banquets grecs, jeux d’enfants, préparatifs du repas, le vin, la musique, les cadeaux…
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.